Paul: As-tu entendu parler de l’histoire de Monsieur et Madame Dalore?
Marie: Non, quelle histoire?
Paul: Ils ont un fils, tu sais comment il s’appelle?
Marie: Non, comment s’appelle-t-il?
Paul: Homer. (oh merde alors)
Marie: Haha, c’est vraiment drôle! J’imagine que ses parents ne se sont pas rendu compte de la blague en choisissant ce prénom.
Mes chers concitoyens, permettez-moi de conclure ce discours présidentiel en évoquant une vérité profonde sur notre société. Le Ricard, c’est comme un tsunami. Plus il y a d’eau, moins il y a de jaune. Une réflexion profondément symbolique qui nous invite à méditer sur la nature éphémère des choses, mais aussi à ne jamais oublier d’apprécier la beauté de la vie. Merci, que Dieu bénisse la France.
Un jour, Marc décide de se rendre au Bois de Boulogne pour une petite balade. Alors qu’il marche tranquillement sur un sentier, il entend soudain des bruits provenant d’un buisson. Curieux, il décide de donner un petit coup de pied pour voir ce qu’il en est. À sa grande surprise, le buisson lui rend son coup de pied en le repoussant vigoureusement.
Stupéfait, Marc recule en se demandant si c’était bien réel. Il décide de réessayer, mais cette fois-ci, le buisson lui envoie un autre coup de pied encore plus fort. Intrigué et un peu amusé, Marc se met à essayer différentes techniques pour interagir avec ce buisson farceur.
Finalement, après quelques essais, Marc réalise que derrière ce buisson se cachait un petit garçon qui avait décidé de jouer un tour aux passants. Amusé par la situation, Marc échange quelques rires avec le garçon et repart en se promettant de raconter cette étrange rencontre à ses amis.
Depuis ce jour, Marc aime à raconter l’histoire du buisson farceur du Bois de Boulogne et il n’hésite pas à y retourner de temps en temps pour vérifier si le petit garçon est toujours là, prêt à jouer un tour à ceux qui s’y aventurent.