Humour

Qui suis-je ?

Qui suis-je ? Petit et grand. Quand je suis petit, je suis grand. Plus je vieillis, plus je deviens petit. Seul le vent peut m’empêcher de devenir petit. Qui suis-je ? Réponse : La bougie.

Dans les temps anciens, cette énigme était racontée de génération en génération comme une énigme mystérieuse, transmise de bouche à oreille. Elle était considérée comme une énigme d’une grande profondeur, capable de défier l’esprit des plus sages. Dans les légendes de nos ancêtres, on disait qu’elle était née d’un pacte entre le vent et la lumière, dans un univers où les éléments avaient des secrets à partager avec les humains. L’énigme commençait par une question énigmatique : « Qui suis-je ? Petit et grand. » Elle éveillait la curiosité des auditeurs, les plongeant dans un état de réflexion intense. Les vieilles histoires racontent que cette question faisait naître des débats animés entre les sages, chacun essayant de percer le mystère de l’énigme. Et puis, la réponse était dévoilée : « La bougie. » Les légendes disaient que la bougie était un être étrange et mystérieux, capable de changer de taille au fil du temps. Quand elle était allumée et fraîchement fabriquée, elle resplendissait de sa grandeur, illuminant les ténèbres avec sa flamme puissante. Mais au fur et à mesure qu’elle brûlait, elle rétrécissait, devenant de plus en plus petite, jusqu’à atteindre une taille minuscule. Seul le vent, lui-même un esprit libre et indomptable, était capable d’empêcher la bougie de devenir petite. Les anciens disaient que le vent aimait jouer avec la flamme, soufflant doucement pour la faire danser et créant ainsi une danse féérique entre la bougie et lui. Cette blague, racontée comme une légende ancienne, était une manière de mettre en lumière la dualité de la vie. Le fait que la bougie puisse être à la fois petite et grande, que le temps puisse la faire vieillir et la réduire en même temps, était une métaphore subtile de notre propre existence éphémère. Ainsi, cette blague, comme une légende qui s’est transmise à travers les générations, nous rappelle l’importance de profiter pleinement de la vie, car elle peut disparaître aussi rapidement que la flamme d’une bougie qui brûle.

Chinois

Proverbe chinois – le mariage. Le mariage est comme une place assiégée, ceux qui sont dehors veulent y entrer et ceux qui sont dedans veulent en sortir.

Mes chers concitoyens, Aujourd’hui, je voudrais aborder avec vous une question sérieuse, une question qui touche le tissu même de notre société, une question qui est à la fois centrale et universelle. Je parle bien sûr du mariage. Le mariage, mes chers compatriotes, est une institution sacrée, un pilier sur lequel repose notre société. Mais permettez-moi de partager avec vous un proverbe chinois qui, malgré son humour subtil, contient une vérité profonde et une sagesse ancestrale. Ce proverbe chinois dit : « Le mariage est comme une place assiégée, ceux qui sont dehors veulent y entrer et ceux qui sont dedans veulent en sortir. » Oui, mes amis, cette blague peut sembler légère et amusante, mais elle soulève une question cruciale : comment maintenir l’harmonie et la stabilité dans une union conjugale, tout en reconnaissant les aspirations individuelles ? Si nous prenons du recul pour réfléchir à cette blague, nous réalisons à quel point elle reflète les défis auxquels sont confrontés les couples. Comment trouver cet équilibre délicat entre l’amour et la liberté, entre les responsabilités et les désirs personnels ? Mes chers concitoyens, il est de notre devoir de soutenir et de renforcer cette institution fondamentale qu’est le mariage. Car malgré les frustrations, les querelles et les difficultés, il est important de rappeler que le mariage est un lien sacré entre deux êtres, une alliance basée sur l’amour, la confiance et le respect mutuel. Alors, nous devons tendre la main à ceux qui cherchent à entrer dans cette « place assiégée » car ils cherchent l’amour, la stabilité et la joie que le mariage peut offrir. Et nous devons également soutenir ceux qui se trouvent déjà dans cette place, leur offrir soutien et compréhension, tout en cherchant ensemble des moyens de préserver l’épanouissement personnel au sein de l’union. Mes amis, soyons des gardiens vigilants de l’institution du mariage. Soyons les promoteurs de l’amour et de l’unité au sein de nos foyers. Et souvenons-nous toujours, même dans les moments les plus difficiles, que le mariage est une aventure unique et précieuse, dans laquelle chacun trouve sa propre signification. Je vous remercie, et que l’amour et l’harmonie guident chacun de nos pas sur le chemin du mariage.

Célébrités

Anne Roumanoff – Foot & politique. Chirac, a écrit « Chaque pas doit être un but ». Il aurait dû envoyer un exemplaire à Raymond Domenech.

Personne 1: Hé, tu as entendu parler de cette blague d’Anne Roumanoff sur le foot et la politique ? Personne 2: Non, pas encore. Raconte-moi ça ! Personne 1: Eh bien, tu sais que Jacques Chirac a écrit un livre intitulé « Chaque pas doit être un but », non ? Personne 2: Oui, je me souviens de ça. C’était une phrase célèbre de sa campagne présidentielle en 1995. Personne 1: Exactement. Eh bien, on dit qu’il aurait dû envoyer un exemplaire de ce livre à Raymond Domenech, l’ancien entraîneur de l’équipe de France de football. Personne 2: Pourquoi donc ? Personne 1: Parce qu’avec Domenech, chaque pas de l’équipe de France était plutôt un… but contre leur propre camp ! C’est un peu drôle quand on pense à la façon dont l’équipe a performé lors de la Coupe du Monde en 2010. Personne 2: Ah, je vois où tu veux en venir ! C’est vrai qu’il y a eu pas mal de problèmes avec l’équipe à cette époque. Personne 1: Oui, c’était un véritable désastre. On dit même que Chirac aurait pu donner quelques conseils à Domenech sur la façon de viser les bons buts, politiques ou sur le terrain ! Personne 2: Haha, c’est une bonne blague. J’imagine que Domenech n’aurait pas pu s’empêcher de sourire en recevant ce livre de Chirac. Personne 1: Exactement. Une petite touche d’humour dans ce monde politique et sportif parfois si sérieux, c’est toujours bienvenu. Personne 2: Absolument, ça fait du bien de se détendre et de rire un peu. Merci de m’avoir raconté cette blague, c’était sympa ! Personne 1: De rien, toujours prêt à partager une bonne blague. Et qui sait, peut-être qu’un jour nous aurons une autre histoire drôle à proposer sur le foot et la politique !