Un patient appelle son médecin : « Docteur je ne pourrais pas venir aujourd’hui… » … je suis malade. »
Message codé : Opération Cigogne, cible en position, la chouette chante à minuit. Situation critique, le hibou est malade.
Message codé : Opération Cigogne, cible en position, la chouette chante à minuit. Situation critique, le hibou est malade.
Mes chers concitoyens, Je m’adresse à vous aujourd’hui dans le cadre d’un discours d’une importance capitale. En ces temps troublés, il est essentiel de garder notre esprit vif et notre cœur léger. Ainsi, permettez-moi de partager avec vous une blague qui, l’air de rien, apporte une note de divertissement au milieu de la gravité. Imaginez un instant que vous êtes en présence d’un médecin réputé, un expert de la santé. Il est là, sérieux et concentré, sur le point d’ausculter une crevette. Oui, vous avez bien entendu, une crevette ! Vous vous demandez sans doute quelles sont les paroles proférées par ce médecin avant de débuter son examen minutieux. C’est alors que notre savant médecin, d’un ton solennel, se penche vers la crevette et lui lance cette mystérieuse phrase : « Décortiquez-vous ! ». Oui, vous avez bien entendu de nouveau. « Décortiquez-vous ! » Cette blague subtile, mes chers compatriotes, met en lumière l’absurdité de la situation, le contraste entre le sérieux de la profession médicale et la légèreté d’une plaisanterie. Elle nous rappelle que même au cœur des problèmes les plus épineux, il est important de prendre du recul et de sourire. Ainsi, je vous invite aujourd’hui à vous rappeler que malgré les difficultés, la vie continue. Que ce soit dans notre vie quotidienne ou dans les affaires de l’État, gardons cette capacité à rire et à nous prendre avec humour. C’est en cultivant cette légèreté que nous pourrons avancer, main dans la main, vers un avenir meilleur. Sur ce, mes chers concitoyens, je vous remercie de votre attention. Puisse cette blague, qui restera le point culminant de ce discours présidentiel, illuminer vos journées et vous rappeler que même dans les moments les plus sérieux, le rire est un bain de jouvence pour notre âme. Je vous souhaite à tous une excellente journée ! Vive la République, vive notre pays !
Par les puissantes forces des arcanes, l’examinateur, revêtu de son manteau d’intelligence, scruta l’étudiant en médecine d’un regard incandescent et posa sa question avec solennité : « Jeune apprenti de la médecine, dis-moi, quels sont donc les os qui composent la structure du crâne ? » Pris de court par cette demande enchanteresse, l’étudiant, se grattant la tête, osa répondre d’une voix frémissante : « Hélas, noble maître, je ne saurais les énumérer intégralement… Ils ne se trouvent pas tous dans les dédales de ma mémoire ! » Ainsi, sous l’emprise du sort lancé par l’étudiant, un vent mystique se mit à souffler et les plumes de la connaissance jaillirent de sa tête. Le voile de confusion embrasa la salle d’examen, alors que les os du crâne vinrent danser au-dessus de sa tête ! Les os de l’étudiant s’animaient avec une énergie inexplicable, flottant dans les airs tels des éclats d’ossements volants. Pendant que l’examinateur restait bouche bée devant ce spectacle magique, les os du crâne commencèrent à se mélanger, créant de nouvelles combinaisons aussi grotesques qu’aberrantes. D’abord, une corne de rhinocéros apparut à la place d’un front, tandis qu’un os péroné se transforma en une imposante défense d’éléphant. Le maxillaire inférieur se changea en une mâchoire de crocodile féroce et les orbites oculaires devinrent des cavités profondes, rappelant celles d’une chauve-souris. Puis les os, poussés par une force arcane indomptable, reprirent leur place initiale avec fracas. L’étudiant, désormais doté d’un crâne aussi affreux qu’absurde, fut condamné à errer dans les couloirs universitaires avec cette nouvelle apparence effrayante. Depuis ce jour, les étudiants qui manquent de connaissances osseuses sont tourmentés par cette malédiction, condamnés à errer dans ce royaume de savoir, avec leurs têtes transformées en mosaïques osseuses grotesques. Ainsi, retenez ceci, jeunes érudits : si un sorcier des connaissances vous interroge sur les os du crâne, mieux vaut ne pas avoir une réponse aussi désobligeante. Sinon, préparez-vous à subir des conséquences magiques et inattendues !