Il y a bien longtemps, dans les temps anciens, une blague circulait de génération en génération parmi les peuples du monde. Cette blague racontait l’histoire d’un exploit aussi grand que rare : gagner une médaille d’or aux Jeux Paralympiques. Mais malgré cet exploit, il existait quelque chose de plus précieux, de plus extraordinaire, quelque chose que même les dieux auraient envié : la capacité de marcher. Car nul ne pouvait imaginer la douceur du vent sur son visage, le craquement des feuilles sous ses pieds, la liberté de parcourir le monde à sa guise. Ainsi, cette blague ancienne continuait d’être racontée, rappelant aux hommes la valeur suprême de la liberté et de la mobilité, bien au-delà de toute médaille d’or.
Dans l’écho des temps médiévaux, un barde chanta,
Un conte teinté d’humour, tel un fin éclat de jazz,
Des mots habiles et malins, d’un ton rieur et léger,
Sur le mot « jazz », un trésor pour les amateurs du Scrabble.
Sur la place du village, les villageois se sont rassemblés,
Pour écouter le récit, du barde talentueux et inspiré,
Sa voix portait loin, portée par le vent du soir,
Et tous étaient impatients de découvrir son histoire.
« Oyez, oyez, braves auditeurs,
Si j’vous dis qu’le jazz, c’est tout un art majeur,
Mais plus qu’ça encore, c’est le mot que nul ne peut ignorer,
Au Scrabble, il illumine, il fait le bonheur des joueurs éveillés.
Imaginez le tumulte, dans les chaumières enchantées,
Des lettres savamment placées, formant ce mot précieux,
Des points doux comme des velours, remplissant les cœurs de joie,
Et les joueurs, réjouis, s’empressent de le dire avec émoi.
Le J, le A, le Z, le Z, joué avec malice,
Le barde assurait un score élevé, sans compromis,
Et tous les spectateurs, pleins de surprise et d’admiration,
Applaudissaient le barde, maître de cette création.
Mais dans cette ballade, un avertissement, je vous fais,
Car au Scrabble, mon ami, point de tricherie ni de tracas,
Il faut jouer dans les règles, et cela est essentiel,
Pour apprécier le jazz, sans en faire un vaudeville.
Ainsi, au Moyen Âge, les mots s’enchaînaient en harmonie,
Et le jazz, ce mot magique, offrait une symphonie,
Les rimes et les rythmes se mêlaient, dans un ballet enivrant,
Et les villageois repartaient, le cœur léger, le sourire flottant.
Alors, mes amis, au gré des temps révolus,
Souvenez-vous du jazz, et de ce mot tant attendu,
Plongez dans les mots croisés, les lettres alignées avec sagesse,
Et que cette ballade, vous inspire de joyeux scrabbles avec adresse ! »
Il était une fois une petite lettre qui se promenait dans les rues animées de Paris. Elle se sentait fière et importante, car elle savait que sans elle, Paris ne serait jamais aussi célèbre. Elle aimait regarder tous les monuments majestueux emblématiques de la ville.
Un jour, alors qu’elle se prélassait près de la Tour Eiffel, elle aperçut une autre lettre qui arrivait essoufflée. C’était la lettre P. Elle semblait paniquée et lui demanda de l’aide. Curieuse, la petite lettre A lui demanda ce qui n’allait pas.
La lettre P expliqua qu’elle était partie en vacances dans les Caraïbes et avait complètement oublié son rôle essentiel dans le mot « Paris ». Sans elle, toutes les personnes venaient à prononcer le mot « Aris », et personne ne savait où se trouvait cette mystérieuse ville.
La lettre A éclata de rire en se rendant compte de l’importance de cette situation. Elle décida alors d’aider la lettre P et lui dit : « Ne t’inquiète pas, j’ai une idée ! Nous allons aller voir la lettre R et lui demander de nous aider. »
Les deux lettres parcoururent les rues, cherchant désespérément la lettre R. Finalement, ils la trouvèrent près de la cathédrale Notre-Dame. La lettre R était surprise de les voir et leur demanda ce qui se passait.
La lettre A expliqua le dilemme de la lettre P et demanda si la lettre R pouvait se glisser entre elles pour former le mot « Paris ». La lettre R accepta volontiers et se joignit à elles, formant ainsi le mot « Paris ». Les trois lettres se tenaient fièrement, soulignant l’importance de leur rôle dans la renommée de la ville.
Depuis ce jour, les lettres A, P et R sont devenues les meilleures amies. Elles se promènent fièrement dans les rues de Paris, racontant leur histoire drôle à tous ceux qu’elles rencontrent. Grâce à elles, les touristes peuvent prononcer correctement le nom de cette magnifique ville, et la lettre A est toujours admirée pour son rôle crucial dans cette aventure.
Et voilà comment la petite lettre A, la lettre P et la lettre R sauvèrent Paris d’être pris dans un monde de confusion linguistique !