Monstres

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Quel est le sport préféré des monstres ? Le squash… parce qu’ils aiment bien écraser les choses !

Titre : Les monstres ont trouvé leur sport ultime : le squash ! Dans le monde mystérieux des monstres, une révolution sportive est en cours. Les créatures d’outre-tombe ont enfin trouvé le sport qui correspond parfaitement à leurs penchants sarcastiques : le squash ! Au-delà de leur amour pour écraser les choses, les monstres ont découvert que le squash était le sport parfait pour affiner leurs capacités surnaturelles. Les parois capitonnées du terrain leur permettent de donner libre cours à leur force brute tout en évitant de causer des dommages matériels… enfin, la plupart du temps. Imaginez un moment : Frankenstein, avec sa taille imposante, brandissant une raquette deux fois plus grande que la normale, et envoyant la balle dans les coins les plus reculés du terrain. Les cris de joie retentissent à chaque impact, rappelant étrangement les hurlements de l’épouvantable créature elle-même. Le comte Dracula, lui, préfère jouer en pleine nuit, profitant de l’obscurité pour voler d’un coin à l’autre du terrain, tel un vampire assoiffé de sang. Sa rapidité surprend même les plus aguerris des joueurs. Et n’oublions pas la fameuse Momie. Chin uni, bandelettes enroulées autour de son corps fragile, elle se déplace lentement mais sûrement. Évitant adroitement les obstacles, elle écrase ses adversaires avec une précision chirurgicale. Bien sûr, les monstres ont également leurs propres codes dans le monde du squash. Les salutations sont effectuées avec une poignée de main légèrement trop franche, qui envoie parfois les challengers au tapis. Les hurlements de joie et les regards menaçants sont monnaie courante, provoquant une ambiance terrifiante sur le court. Cette nouvelle tendance monstrueuse a même touché le monde des tournois de squash. La compétition annuelle des « Masters Monstres » a connu un succès retentissant, attirant des foules fascinées par ces créatures légendaires maniant la raquette avec autant de grâce que de brutalité. Alors que les monstres continuent d’écraser leurs adversaires, littéralement et métaphoriquement, dans le monde du squash, les amateurs de frissons et d’humour ne peuvent s’empêcher de rire face à ce spectacle décadent et hilarant. Après tout, quel autre sport permettrait aux vampires, aux momies et aux monstres en tout genre de se lancer dans une compétition aussi explosive ? Ainsi, le squash est devenu le sport préféré des monstres, où ils peuvent assouvir leur soif de domination tout en suscitant l’amusement et l’admiration des spectateurs. Alors, si vous cherchez une bonne dose de frissons et de rires, ne cherchez pas plus loin que le squash version monstrueuse.

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Pourquoi les monstres n’utilisent-ils jamais de réseaux sociaux ? Parce qu’ils ont peur des trolls !

Titre: Les monstres préfèrent éviter les trolls sur les réseaux sociaux ! Chers lecteurs, aujourd’hui nous allons plonger dans un monde mystérieux, où les monstres et les trolls se rencontrent… ou plutôt, s’évitent habilement sur les réseaux sociaux ! Si vous vous demandez pourquoi vous n’avez jamais vu le Père Noël poster un selfie avec le monstre du Loch Ness, la réponse est simple : les monstres ont peur des trolls ! Mais pourquoi cette peur ancestrale des trolls ? Est-ce leur apparence déstabilisante ou leurs commentaires désagréables qui les effraient tant ? Allons à la rencontre de ces créatures mythiques pour comprendre leur point de vue. Notre première rencontre est avec le Monstre du placard, qui nous confie : « J’ai longtemps hésité à créer un compte Instagram pour partager mes styles vestimentaires effrayants. Mais dès que j’ai posté ma première photo, les trolls ont envahi les commentaires en me disant que j’étais passé de la mode « effroi chic » à « ringard lugubre ». C’est dur à encaisser… » En suivant les traces du Monstre du placard, nous arrivons devant le Moldu Grognon, une créature poilue, moitié homme moitié troll. Il nous raconte son expérience avec les réseaux sociaux : « Les monstres ont cette image effrayante qu’ils essaient de préserver depuis des siècles. Mais les trolls sont là pour ridiculiser nos poils ébouriffés, nos verrues et même notre haleine fétide. Je préfère encore éviter d’y aller et prendre mon mal en patience. » La Bloutte, un monstre abominable à quelques poils près, intervient dans la conversation : « L’une des raisons pour lesquelles les monstres fuient les réseaux sociaux est parce que nous ne voulons pas être confondus avec ces trolls. Ce n’est pas parce que nous prônons le chaos et la terreur que nous apprécions les commentaires blessants. Nous avons des standards, vous savez ? » Après avoir recueilli ces témoignages touchants, nous décidons de plonger encore plus profondément dans le monde des trolls pour comprendre leur fascination pour les monstres. Malheureusement, le seul troll que nous avons réussi à trouver était caché sous le pont des Lutins Rieurs et semblait plus intéressé par nos chaussures que par notre enquête. Les monstres et les trolls, deux espèces bien différentes, continuent donc de se tenir à distance sur les réseaux sociaux. Entre la vanité exacerbée des monstres et la jovialité sans limites des trolls, il semble impossible de trouver un terrain d’entente. Alors la prochaine fois que vous êtes sur vos réseaux sociaux, mes chers lecteurs, pensez aux monstres qui travaillent dur pour maintenir notre peur ancestrale. Et laissons les trolls dans leur coin, à poster des commentaires piquants sans réfléchir. Une chose est certaine : les monstres préfèrent certainement les cris horrifiés à leurs notifications Facebook ! Note de l’auteur : Bien sûr, cette histoire est purement fictive et ne reflète pas la réalité des monstres et des trolls (qui, rappelons-le, n’existent pas). Cet article est avant tout une blague et doit être pris avec humour et légèreté.