Humour

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Une fille et son petit frère. Une fille demande à sa mère : – Est ce que mon petit frère est un ange ? – Oui ma chérie. – Alors pourquoi ne s’est-il pas envolé quand je l’ai jeté par la fenêtre la dernière fois ?

Il était une fois une petite fille espiègle nommée Léa, qui avait un petit frère prénommé Lucas. Lucas était un bébé tout mignon avec des boucles d’or sur la tête, mais Léa avait toujours des doutes sur sa nature céleste. Un jour, alors que leur maman préparait le déjeuner dans la cuisine, Léa s’approcha d’elle avec une expression curieuse sur le visage. Elle lui posa alors une question qui avait le potentiel de laisser la maman sans voix. – Maman, est-ce que mon petit frère est un ange ? demanda Léa, les yeux pétillants d’excitation. La maman sourit doucement et répondit : « Bien sûr, ma chérie, ton petit frère est un ange. » En entendant cela, Léa ne put s’empêcher de sourire avec joie. Elle avait déjà un plan délirant en tête pour prouver à tout le monde que ce bébé potelé était bel et bien un ange. Le lendemain matin, alors que tout le monde dormait encore, Léa sortit discrètement de sa chambre. Elle avait un grand sac à dos dans lequel elle avait soigneusement emballé Lucas. Sa mission était simple : prouver que son petit frère était un ange en le lançant par la fenêtre pour vérifier s’il allait s’envoler. Avec une détermination sans faille, Léa se rendit dans la chambre de Lucas et le souleva délicatement dans ses bras. Elle ouvrit doucement la fenêtre, un sourire malicieux sur le visage. Puis, elle prit une grande respiration et… « BOING ! » Au moment où Léa s’apprêtait à jeter Lucas, elle entendit un bruit étonnant provenant de l’extérieur. Elle se tourna vivement vers la fenêtre pour voir ce qui se passait. Et devinez quoi ? Un trampoline ! Un voisin avait installé un trampoline juste en dessous de la fenêtre pendant la nuit. Lucas atterrit doucement sur le trampoline, rebondissant joyeusement sans se douter une seconde de ce qui s’était passé. Léa était sans voix. Elle venait de réaliser que son petit frère n’était peut-être pas un ange, mais qu’il avait toute la chance du monde. Le voisin, qui avait été réveillé par le bruit, appela la maman de Léa pour lui expliquer ce qui s’était passé. Bien sûr, la maman ne put s’empêcher de rire de la situation rocambolesque. Depuis ce jour, Léa ne doute plus de la nature de son petit frère. Elle a appris que même s’il n’est pas un ange capable de voler, il est quand même un petit miracle avec sa chance insolente. Et chaque fois qu’elle regarde Lucas rebondir sur le trampoline, elle ne peut s’empêcher de rire en pensant à cette journée mémorable où elle a essayé de faire voler son petit frère.

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Connaissez-vous la différence entre une chèvre et une personne âgée ? La chèvre couine pendant cinq minutes quand quelque chose ne va pas, puis elle se tait. Les personnes âgées, en revanche, râlent pendant cinq minutes, mais ça dure trois heures ! Évidemment qu’ils deviennent sourds à force !

Il était une fois dans un petit village paisible, un homme nommé Henri, âgé de 85 ans. Henri était connu pour être un grand râleur. Sa femme, Simone, s’était habituée à ses plaintes incessantes. Un jour, alors qu’ils étaient en promenade dans la campagne, ils tombèrent sur une ferme où une chèvre était en train de donner naissance à ses petits. Intrigués, Henri et Simone s’approchèrent pour observer ce magnifique spectacle de la nature. La chèvre était couchée au sol, et elle poussait pour donner naissance à son premier chevreau. Pendant les cinq minutes de l’accouchement, la chèvre couina de douleur, mais une fois le chevreau apparu, elle se tut instantanément. Henri et Simone étaient émerveillés par cette scène touchante. En rentrant chez eux, Henri ne put s’empêcher de comparer cette expérience à sa propre vie. Il réalisa que, contrairement à la chèvre, il était un grand râleur. Il ronchonnait pour tout et n’importe quoi, et ses plaintes semblaient durer des heures plutôt que des minutes. Cette réflexion amusa Henri, et il décida de faire une expérience. Le lendemain matin, il se promena dans le village et croisa un voisin qui avait l’habitude de se plaindre de son mal de dos. Henri l’écouta pendant cinq minutes, puis interrompit subitement le voisin en lui disant : « Ecoutez, c’est bon, je pense que je comprends maintenant. Une chèvre couine pendant cinq minutes et puis elle se tait. Mais toi, tu râles depuis au moins trois heures ! » Le voisin, surpris par cette remarque, éclata de rire en comprenant la blague d’Henri. Ils passèrent le reste de la journée à rire et partager des histoires drôles sur le râlage incessant des personnes âgées. Et depuis ce jour-là, Henri décida de prendre les choses avec plus de légèreté. Il accepta que râler ne servait à rien, si ce n’est fatiguer et agacer son entourage. Au lieu de cela, il préféra rire et profiter des petits moments de bonheur qui se présentaient à lui. Et c’est ainsi qu’Henri devint, malgré son grand âge, un homme plein de joie de vivre. Sa femme Simone, ravie de cette nouvelle attitude, se réjouit de leurs journées désormais remplies de rires. Et à l’approche de leur 50e anniversaire de mariage, Henri surprit Simone avec une surprise spéciale : une chèvre en peluche qu’il avait nommée « Madame Couine », pour se rappeler avec amusement de la différence entre les chèvres et les personnes âgées. Et chaque fois qu’Henri regardait cette peluche, il se remémorait la leçon qu’il avait apprise ce jour-là dans la campagne : la vie était bien trop courte pour râler, alors autant la savourer en souriant.

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Le breton et le poulet. Un automobiliste de passage en Bretagne écrase un poulet par accident. Il l’apporte au fermier du coin en lui disant : – Il est à vous ce poulet ? – Non ! Les nôtres ne sont pas aussi plats !

Il était une fois un automobiliste de passage en Bretagne qui, concentré sur le paysage magnifique, ne vit pas arriver un poulet espiègle sur la route. L’inévitable se produisit et le pauvre poulet finit écrasé sous les roues de la voiture. Pris de remords, l’automobiliste descendit de sa voiture et ramassa le poulet, essayant de réfléchir à quelle attitude adopter. Il décida alors de se rendre à la ferme la plus proche pour expliquer son malheureux accident. Arrivé à la ferme, l’automobiliste sonna à la porte et un fermier robuste vint lui ouvrir. L’automobiliste lui tendit le poulet tout en lui demandant : – Excusez-moi, avez-vous perdu un poulet ? Le fermier, après avoir examiné le pauvre volatile tout plat, répondit avec un clin d’œil amusé : – Non, non ! Nos poulets ne sont pas aussi plats que celui-ci. Ils sont plus dodus et bien portants, vous savez ! Pris au dépourvu par cette réponse inattendue, l’automobiliste ne put s’empêcher de rire face à l’humour du fermier breton. – Eh bien, dans ce cas, je suppose que je vais devoir garder ce poulet pour moi, fit-il en souriant. Le fermier acquiesça et proposa alors à l’automobiliste de venir partager un repas à la ferme pour compenser sa maladresse. L’automobiliste accepta volontiers et la soirée se transforma en une joyeuse fête. Ils mangèrent du délicieux poulet rôti, cuisiné par la femme du fermier, et partagèrent des histoires drôles et des anecdotes de voyage. Finalement, l’automobiliste réalisa que cet accident avait été une bénédiction déguisée qui lui permit de faire la connaissance d’une famille bretonne chaleureuse et accueillante. Depuis ce jour, à chaque fois qu’il passait par la Bretagne, l’automobiliste pense à un poulet.