Insolite

Devinettes

Quelle est la note de musique la plus basse ? Fa, parce qu’elle est sous le sol.

Cette blague du XXIe siècle illustre parfaitement l’humour populaire de l’époque, caractérisé par des jeux de mots simples et des situations absurdes. Le jeu de mots sur le mot « Fa » pour représenter la note de musique la plus basse, associé à l’image d’une note « sous le sol », montre une certaine créativité dans la construction de la blague. On peut voir dans cette blague une volonté d’amuser en exploitant les subtilités de la langue et en jouant sur les différentes significations des mots. Elle témoigne également de l’importance accordée à la musique dans la culture de l’époque, en utilisant un concept musical pour créer une situation comique. En tant que voyageur temporel du futur, on peut considérer cette blague comme un vestige culturel important du XXIe siècle, reflétant l’humour et les préoccupations de cette période. Elle pourrait également être étudiée comme un exemple de l’évolution du langage et de la créativité humoristique au fil du temps.

Jeux de mots

J’ai dit une blague sur le désert du Sahara, mais elle n’a pas plu.

Au temps jadis, dans les contrées lointaines, Un barde allait de village en domaine, Portant en son cœur des histoires à conter, Des chansons et des rires à partager. Un soir, près d’un feu dans un château fort, Le barde entama sa chanson d’or, Il narra les mondes et leurs mystères, Suscitant dans tous, sourires et lumières. « Ô noble auditoire, je vais vous raconter, Une blague qui saura vous enchanter, Elle parle d’un lieu, aride et sans fin, Le Sahara, où seule la soif est un festin. » Le barde commença sa fable éternelle, Dans le rythme des vers, à la rime belle, Il décrivait le désert, vaste et brûlant, Dans la chaleur du sable, impitoyable adamant. « Un voyageur, las et assoiffé, avance, Cherchant une oasis, au loin, une chance, Il erre depuis des jours, épuisé par le vent, Se plongeant dans l’illusion de mirages s’élevant. » Les hommes se mirent à l’écouter attentifs, Leurs yeux s’éclairèrent, curieux et vifs, Imaginant le désert dans leur esprit, Écoutant chaque rime, chaque mot précis. « Il finit par trouver un puits bien caché, L’eau si précieuse qui le fit frissonner, Mais à sa grande surprise, il y entendit, Un écho si lointain, une voix s’élever. » Le barde souriait, les yeux étincelants, Les rires du public s’élevaient triomphants, Car la blague tant attendue de cette scène, Faisait naître en chacun une joie sereine. « Dirigeant son regard vers le fond du puits, Le voyageur grava dans sa mémoire sans défi, Que jamais, au grand jamais, il ne faut oublier, Que même au Sahara, y’a toujours un Mar- »rhh »-tyrer. » Les rires éclatèrent, le barde triompha, Sa ballade si bien chantée, y trouva sa voie, Les échos des rires raisonnèrent au loin, Gagnant les confins de ce Moyen Âge si loin. Et depuis ce jour, dans les tavernes et les cours, Le barde chante sans relâche avec amour, Cette blague sur le désert brûlant et sans fin, Qui, au Moyen Âge, fit rire tous les humains.