J’ai fait un test de QI en ligne. Apparemment, j’en ai 404.
Il y a fort longtemps, dans un temps où l’Internet n’existait pas encore et où les ordinateurs n’étaient que des chimères, une blague circulait parmi les sages errants et les conteurs des villages reculés. C’était une blague qui avait été transmise de génération en génération, gravée dans la mémoire des ancêtres et récitée avec une vénération d’une époque disparue. Cette légende urbaine racontait l’histoire d’un individu qui prétendait avoir passé un test de QI en ligne. Les tests de QI étaient des épreuves qui permettaient de mesurer l’intelligence et les facultés mentales des êtres humains, offrant ainsi un aperçu de leurs capacités extraordinaires. Comme dans tous les contes, l’individu se prétendait exceptionnellement brillant, revendiquant un quotient intellectuel d’une valeur bien précise. Mais, selon cette ancienne légende, le nombre mystique qu’il énonçait était le chiffre énigmatique « 404 ». Ce numéro, tout en étant une valeur qui paraissait étrange et incohérente pour l’époque, portait avec lui une signification profonde dans le contexte de cette histoire. Les anciens savaient que cet étrange nombre « 404 » était en réalité une référence à une erreur dans le langage de programmation. Il apparaissait lorsque quelque chose était introuvable ou manquait dans un environnement virtuel. Les conteurs évoquaient cette légende avec un sourire complice, sachant que l’ultime punchline de cette blague résidait dans l’ironie et la dérision de l’individu qui, bien qu’ayant prétendument un QI exceptionnel, ne pouvait lui-même être trouvé ni atteint dans l’univers numérique. Cette blague était donc un rappel subtil de l’orgueil et de la vanité humaine, qui, malgré toute sa sagesse et sa connaissance, pouvait parfois être pris dans un réseau de paradoxes et d’absurdités. Depuis lors, cette légende ancienne continue d’être racontée à travers les âges, rappelant aux générations futures que l’intelligence véritable ne réside pas au sein d’un nombre ou d’une mesure, mais plutôt dans l’humilité et la capacité à rire de soi-même.