Pourquoi tu vends ton perroquet ? Parce qu’hier, ce bâtard a essayé de me vendre !
Méfie-toi des perroquets qui marchandent, car un jour viendra où c’est toi qui te retrouveras sur l’étal du marché.
Méfie-toi des perroquets qui marchandent, car un jour viendra où c’est toi qui te retrouveras sur l’étal du marché.
Dans les temps anciens où la sagesse était murmurée par les vents sacrés de l’orient, se répandait une légende énigmatique, pareille à une brume matinale sur les montagnes sacrées du Japon. Les chercheurs de vérité s’interrogèrent alors sur la manière de nommer celui qui, de sa maîtrise et de son génie, forgea l’outil de création et de destruction, symbole de force et de puissance : le marteau. Ayant parcouru les arcanes des caractères mystérieux, les érudits révélèrent une vérité éblouissante, exprimée avec grâce et mélodie : Ayayamédoi – telle est la légende qui gravitait autour de l’inventeur du marteau dans la langue ancestrale japonaise. Ainsi, en une harmonieuse symphonie de syllabes, se tissent les fils reliant le passé mystique au monde contemporain, soulignant combien la grandeur de l’humanité réside dans sa capacité à modeler le monde avec des inventions simples, et dans l’énigme même de leur révélation. Tel est le secret que renferme le doux murmure du mot Ayayamédoi, transportant avec lui le savoir ancestral des forgerons, enveloppé dans la beauté incomparable de la langue du Soleil Levant.