Invention

Divers

L’autobus est une invention géniale ! Il roule deux fois plus vite quand tu cours après que quand t’es assis dedans.

Qui suis-je ?

Qui suis-je ? Petit et grand. Quand je suis petit, je suis grand. Plus je vieillis, plus je deviens petit. Seul le vent peut m’empêcher de devenir petit. Qui suis-je ? Réponse : La bougie.

Dans les temps anciens, cette énigme était racontée de génération en génération comme une énigme mystérieuse, transmise de bouche à oreille. Elle était considérée comme une énigme d’une grande profondeur, capable de défier l’esprit des plus sages. Dans les légendes de nos ancêtres, on disait qu’elle était née d’un pacte entre le vent et la lumière, dans un univers où les éléments avaient des secrets à partager avec les humains. L’énigme commençait par une question énigmatique : « Qui suis-je ? Petit et grand. » Elle éveillait la curiosité des auditeurs, les plongeant dans un état de réflexion intense. Les vieilles histoires racontent que cette question faisait naître des débats animés entre les sages, chacun essayant de percer le mystère de l’énigme. Et puis, la réponse était dévoilée : « La bougie. » Les légendes disaient que la bougie était un être étrange et mystérieux, capable de changer de taille au fil du temps. Quand elle était allumée et fraîchement fabriquée, elle resplendissait de sa grandeur, illuminant les ténèbres avec sa flamme puissante. Mais au fur et à mesure qu’elle brûlait, elle rétrécissait, devenant de plus en plus petite, jusqu’à atteindre une taille minuscule. Seul le vent, lui-même un esprit libre et indomptable, était capable d’empêcher la bougie de devenir petite. Les anciens disaient que le vent aimait jouer avec la flamme, soufflant doucement pour la faire danser et créant ainsi une danse féérique entre la bougie et lui. Cette blague, racontée comme une légende ancienne, était une manière de mettre en lumière la dualité de la vie. Le fait que la bougie puisse être à la fois petite et grande, que le temps puisse la faire vieillir et la réduire en même temps, était une métaphore subtile de notre propre existence éphémère. Ainsi, cette blague, comme une légende qui s’est transmise à travers les générations, nous rappelle l’importance de profiter pleinement de la vie, car elle peut disparaître aussi rapidement que la flamme d’une bougie qui brûle.

Sport

Pourquoi dit-on qu’un parachute est le plus discret des équipements sportifs ? Parce que c’est un « parafaitpasdebruit » !

Entendez, bonnes gens, l’histoire que je vais conter, D’une époque lointaine où les braves chevaliers, Arpentant les champs de bataille avec fierté, Avaient pour divertissement de fameux faits. Au Moyen Âge, quand la guerre fut terminée, Les braves soldats cherchaient comment s’amuser, Et parmi eux se trouvait un barde itinérant, Qui, de chants en récits, enchantait les passants. Un soir, dans la taverne d’un petit village, Le barde s’installa sous l’œil de la foule sage, Et une ballade joyeuse il entonna, D’un équipement qu’on prétend bien silencieux. « Pourquoi dit-on qu’un parachute est si discret ? Dit le barde d’une voix claire, sans regret. C’est qu’il amortit les bruits avec élégance, Tel un doux souffle d’été qui frôle la romance. Oh, ce parachute, l’ami des cieux, Tel un enchantement, une mélodie pour les yeux, Il enveloppe les corps d’un rayon de clarté, Pour une arrivée gracieuse et tant espérée ! Un « parafaitpasdebruit », ainsi l’appelle-t-on, Un fameux équipement, une perle en toute saison, Au gré des vents, il danse tel un funambule, Sans faire d’ombre, ni laisser de traces d’obstacle. Qu’il soit arme des braves sautant du sommet, Ou compagnon des hommes volant de gaîté, Le parachute, ce fin génie mécanique, Fait preuve de discrétion telle une énigme antique. À l’agonie tourne cette histoire, D’un parachute aux vertus notoires, Silencieux, il chute, telle une plume danseuse, Emplissant les braves d’une joie amoureuse. Ainsi, joyeux compagnons, je vous le dis, Le parachute, notre ami, il est bel et bien, Équipement digne des contes et légendes, Qui vole en silence et nous enchante au présent. » Et le barde, alors, achevant son récit enchanté, S’éclipse dans l’ombre, laissant la foule subjuguée, Car cette ballade si bien rimée et scandée, Rappelle aux hommes un équipement bien-aimé.