Humour

Jeux de mots

2 militaires discutent : Pourquoi tu t’es engagé ? Je suis célibataire et j’aime la guerre, et toi ? Je suis marié et je voulais avoir la paix.

Dans le monde ensorcelé, où des enchantements constants flottaient dans l’air, deux braves guerriers échangeaient des mots lors d’un moment de répit. L’un d’eux, les yeux étincelants d’une magie mystérieuse, posa la question : « Pourquoi t’es-tu engagé dans cette bataille, camarade ? » demanda-t-il. L’autre soldat, portant une armure solide et une épée forgée par un maître enchanteur, répliqua avec un sourire malicieux : « Je suis céli… célibataire et j’aime honorer mes ancêtres dans la guerre sans fin. Et toi, valeureux compagnon ? Pourquoi as-tu embrassé cette destinée guerrière ? » Le guerrier celibataire, laissant un sourire éclater sur son visage, répondit : « Je suis marié, cher ami, et je cherchais désespérément la paix. Quel meilleur moyen de trouver le calme éternel que dans le tourbillon chaotique d’une bataille sans fin ? » Soudain, le ciel s’assombrit et les étoiles s’alignèrent dans un motif étrange. Un éclair chargé de magie frappa les deux combattants, fusionnant leur destinée pour l’éternité. Leur sort fut scellé dans cette plaisanterie impétueuse. Dès lors, chaque jour de guerre, le guerrier marié était condamné à se retrouver aux côtés de son camarade célibataire. Leurs vies entrelacées dans une symphonie d’action constante. Mais voici la conséquence aussi imprévisible que magique de leur échange frivole : quand le célibataire montait au front, il connaissait une paix éphémère et reposante, trouvant refuge dans la mêlée. Pendant ce temps, le guerrier marié se retrouvait tourmenté et bruyant, sauvagement poussé au combat par une épouse toujours insatisfaite. Ainsi, les rôles s’inversèrent entre les deux guerriers, la guerre devenant paisible et réparatrice pour l’un, tandis que la paix se transformait en tumulte constant pour l’autre. Et ainsi, ces deux soldats, liés par une magie farceuse, poursuivirent leur existence conjointe, jamais libérés de l’ironie envoûtante d’une plaisanterie transformée en sort éternel.

Divers

Pourquoi il y a toujours trop de monde dans un métro ? Parce qu’on en met trop.

Il était une fois, dans la belle ville de Paris, une journée ensoleillée où le métro était particulièrement bondé. Les wagons étaient remplis à ras bord de passagers, créant une ambiance chaleureuse et étouffante. Les personnes se bousculaient, essayant de trouver un petit espace pour reprendre leur souffle. Parmi ces voyageurs, se trouvait Jérôme, un homme aux cheveux ébouriffés et à l’air un peu perdu. Il avait eu une journée longue et épuisante au travail et tout ce qu’il souhaitait, c’était rentrer chez lui pour se reposer. Alors qu’il faisait la queue pour monter à bord du métro, Jérôme ne put s’empêcher de remarquer la marée de monde autour de lui. Intrigué, il se demanda pourquoi il y avait toujours autant de monde dans le métro. Une idée farfelue surgit alors dans son esprit fatigué. Sans réfléchir plus longtemps, Jérôme sortit une petite pancarte de son sac à dos. Sur celle-ci, on pouvait lire : « STOP ! Règlement anti-surpopulation à bord du métro ». Les autres passagers le regardèrent, perplexes. Jérôme se mit à annoncer d’une voix forte et claire : « Chers passagers, nous avons tous été informés de la croissance démographique constante dans notre cher métro. Cependant, je suis fier de vous annoncer que je suis le nouveau « distributeur d’espace ». Aujourd’hui, il y aura une modification de la réglementation en matière de foule dans le métro ». Tout le monde écoutait attentivement, se demandant ce que Jérôme allait faire. Il pointa alors du doigt une personne au hasard et dit : « Vous, là-bas ! Vous êtes trop grand, vous devrez sortir du métro ». La personne en question, surprise, s’exécuta rapidement. Ce qui suivit fut une série de moments comiques où Jérôme pointait du doigt les gens et leur demandait de sortir du métro pour diverses raisons farfelues : « Trop de cheveux », « Trop souriant », « Trop bien habillé ». Les passagers, dans une joyeuse confusion, sortaient un par un du métro, à la demande de Jérôme. Pendant ce temps, de l’autre côté du quai, les gens se massaient, impatients de monter dans le prochain métro. Après une bonne dose de rires et de légèreté, Jérôme réalisa finalement que son histoire drôle touchait à sa fin. Les passagers qui avaient accepté de sortir du métro étaient revenus à bord, et le métro était à nouveau plein à craquer. Jérôme, ravi d’avoir apporté un peu de gaieté à cette journée agitée, décida de ranger sa pancarte dans son sac à dos. Après tout, il avait compris que la foule était inévitable dans un métro aussi populaire que celui-ci. Alors que le métro roulait hors de la station, Jérôme se perdit dans ses pensées, se demandant quelle autre blague farfelue il pourrait bien inventer pour la prochaine fois. Après tout, un peu d’humour était toujours le bienvenu dans les moments les plus bondés de la vie quotidienne.

Humour Noir

Un nécrophile et un nageur. Quel est le point commun entre un nécrophile et un homme qui se baigne en Bretagne ? Tous les deux disent : Elle est froide mais une fois dedans, elle est bonne.

Personne 1 (Pierre) : Hé, avez-vous entendu cette blague sur un nécrophile et un homme qui se baigne en Bretagne ? Personne 2 (Hans) : Non, pas encore. Racontez-la moi ! Pierre: Eh bien, le point commun entre un nécrophile et un homme qui se baigne en Bretagne, c’est qu’ils disent tous les deux : « Elle est froide, mais une fois dedans, elle est bonne. » Hans: Ahahaha ! C’est vraiment drôle ! Mais je suppose que l’eau en Bretagne est un peu froide, non ? Pierre: Oui, c’est vrai ! Les eaux bretonnes ont la réputation d’être fraîches même en été. Mais une fois qu’on s’y habitue, c’est rafraîchissant et agréable. Hans: J’imagine qu’il faut avoir du courage pour se baigner dans ces eaux froides, tout comme un nécrophile doit avoir un goût particulier… Pierre: Exactement ! La blague joue sur cette idée d’un goût étrange, mais aussi sur la surprise que peuvent apporter les choses, même si elles semblent peu attirantes au premier abord. Hans: J’adore quand une blague combine l’humour et une petite critique subtile. Celle-ci est vraiment bien faite ! Pierre: Content que ça vous ait plu ! Il faut toujours trouver le côté amusant, même dans les sujets les plus sensibles. C’est ce qui rend l’humour si spécial, n’est-ce pas ? Hans: Oh, absolument ! L’humour peut vraiment apporter du réconfort et alléger l’atmosphère, surtout lorsqu’on en a le plus besoin. Pierre: Tout à fait d’accord avec vous, mon ami. L’humour est vraiment universel et peut nous rassembler, quelle que soit notre origine européenne. Hans: Absolument, Pierre. Vive l’humour et la diversité culturelle ! Pierre: Cheers à ça !