Humour

Proverbes

Proverbe québécois – Un homme sans femme. Un homme sans femme ne tient pas l’hiver.

Il était une fois, au Moyen Âge, Un homme sans femme, un homme bien sage. Dans un petit village perdu dans la neige, Il affrontait l’hiver, sans aucun privilège. Le vent soufflait fort, les jours étaient bien longs, Et l’homme solitaire cherchait le doux frisson. Il cherchait l’amour, ce précieux compagnon, Pour lui tenir chaud lors des nuits sans son. Car un homme sans femme, disait-on, Ne peut pas affronter les rudes saisons. Le froid mordant, le gel dans les maisons, Il faut être deux pour braver ces tribulations. Alors l’homme partit, à la recherche de l’âme sœur, À travers montagnes et vallées, sans lueur. Il rencontra des dames de cœur et de grandeur, Mais aucune ne réussit à combler son malheur. Il entendit parler d’une femme d’une rare beauté, Une demoiselle, fière et pleine de gaieté. Il se dit qu’elle pourrait enfin l’apaiser, Et l’aider à traverser les temps désolés. Il se rendit auprès d’elle, avec son cœur en émoi, Espérant qu’enfin, l’hiver serait moins froid. Mais la dame lui dit, sans aucune joie, « Un homme sans femme ne tient pas l’hiver, désolée. » Déçu, notre homme retourna vers son village, Sans la douce chaleur d’une tendre compagne. Et il continua de braver les rudes rivages, Mais son cœur était lourd, rempli de peine et d’outrage. Ainsi va la vie, au Moyen Âge comme maintenant, Parfois l’amour se fait rare, comme le printemps. Mais il ne faut pas perdre espoir, un jour vient le temps, Où un homme sans femme, conquiert l’hiver vaillamment. Alors, compagnons, retenez bien cette morale, L’amour est un feu qui réchauffe les plus froids dédales. Un homme sans femme peut vivre mais ne s’épanouit pas, Car aimer, c’est braver les hivers, tout en ayant les bras.

Famille

Ta mère est tellement petite – Photo. Ta mère est tellement petite qu’on voit ses pieds sur la photo d’identité.

Par les pouvoirs des enchantements cachés, Je forge un sort d’univers enchanté, Ouvrez vos esprits, laissez-vous bercer, Par une blague sorcière à vous raconter. Ta mère, noble aventurière éternelle, Si petite, délivre une image irréelle, Capture d’un moment dans la clarté, Sa photo d’identité, ici gravée. Soudain, comme par magie imprégnée, Cette image, à nos yeux dévoilée, Révèle un secret d’étrangeté, Les pieds de ta mère, une réalité. Tel est le sort que j’ai tissé, Image figée d’une petite fée, Ses pieds, minuscules, défient la gravité, Sur cette photo, une mystérieuse vérité. Ma blague, un enchantement imprévu, De tes yeux, un rire sorti de l’issue, Un sourire ensorcelé, enchanteresse, La petite taille de ta mère manifestée. Que ce sort te transporte dans un tourbillon, De surprises magiques, vers l’horizon, Là où les blagues en sortilèges se mélangent, Et où la féerie des rires s’étend et se plonge.

Chuck Norris

Chuck Norris au resto. Chuck Norris a commandé des steaks au restaurant. Les steaks ont obéi.

Agent 007 entrant dans le QG secret. Mission : Infiltrer le restaurant. Agent 007: « Requête d’opération : code d’accès au restaurant. » Ops: « Code d’accès : Demande de Chuck Norris. Confirmation requise. » Agent 007: « Demande de Chuck Norris : Commande de steaks. » Ops: « Confirmation reçue : Ta mission est d’infiltrer le restaurant. » Agent 007, arrivant au restaurant, s’assoit à une table et parle discrètement : Agent 007: « Situation sous contrôle. Je suis assis à la table. » Agent russe, se rendant compte de la présence de l’agent 007: « Nos ennemis sont parmi nous. Minute de rendez-vous ? » Agent 007: « Minute de rendez-vous : Les steaks ont obéi. » Agent russe: « Message reçu. Extraction d’urgence nécessaire. » Agent 007, quittant le restaurant avec succès: « Opération accomplie. Extraction d’urgence en cours. » Fin de la transmission.