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Devinettes

Pourquoi le communiste ne joue-t-il jamais au jeu du Monopoly ? Parce qu’à chaque fois qu’il construit un hôtel, il veut le transformer en appartements pour que tout le monde puisse y habiter gratuitement !

Il était une fois dans un pays lointain, un homme nommé Staline qui adorait jouer au Monopoly. Cependant, Staline n’était pas un joueur ordinaire. Pour lui, le Monopoly n’était pas qu’un jeu, c’était une leçon de vie. Un jour, Staline invita ses amis à jouer. Ils s’installèrent autour de la table, déployant le grand plateau coloré. Staline choisit le pion du chapeau haut-de-forme, affirmant qu’il aimait son élégance. Les autres choisirent leurs pions, et le jeu commença. Au début, Staline jouait avec enthousiasme. Il achetait des propriétés, construisait des maisons, et même des hôtels. Il semblait inarrêtable. Mais ses amis n’étaient pas en reste. Ils jouaient habilement, et bientôt, le jeu devint plus compétitif. À mesure que le jeu avançait, Staline commença à perdre. Ses amis avaient construit des hôtels sur les propriétés les plus précieuses, et à chaque tour, Staline perdait un peu plus de son argent de Monopoly. Frustré, il se mit à réfléchir à une stratégie. Soudain, il eut une idée. « Et si nous changions les règles ? » proposa-t-il. « Que se passerait-il si nous partagions toutes les propriétés ? Tout le monde pourrait bénéficier de chaque hôtel et de chaque maison ! » Ses amis étaient perplexes, mais ils décidèrent d’essayer. Le jeu se transforma alors. Au lieu de rivaliser, ils commencèrent à coopérer. Chaque fois qu’un joueur passait sur une propriété avec un hôtel, tous les joueurs recevaient un peu d’argent. Le jeu devint plus long, mais aussi plus joyeux. Ils riaient, partageaient des histoires, et le Monopoly n’était plus un champ de bataille, mais un lieu de camaraderie. Finalement, le jeu prit fin non pas parce que quelqu’un avait gagné, mais parce qu’ils avaient tous décidé de s’arrêter ensemble. Ils avaient appris une précieuse leçon sur le partage et la coopération. Staline sourit en rangeant le jeu. Bien qu’il ait perdu selon les règles traditionnelles du Monopoly, il se sentait comme un gagnant. Dans cette partie, il avait découvert quelque chose de plus important que la victoire : l’importance de l’amitié et du partage. Et c’est ainsi que Staline, le joueur de Monopoly, apprit que parfois, perdre selon les règles peut signifier gagner dans la vie.

Divers

Coluche – parti communiste et Titanic. Quelle est la différence entre le parti communiste français et le Titanic ? C’est qu’au moins, pendant le naufrage du Titanic, ils avaient de la musique !

Il fut un temps, dans les temps anciens, où une blague circulait de bouche à oreille, transmise de génération en génération comme une légende d’autrefois. Cette blague empreinte d’humour subtil et audacieux était racontée avec amusement et fascination par les conteurs de village, éveillant le rire et la réflexion des auditeurs. La légende commence dans le contexte tumultueux de la vie politique française, où les idéologies rivalisaient et s’affrontaient sans relâche. Au cœur de cette agitation se trouvait le parti communiste français, symbole de la lutte des travailleurs pour une société plus équitable. La légende raconte que le parti communiste français était comparé à un célèbre navire, le Titanic. Ce paquebot majestueux était connu de tous pour sa taille imposante et sa gloire insolente. Mais, comme toute légende a son lot de tragédie, le Titanic était destiné à une fin funeste. Et voici où l’humour de cette blague légendaire se dévoile : « Quelle est la différence entre le parti communiste français et le Titanic ? C’est qu’au moins, pendant le naufrage du Titanic, ils avaient de la musique ! » Cette expression comique cachait en réalité une vérité amère. Elle soulignait avec ironie le fait que, même dans les moments de désespoir et de tragédie, les passagers du Titanic avaient trouvé un certain réconfort dans la musique qui continuait de jouer pendant que le bateau sombrait dans l’océan abyssal. En faisant ce parallèle entre le parti communiste français et le Titanic, le conteur dénonçait avec subtilité l’absence de « musique » – une métaphore pour l’espoir et l’optimisme – au sein du parti. Il soulignait que malgré leurs ambitions, ces révolutionnaires manquaient d’un élément crucial pour mobiliser les masses et les guider vers un avenir meilleur. L’ironie mordante de cette blague ancienne réside dans le fait qu’elle mettait en lumière l’amertume ressentie par certains envers le parti communiste français. Dans cette légende mordante, l’humour servait de miroir déformant aux fracas de la politique, permettant aux contemporains de remettre en question les failles de leurs dirigeants sans pour autant offenser. Ainsi, cette blague, transmise tel un trésor caché par les sages d’autrefois, continue de résonner dans notre société moderne. Elle rappelle aux générations actuelles l’importance de l’équilibre entre la détermination politique et la recherche d’un espoir, de cette « musique » qui apaise les âmes troublées et guide les hommes vers un avenir meilleur.