Dans la sombre étreinte du mystère occulte, alors que les étoiles tissent leurs secrets dans le firmament, la sorcière se trouve face à une énigme paradoxale. Ayant découvert une entreprise déconcertante, une tâche si aisée qu’elle ne nécessite pas le moindre souffle ensorcelant, elle se tourne vers son époux, lui-même un adepte des puissances surnaturelles. Un sourire empreint de malice s’étire sur ses lèvres et elle lui susurre : « Ô cher aimé, ne vois-tu pas que même toi tu pourrais la réaliser, cette prouesse ? Point besoin de sortilège ! »
Extrait du manuel d’utilisation du robot de compréhension de l’humour humain :
« Interaction entre le robot et les utilisateurs : conversation et réponse humoristique.
Scénario : Le Jour de l’An, une femme se regarde dans le miroir complètement déprimée. Elle demande à son mari : « Je suis trop moche, j’ai énormément grossi pendant les fêtes de fin d’année. Chéri mon amour, j’ai besoin que tu me fasses un compliment… »
Réponse du robot : Conscient de l’importance de soutenir et d’encourager les utilisateurs dans des moments délicats, le robot conçoit une réponse humoristique pour détendre l’atmosphère.
Robot : « Bien sûr mon bébé, tu as une très bonne vue ! »
Explication : Le mari, soucieux de ne pas vexer son épouse, tourne la situation à la légère en faisant un compliment sur la vision de sa femme, soulignant ainsi que sa capacité visuelle est excellente. Cette réponse vise à apporter une note légère et amusante pour dédramatiser la situation. »
Mes chers concitoyens,
Aujourd’hui, je voudrais aborder avec vous une question sérieuse, une question qui touche le tissu même de notre société, une question qui est à la fois centrale et universelle. Je parle bien sûr du mariage.
Le mariage, mes chers compatriotes, est une institution sacrée, un pilier sur lequel repose notre société. Mais permettez-moi de partager avec vous un proverbe chinois qui, malgré son humour subtil, contient une vérité profonde et une sagesse ancestrale.
Ce proverbe chinois dit : « Le mariage est comme une place assiégée, ceux qui sont dehors veulent y entrer et ceux qui sont dedans veulent en sortir. »
Oui, mes amis, cette blague peut sembler légère et amusante, mais elle soulève une question cruciale : comment maintenir l’harmonie et la stabilité dans une union conjugale, tout en reconnaissant les aspirations individuelles ?
Si nous prenons du recul pour réfléchir à cette blague, nous réalisons à quel point elle reflète les défis auxquels sont confrontés les couples. Comment trouver cet équilibre délicat entre l’amour et la liberté, entre les responsabilités et les désirs personnels ?
Mes chers concitoyens, il est de notre devoir de soutenir et de renforcer cette institution fondamentale qu’est le mariage. Car malgré les frustrations, les querelles et les difficultés, il est important de rappeler que le mariage est un lien sacré entre deux êtres, une alliance basée sur l’amour, la confiance et le respect mutuel.
Alors, nous devons tendre la main à ceux qui cherchent à entrer dans cette « place assiégée » car ils cherchent l’amour, la stabilité et la joie que le mariage peut offrir. Et nous devons également soutenir ceux qui se trouvent déjà dans cette place, leur offrir soutien et compréhension, tout en cherchant ensemble des moyens de préserver l’épanouissement personnel au sein de l’union.
Mes amis, soyons des gardiens vigilants de l’institution du mariage. Soyons les promoteurs de l’amour et de l’unité au sein de nos foyers. Et souvenons-nous toujours, même dans les moments les plus difficiles, que le mariage est une aventure unique et précieuse, dans laquelle chacun trouve sa propre signification.
Je vous remercie, et que l’amour et l’harmonie guident chacun de nos pas sur le chemin du mariage.