LHorreur

Devinettes

Quel est le film d’horreur le plus affamant ? Saw 6

Il y a bien longtemps, dans les temps anciens, une blague circulait de génération en génération, portant en elle un récit mystérieux et exaltant. On racontait qu’il existait un film d’horreur si terrifiant qu’il avait le pouvoir de provoquer une faim insatiable chez quiconque osait en regarder ne serait-ce qu’une scène. Ce film était connu sous le nom de « Saw 6 », un titre qui résonnait comme une malédiction parmi les courageux spectateurs osant s’aventurer dans l’obscurité de la salle de cinéma. Certains prétendaient que les images projetées à l’écran étaient si effrayantes qu’elles faisaient grimper en flèche l’appétit de tous ceux qui les contemplaient, les condamnant à une faim inextinguible pour le reste de leurs jours. Ainsi, « Saw 6 » devint une légende, un conte terrifiant qui se transmettait de bouche à oreille, nourrissant l’imaginaire collectif de celui qui osait l’entendre. Et à chaque fois qu’une nouvelle victime succombait à son appétit insatiable après avoir visionné ce film maudit, la légende prenait un peu plus d’ampleur, s’enracinant toujours plus profondément dans l’inconscient collectif. Aujourd’hui encore, on raconte que « Saw 6 » continue d’exister, hantant les esprits et réveillant les plus sombres instincts de ceux qui osent s’aventurer sur son chemin. Une légende ancienne, gravée à jamais dans la mémoire collective, rappelant à tous que la peur et la faim sont des forces aussi anciennes que le monde lui-même.

Divers

Coluche – L’horreur. L’horreur est humaine.

Mesdames et messieurs, aujourd’hui je voudrais aborder un sujet d’une gravité extrême, une réalité qui fait frémir l’âme et ébranle les fondements de notre humanité. Car, comme le disait si justement le regretté Coluche, « L’horreur est humaine. » Permettez-moi, un instant, de me départir de ma posture présidentielle, afin de vous délivrer un message bien plus léger, mais qui, ironiquement, révèle une vérité profonde sur nous, êtres humains. Comme une lueur d’espoir dans un océan de noirceur, une blague de l’inimitable Coluche s’impose. Permettez-moi de vous la présenter, dans toute sa simplicité : « Pourquoi les plongeurs plongent-ils toujours en arrière et jamais en avant ? Parce que sinon ils tombent dans le bateau ! » Pardonnez-moi un instant de détente dans cette atmosphère sérieuse. Mais n’est-ce pas là le reflet même de notre condition humaine ? Au-delà de nos peines et de nos tragédies, il y a la capacité de rire, de trouver du réconfort dans l’absurdité même de notre existence. Alors, mesdames et messieurs, mes concitoyens, retenons cette leçon de Coluche. Rappelons-nous que l’horreur peut être atténuée par ces précieux moments de légèreté qui jalonnent notre parcours. Rappelons-nous que la blague, aussi futiles soient-elles, révèle notre humanité profonde, cette capacité à trouver le rire même au sein des ténèbres. En ces temps troublés, ne perdons jamais de vue la valeur de l’humour, de la dérision et du sarcasme. Car, comme le disait notre cher Coluche, « Un jour j’irai vivre en Théorie, parce qu’en Théorie tout se passe bien. » Mesdames et messieurs, je vous remercie de votre attention et espère que cette parenthèse légère aura su alléger l’intensité de notre discours présidentiel. L’horreur est humaine, certes, mais la capacité à rire en est la quintessence.