Humour

Humour Noir

Quelle est la différence entre ma femme et mon cancer ? Mon cancer, je ne l’ai toujours pas battu.

Fonctionnaires

Le fonctionnaire et son ordi. Quelle gamme d’ordinateurs d’Apple est dédiée aux fonctionnaires ? Le A Mac (le hamac).

Il était une fois, au Moyen Âge charmant, Un barde qui chantait d’une voix envoûtante, Une blague sur un fonctionnaire et son écran, Une histoire drôle qui amusait les passants. Il parlait d’ordinateurs, de machines modernes, Et des fiers fonctionnaires, hommes en quête d’honneur, Il évoquait un Mac, une gamme bien connue, Dédiée aux bureaux, aux tâches bienvenues. « A Mac, A Mac, criait-il en chantant, Pour un fonctionnaire, c’est vraiment enivrant, Il peut travailler, tout en se reposant, Comme sur un hamac, un moment bien charmant. » Les gens riaient, applaudissaient, conquis par le récit, Du barde talentueux au charme infini, Et chacun repartait, le cœur léger, l’esprit gai, Avec cette blague en tête, qu’ils chantaient à tout va. Ainsi va la vie, au Moyen Âge enchanté, Où les bardes et les blagues font fleurir la gaieté, Sur ces paroles joyeuses, je vais conclure mon chant, En espérant que cette ballade vous ait fait sourire grandement.

Devinettes

Pourquoi le communiste ne joue-t-il jamais au jeu du Monopoly ? Parce qu’à chaque fois qu’il construit un hôtel, il veut le transformer en appartements pour que tout le monde puisse y habiter gratuitement !

Il était une fois dans un pays lointain, un homme nommé Staline qui adorait jouer au Monopoly. Cependant, Staline n’était pas un joueur ordinaire. Pour lui, le Monopoly n’était pas qu’un jeu, c’était une leçon de vie. Un jour, Staline invita ses amis à jouer. Ils s’installèrent autour de la table, déployant le grand plateau coloré. Staline choisit le pion du chapeau haut-de-forme, affirmant qu’il aimait son élégance. Les autres choisirent leurs pions, et le jeu commença. Au début, Staline jouait avec enthousiasme. Il achetait des propriétés, construisait des maisons, et même des hôtels. Il semblait inarrêtable. Mais ses amis n’étaient pas en reste. Ils jouaient habilement, et bientôt, le jeu devint plus compétitif. À mesure que le jeu avançait, Staline commença à perdre. Ses amis avaient construit des hôtels sur les propriétés les plus précieuses, et à chaque tour, Staline perdait un peu plus de son argent de Monopoly. Frustré, il se mit à réfléchir à une stratégie. Soudain, il eut une idée. « Et si nous changions les règles ? » proposa-t-il. « Que se passerait-il si nous partagions toutes les propriétés ? Tout le monde pourrait bénéficier de chaque hôtel et de chaque maison ! » Ses amis étaient perplexes, mais ils décidèrent d’essayer. Le jeu se transforma alors. Au lieu de rivaliser, ils commencèrent à coopérer. Chaque fois qu’un joueur passait sur une propriété avec un hôtel, tous les joueurs recevaient un peu d’argent. Le jeu devint plus long, mais aussi plus joyeux. Ils riaient, partageaient des histoires, et le Monopoly n’était plus un champ de bataille, mais un lieu de camaraderie. Finalement, le jeu prit fin non pas parce que quelqu’un avait gagné, mais parce qu’ils avaient tous décidé de s’arrêter ensemble. Ils avaient appris une précieuse leçon sur le partage et la coopération. Staline sourit en rangeant le jeu. Bien qu’il ait perdu selon les règles traditionnelles du Monopoly, il se sentait comme un gagnant. Dans cette partie, il avait découvert quelque chose de plus important que la victoire : l’importance de l’amitié et du partage. Et c’est ainsi que Staline, le joueur de Monopoly, apprit que parfois, perdre selon les règles peut signifier gagner dans la vie.