Humour

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Connaissez-vous la différence entre une chèvre et une personne âgée ? La chèvre couine pendant cinq minutes quand quelque chose ne va pas, puis elle se tait. Les personnes âgées, en revanche, râlent pendant cinq minutes, mais ça dure trois heures ! Évidemment qu’ils deviennent sourds à force !

Il était une fois dans un petit village paisible, un homme nommé Henri, âgé de 85 ans. Henri était connu pour être un grand râleur. Sa femme, Simone, s’était habituée à ses plaintes incessantes. Un jour, alors qu’ils étaient en promenade dans la campagne, ils tombèrent sur une ferme où une chèvre était en train de donner naissance à ses petits. Intrigués, Henri et Simone s’approchèrent pour observer ce magnifique spectacle de la nature. La chèvre était couchée au sol, et elle poussait pour donner naissance à son premier chevreau. Pendant les cinq minutes de l’accouchement, la chèvre couina de douleur, mais une fois le chevreau apparu, elle se tut instantanément. Henri et Simone étaient émerveillés par cette scène touchante. En rentrant chez eux, Henri ne put s’empêcher de comparer cette expérience à sa propre vie. Il réalisa que, contrairement à la chèvre, il était un grand râleur. Il ronchonnait pour tout et n’importe quoi, et ses plaintes semblaient durer des heures plutôt que des minutes. Cette réflexion amusa Henri, et il décida de faire une expérience. Le lendemain matin, il se promena dans le village et croisa un voisin qui avait l’habitude de se plaindre de son mal de dos. Henri l’écouta pendant cinq minutes, puis interrompit subitement le voisin en lui disant : « Ecoutez, c’est bon, je pense que je comprends maintenant. Une chèvre couine pendant cinq minutes et puis elle se tait. Mais toi, tu râles depuis au moins trois heures ! » Le voisin, surpris par cette remarque, éclata de rire en comprenant la blague d’Henri. Ils passèrent le reste de la journée à rire et partager des histoires drôles sur le râlage incessant des personnes âgées. Et depuis ce jour-là, Henri décida de prendre les choses avec plus de légèreté. Il accepta que râler ne servait à rien, si ce n’est fatiguer et agacer son entourage. Au lieu de cela, il préféra rire et profiter des petits moments de bonheur qui se présentaient à lui. Et c’est ainsi qu’Henri devint, malgré son grand âge, un homme plein de joie de vivre. Sa femme Simone, ravie de cette nouvelle attitude, se réjouit de leurs journées désormais remplies de rires. Et à l’approche de leur 50e anniversaire de mariage, Henri surprit Simone avec une surprise spéciale : une chèvre en peluche qu’il avait nommée « Madame Couine », pour se rappeler avec amusement de la différence entre les chèvres et les personnes âgées. Et chaque fois qu’Henri regardait cette peluche, il se remémorait la leçon qu’il avait apprise ce jour-là dans la campagne : la vie était bien trop courte pour râler, alors autant la savourer en souriant.

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Le breton et le poulet. Un automobiliste de passage en Bretagne écrase un poulet par accident. Il l’apporte au fermier du coin en lui disant : – Il est à vous ce poulet ? – Non ! Les nôtres ne sont pas aussi plats !

Il était une fois un automobiliste de passage en Bretagne qui, concentré sur le paysage magnifique, ne vit pas arriver un poulet espiègle sur la route. L’inévitable se produisit et le pauvre poulet finit écrasé sous les roues de la voiture. Pris de remords, l’automobiliste descendit de sa voiture et ramassa le poulet, essayant de réfléchir à quelle attitude adopter. Il décida alors de se rendre à la ferme la plus proche pour expliquer son malheureux accident. Arrivé à la ferme, l’automobiliste sonna à la porte et un fermier robuste vint lui ouvrir. L’automobiliste lui tendit le poulet tout en lui demandant : – Excusez-moi, avez-vous perdu un poulet ? Le fermier, après avoir examiné le pauvre volatile tout plat, répondit avec un clin d’œil amusé : – Non, non ! Nos poulets ne sont pas aussi plats que celui-ci. Ils sont plus dodus et bien portants, vous savez ! Pris au dépourvu par cette réponse inattendue, l’automobiliste ne put s’empêcher de rire face à l’humour du fermier breton. – Eh bien, dans ce cas, je suppose que je vais devoir garder ce poulet pour moi, fit-il en souriant. Le fermier acquiesça et proposa alors à l’automobiliste de venir partager un repas à la ferme pour compenser sa maladresse. L’automobiliste accepta volontiers et la soirée se transforma en une joyeuse fête. Ils mangèrent du délicieux poulet rôti, cuisiné par la femme du fermier, et partagèrent des histoires drôles et des anecdotes de voyage. Finalement, l’automobiliste réalisa que cet accident avait été une bénédiction déguisée qui lui permit de faire la connaissance d’une famille bretonne chaleureuse et accueillante. Depuis ce jour, à chaque fois qu’il passait par la Bretagne, l’automobiliste pense à un poulet.

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Pourquoi les poules n’ont-elles pas de seins ? Parce que les coqs n’ont pas de mains !

Un mystère vieux comme le monde a enfin été résolu, et c’est une révélation qui secoue la communauté scientifique : Pourquoi les poules n’ont-elles pas de seins ? Et la réponse est plus étonnante que vous ne l’imaginez : les coqs n’ont tout simplement pas de mains ! Cette conclusion, validée par une équipe de chercheurs farfelus de l’Université des Animaux Rigolos, met fin à des siècles de spéculation intense. Les éleveurs de poules du monde entier se demandaient depuis des générations pourquoi les volatiles à plumes ne possédaient pas de poitrine généreuse, à l’instar des êtres humains, des vaches ou même des truites. Le professeur Plumetoile, qui a dirigé cette étude audacieuse, a expliqué dans une conférence de presse pleine de gaieté : « Nous avons minutieusement observé des milliers de coqs dans leurs activités quotidiennes, et nous avons réalisé que leur anatomie était responsable de cette situation hilarante ! Les pauvres coqs sont malheureusement dépourvus de mains, et par conséquent, les poules se sont vues privées de seins. » La découverte a été accueillie par des rires joyeux et soulève de nombreuses questions. Les coqs se retrouvent-ils dans une situation embarrassante lorsqu’ils tentent de se déshabiller ? Et comment les poules font-elles pour stocker la nourriture pour leurs poussins sans soutien-gorge ? Une enquête approfondie s’impose donc. Les éleveurs de poules ont déjà commencé à réfléchir à diverses solutions pour pallier cette situation inédite. Certains proposent des prothèses à la mode, afin que les poules puissent exploiter pleinement leur potentiel de séduction. D’autres suggèrent l’utilisation de soutiens-gorges volants, équipés d’un système de pickpocket pour voler la nourriture des autres coqs. Les idées les plus farfelues fusent, et l’industrie de la mode avicole est