Philippe Geluck – Jazz. Ce qui m’intéresse surtout dans le jazz, c’est que c’est un bon mot pour le Scrabble.
Dans l’écho des temps médiévaux, un barde chanta, Un conte teinté d’humour, tel un fin éclat de jazz, Des mots habiles et malins, d’un ton rieur et léger, Sur le mot « jazz », un trésor pour les amateurs du Scrabble. Sur la place du village, les villageois se sont rassemblés, Pour écouter le récit, du barde talentueux et inspiré, Sa voix portait loin, portée par le vent du soir, Et tous étaient impatients de découvrir son histoire. « Oyez, oyez, braves auditeurs, Si j’vous dis qu’le jazz, c’est tout un art majeur, Mais plus qu’ça encore, c’est le mot que nul ne peut ignorer, Au Scrabble, il illumine, il fait le bonheur des joueurs éveillés. Imaginez le tumulte, dans les chaumières enchantées, Des lettres savamment placées, formant ce mot précieux, Des points doux comme des velours, remplissant les cœurs de joie, Et les joueurs, réjouis, s’empressent de le dire avec émoi. Le J, le A, le Z, le Z, joué avec malice, Le barde assurait un score élevé, sans compromis, Et tous les spectateurs, pleins de surprise et d’admiration, Applaudissaient le barde, maître de cette création. Mais dans cette ballade, un avertissement, je vous fais, Car au Scrabble, mon ami, point de tricherie ni de tracas, Il faut jouer dans les règles, et cela est essentiel, Pour apprécier le jazz, sans en faire un vaudeville. Ainsi, au Moyen Âge, les mots s’enchaînaient en harmonie, Et le jazz, ce mot magique, offrait une symphonie, Les rimes et les rythmes se mêlaient, dans un ballet enivrant, Et les villageois repartaient, le cœur léger, le sourire flottant. Alors, mes amis, au gré des temps révolus, Souvenez-vous du jazz, et de ce mot tant attendu, Plongez dans les mots croisés, les lettres alignées avec sagesse, Et que cette ballade, vous inspire de joyeux scrabbles avec adresse ! »
Coluche – parti communiste et Titanic. Quelle est la différence entre le parti communiste français et le Titanic ? C’est qu’au moins, pendant le naufrage du Titanic, ils avaient de la musique !
Il fut un temps, dans les temps anciens, où une blague circulait de bouche à oreille, transmise de génération en génération comme une légende d’autrefois. Cette blague empreinte d’humour subtil et audacieux était racontée avec amusement et fascination par les conteurs de village, éveillant le rire et la réflexion des auditeurs. La légende commence dans le contexte tumultueux de la vie politique française, où les idéologies rivalisaient et s’affrontaient sans relâche. Au cœur de cette agitation se trouvait le parti communiste français, symbole de la lutte des travailleurs pour une société plus équitable. La légende raconte que le parti communiste français était comparé à un célèbre navire, le Titanic. Ce paquebot majestueux était connu de tous pour sa taille imposante et sa gloire insolente. Mais, comme toute légende a son lot de tragédie, le Titanic était destiné à une fin funeste. Et voici où l’humour de cette blague légendaire se dévoile : « Quelle est la différence entre le parti communiste français et le Titanic ? C’est qu’au moins, pendant le naufrage du Titanic, ils avaient de la musique ! » Cette expression comique cachait en réalité une vérité amère. Elle soulignait avec ironie le fait que, même dans les moments de désespoir et de tragédie, les passagers du Titanic avaient trouvé un certain réconfort dans la musique qui continuait de jouer pendant que le bateau sombrait dans l’océan abyssal. En faisant ce parallèle entre le parti communiste français et le Titanic, le conteur dénonçait avec subtilité l’absence de « musique » – une métaphore pour l’espoir et l’optimisme – au sein du parti. Il soulignait que malgré leurs ambitions, ces révolutionnaires manquaient d’un élément crucial pour mobiliser les masses et les guider vers un avenir meilleur. L’ironie mordante de cette blague ancienne réside dans le fait qu’elle mettait en lumière l’amertume ressentie par certains envers le parti communiste français. Dans cette légende mordante, l’humour servait de miroir déformant aux fracas de la politique, permettant aux contemporains de remettre en question les failles de leurs dirigeants sans pour autant offenser. Ainsi, cette blague, transmise tel un trésor caché par les sages d’autrefois, continue de résonner dans notre société moderne. Elle rappelle aux générations actuelles l’importance de l’équilibre entre la détermination politique et la recherche d’un espoir, de cette « musique » qui apaise les âmes troublées et guide les hommes vers un avenir meilleur.