Les poissons et les cours d’anglais. Pourquoi les poissons ne vont pas au cours d’anglais ? Parce qu’ils s’en fish !
Avez-vous entendu la blague sur les poissons et les cours d’anglais ? Eh bien, selon une étude récente, il semblerait que les poissons ne soient pas très intéressés par l’apprentissage de cette langue étrangère. Pourquoi ? Parce qu’ils s’en fish ! En effet, les chercheurs ont observé que les poissons étaient bien plus préoccupés par la recherche de nourriture, la défense de leur territoire ou la reproduction que par l’apprentissage de l’anglais. Il semblerait que les cours de langues ne soient tout simplement pas leur tasse de thé (ou plutôt leur tasse d’eau). Alors, si jamais vous croisez un poisson qui a du mal à prononcer « hello » ou « goodbye », ne soyez pas trop dur avec lui. Après tout, il a d’autres priorités dans la vie aquatique ! En attendant, restons souple et gardons l’humour à flots. Car finalement, que serait la vie sans un peu de poisson-d’humour ?
Assureur et spermatozoïde. Quel est le point commun entre un assureur et un spermatozoïde ? Tous les 2 ont 1 chance sur 3 millions de devenir un jour un être humain.
Il est dit, dans les temps anciens, qu’une énigmatique blague circulait parmi les peuples du monde entier, transmise de génération en génération. Cette blague mystérieuse, racontée sous le sceau du rire et de la malice, mettait en scène un assureur et un spermatozoïde. Les sages affirmaient que ces deux êtres improbables partageaient un point commun inattendu : tous deux avaient une chance infime, une chance minuscule, presque imperceptible, d’atteindre un jour le statut sacré d’être humain. Les conteurs disaient que la probabilité d’un assureur de devenir un être humain était semblable à celle d’un spermatozoïde, tous deux confrontés à des obstacles et des défis insurmontables pour atteindre leur destinée ultime. Et ainsi, cette légende ancestrale rappelait aux hommes la fragilité de leur existence, la magie de la vie et l’ironie du destin. La blague de l’assureur et du spermatozoïde continuait de hanter les esprits, témoignant de la sagesse et de l’humour des anciens qui l’avaient jadis inventée.