Sport

Humour Noir

Qu’est-ce qu’un tétraplégique en train de nager ? Une planche de surf.

Au temps jadis, en ces temps de légende, Où troubadours chantaient sur chaque lande, Je vous conterai, en douce mélodie, Une blague qui fit tourner maintes têtes de folie. Au royaume des eaux, dans l’étendue bleue, Un barde joyeux, au verbe malicieux, Chanterait un récit qui soulève les sourires, Un récit qui fera frémir mille zéphyrs. Qu’est-ce qu’un tétraplégique en train de nager ? Demande-t-on au troubadour éthéré, D’une voix claire, portée par le vent, Il répond, avec rimes et rythme évidemment. Une planche de surf, telle est la réponse, Qui résonne en écho, lorsqu’il la prononce. Sur les flots agités, sans aucun mouvement, La planche dérive, paisible et bienveillante. Mais le barde sait doser ses mots, Pour ne pas blesser où il ne faut, Car dans le cœur du chevalier infirme, Gît un espoir, une lumière intense et ferme. Derrière ses mots, il y a un message, De tolérance, d’amour et de partage, Car en ces temps de courage et de bravoure, Même le rire peut panser tant de blessures. Alors, que les cœurs s’emplissent de gaieté, Que les rires résonnent à l’éternité, Car avec cette blague, telle une symphonie, Le barde médiéval fait danser l’harmonie.

Célébrités

Simpsons – Le sport. Fiston, lorsque tu participes à des événements sportifs, le but n’est pas de savoir si tu vas gagner ou perdre, mais à quel point tu seras ivre.

Écoutez-moi, bonnes gens, je vais vous conter Une histoire drôle qui saura vous enchanter Au temps du Moyen Âge, se déroula cette scène Où un père sage instruisait son fils qu’il aime. « Fiston, écoute bien, je vais t’instruire aujourd’hui, Sur le sport et ses folies, laisse-moi te le dire ainsi. Quand tu participes à ces tournois fort prisés, Le gain ou la défaite n’est pas le fruit désiré. Non, mon cher enfant, laisse-moi t’expliquer ceci, Le véritable but, ce n’est pas la victoire en ceci. Mais plutôt de festoyer, de t’enivrer sans fin, De célébrer comme un fou, oublier tous tes chagrins. Comme les Simpson, cette famille animée connue, Qui illustre cette maxime avec un humour bien tordu. Leur passion, le sport, n’est qu’une excuse idéale, Pour s’enivrer joyeusement et oublier tout mal. Alors, mon fils, lorsque tu te lances dans ce tournoi, N’oublie pas que le véritable trésor réside en toi. Car le sport est bien plus qu’une simple compétition, C’est un moyen de te perdre dans la délectation. Fêter la vie, lever ton verre en ton honneur, Chanter, danser et rire sans rien craindre, ô l’heur ! Alors, mon fils, le sport devient une mélodie, Qui résonne en ton cœur et te remplit de magie. Ainsi, vadrouilleur, pars dans ces temps obscurs, Et deviens un barde qui charme avec douceur. Loue le sport, la fête et l’exubérance éternelle, Car la vraie victoire est d’être un joyeux drille. » Et le fils écouta, les yeux remplis d’admiration, Il comprit que la sagesse se cache dans les leçons. Et désormais, lors des tournois où il se rendait, Il était toujours le plus joyeux, haut en couleur et gai.

Sport

Pourquoi dit-on qu’un parachute est le plus discret des équipements sportifs ? Parce que c’est un « parafaitpasdebruit » !

Entendez, bonnes gens, l’histoire que je vais conter, D’une époque lointaine où les braves chevaliers, Arpentant les champs de bataille avec fierté, Avaient pour divertissement de fameux faits. Au Moyen Âge, quand la guerre fut terminée, Les braves soldats cherchaient comment s’amuser, Et parmi eux se trouvait un barde itinérant, Qui, de chants en récits, enchantait les passants. Un soir, dans la taverne d’un petit village, Le barde s’installa sous l’œil de la foule sage, Et une ballade joyeuse il entonna, D’un équipement qu’on prétend bien silencieux. « Pourquoi dit-on qu’un parachute est si discret ? Dit le barde d’une voix claire, sans regret. C’est qu’il amortit les bruits avec élégance, Tel un doux souffle d’été qui frôle la romance. Oh, ce parachute, l’ami des cieux, Tel un enchantement, une mélodie pour les yeux, Il enveloppe les corps d’un rayon de clarté, Pour une arrivée gracieuse et tant espérée ! Un « parafaitpasdebruit », ainsi l’appelle-t-on, Un fameux équipement, une perle en toute saison, Au gré des vents, il danse tel un funambule, Sans faire d’ombre, ni laisser de traces d’obstacle. Qu’il soit arme des braves sautant du sommet, Ou compagnon des hommes volant de gaîté, Le parachute, ce fin génie mécanique, Fait preuve de discrétion telle une énigme antique. À l’agonie tourne cette histoire, D’un parachute aux vertus notoires, Silencieux, il chute, telle une plume danseuse, Emplissant les braves d’une joie amoureuse. Ainsi, joyeux compagnons, je vous le dis, Le parachute, notre ami, il est bel et bien, Équipement digne des contes et légendes, Qui vole en silence et nous enchante au présent. » Et le barde, alors, achevant son récit enchanté, S’éclipse dans l’ombre, laissant la foule subjuguée, Car cette ballade si bien rimée et scandée, Rappelle aux hommes un équipement bien-aimé.