KinderSurprise

Divers

L’autre jour, une fille que je connaissais à peine m’appelle soudainement et me lance, d’une voix pleine de sous-entendus : « Viens chez moi, il n’y a personne. » Intrigué et empli d’excitation, je m’habille à la hâte, l’esprit bourdonnant d’idées sur ce qui pourrait m’attendre. Je me précipite à travers la ville, le cœur battant, et j’arrive enfin, un bouquet de fleurs à la main, espérant la surprendre agréablement. Je sonne à sa porte, attendant avec impatience, mais personne ne répond. Après plusieurs tentatives infructueuses, je réalise que son invitation était un piège : il n’y avait littéralement personne chez elle !

J’étais complètement perdu. Comment pouvait-elle me demander de venir chez elle en me lançant des sous-entendus, pour ensuite ne même pas être là ? Je me sentais à la fois bête et déçu. Pensant qu’il devait y avoir une explication logique, je décide de lui envoyer un message pour comprendre ce qui se passe. « Hey, qu’est-ce qui se passe ? Tu m’as demandé de venir chez toi et maintenant tu n’es même pas là ? » Attendant une réponse impatiemment, j’allumais la télévision pour me distraire. Peut-être que cela aiderait à oublier ma déception momentanée. Soudain, mon téléphone sonne. C’était elle, la fille mystérieuse qui m’avait joué ce tour. En décrochant, je lui demande directement : « Qu’est-ce qui se passe vraiment ? Pourquoi m’as-tu demandé de venir chez toi si tu n’étais même pas là ? » De l’autre côté du téléphone, j’entends un éclat de rire. C’était un rire moqueur et joyeux à la fois. « Je suis vraiment désolée », dit-elle entre deux rires, « j’ai bien vu que tu avais pris ma blague au sérieux. En fait, je suis partie en week-end avec mes amis et j’ai simplement voulu te faire une petite farce. Je ne pensais pas que tu réagirais aussi rapidement ! » La surprise passée, je ne pouvais pas m’empêcher de rire avec elle. « Donc, tu n’es vraiment pas chez toi ? » demandai-je, les larmes aux yeux de rire. « Non, je suis terriblement désolée. Mais tu peux garder les fleurs, si tu veux ! » Nous avons continué à rire tous les deux, pendant que je restais planté devant sa porte, tenant le bouquet de fleurs dans une main et mon téléphone dans l’autre. Au final, cette blague était peut-être un peu cruelle, mais elle avait réussi à me faire sortir de ma zone de confort et à me montrer que je pouvais être enthousiaste pour les surprises de la vie, même si elles ne se déroulaient pas exactement comme prévu. Et qui sait, peut-être qu’un jour, j’aurai l’occasion de surprendre cette fille avec une blague encore plus drôle et inattendue. Après tout, la vie est faite de surprises, que l’on soit prêt ou non à y faire face.

Qui suis-je ?

Sans moi, Paris serait pris. Qui suis je ? La lettre A !

Il était une fois une petite lettre qui se promenait dans les rues animées de Paris. Elle se sentait fière et importante, car elle savait que sans elle, Paris ne serait jamais aussi célèbre. Elle aimait regarder tous les monuments majestueux emblématiques de la ville. Un jour, alors qu’elle se prélassait près de la Tour Eiffel, elle aperçut une autre lettre qui arrivait essoufflée. C’était la lettre P. Elle semblait paniquée et lui demanda de l’aide. Curieuse, la petite lettre A lui demanda ce qui n’allait pas. La lettre P expliqua qu’elle était partie en vacances dans les Caraïbes et avait complètement oublié son rôle essentiel dans le mot « Paris ». Sans elle, toutes les personnes venaient à prononcer le mot « Aris », et personne ne savait où se trouvait cette mystérieuse ville. La lettre A éclata de rire en se rendant compte de l’importance de cette situation. Elle décida alors d’aider la lettre P et lui dit : « Ne t’inquiète pas, j’ai une idée ! Nous allons aller voir la lettre R et lui demander de nous aider. » Les deux lettres parcoururent les rues, cherchant désespérément la lettre R. Finalement, ils la trouvèrent près de la cathédrale Notre-Dame. La lettre R était surprise de les voir et leur demanda ce qui se passait. La lettre A expliqua le dilemme de la lettre P et demanda si la lettre R pouvait se glisser entre elles pour former le mot « Paris ». La lettre R accepta volontiers et se joignit à elles, formant ainsi le mot « Paris ». Les trois lettres se tenaient fièrement, soulignant l’importance de leur rôle dans la renommée de la ville. Depuis ce jour, les lettres A, P et R sont devenues les meilleures amies. Elles se promènent fièrement dans les rues de Paris, racontant leur histoire drôle à tous ceux qu’elles rencontrent. Grâce à elles, les touristes peuvent prononcer correctement le nom de cette magnifique ville, et la lettre A est toujours admirée pour son rôle crucial dans cette aventure. Et voilà comment la petite lettre A, la lettre P et la lettre R sauvèrent Paris d’être pris dans un monde de confusion linguistique !

Divers

Pour un cannibale, une femme enceinte, c’est quoi ? Un Kinder Surprise.

Il était une fois, dans un petit village nommé Sourisville, vivait un cannibale particulièrement déjanté du nom de Gaston. Gaston était connu pour son sens de l’humour tordu et son appétit insatiable. Bien qu’il se nourrisse principalement de viande humaine, il était également espiègle et aimait semer la confusion chez les villageois. Un jour, alors que Gaston flânait près de la boulangerie du village, il aperçut une femme enceinte qui marchait lentement. Une idée farfelue lui vint alors en tête. Il se dit : « Pourquoi ne pas faire une blague sur les femmes enceintes ? » Le lendemain matin, Gaston se transforma en boucher ambulant et se posta près de l’entrée du marché. Sur son étal, il déposa un panier rempli de Kinder Surprise, ces délicieuses friandises chocolatées avec une surprise cachée à l’intérieur. Intrigués par cette nouveauté, les habitants du village commencèrent à s’approcher du panier de Gaston. Une jeune femme enceinte s’arrêta devant lui et demanda : « Excusez-moi, qu’est-ce que c’est ? » Gaston, déguisé en boucher avec un grand sourire narquois, répondit joyeusement : « Pour un cannibale, ma chère, une femme enceinte, c’est quoi ? Un Kinder Surprise ! » La femme éclata de rire, suivie de tous les villageois qui avaient entendu la blague. Même les personnes les plus sérieuses se mirent à sourire devant cette étrangeté. Cependant, un vieux sage du village nommé Maurice, qui avait un sens de l’humour un peu douteux, eut une idée encore plus farfelue. Il décida de jouer un tour au cannibale farceur. Le lendemain, Gaston alla chercher son panier rempli de Kinder Surprise pour continuer sa plaisanterie. Mais lorsqu’il ouvrit son étal, il découvrit que les friandises avaient mystérieusement disparu. Perplexe, Gaston commença à se demander ce qui s’était passé. Et lorsqu’il leva les yeux, il vit le vieux sage Maurice, avec un grand sourire, tenant fièrement une cigogne en peluche dans ses mains. Gaston éclata de rire devant cette scène ridicule. Il réalisa que les « Kinder Surprise » étaient devenus de vrais « Kinder Surprise » grâce à l’intervention du sage du village. Dès lors, Gaston comprit que le véritable plaisir se trouvait dans la blague elle-même, et non dans son contenu. Il décida donc de mettre un terme à ses envies cannibales et de consacrer sa vie à semer la joie et l’amusement dans le village de Sourisville. Ainsi, Gaston, le cannibale farceur, devint le clown préféré des habitants. Il animait des spectacles de cirque, faisait des tours de magie et inventait des blagues toujours plus loufoques. Et le village de Sourisville devint un véritable havre de rires, de sourires et de plaisanteries, grâce à un cannibale qui avait trouvé plus de plaisir à faire rire les autres qu’à les dévorer. Et ils vécurent tous joyeusement, en se disant que parfois, même les situations les plus étranges et les plus effrayantes pouvaient se transformer en quelque chose de merveilleux. FIN.