Humour

Famille

Maman, est-ce que tu m’aimes ? Au vu du prix auquel je t’ai acheté, y a intérêt !

– Heinrich : Tu as vu l’histoire de cette mère qui a répondu à son enfant « Au vu du prix auquel je t’ai acheté, y a intérêt ! » quand il lui a demandé si elle l’aimait ? – Ingrid : Ahaha, c’est tellement drôle ! J’imagine le regard interloqué de l’enfant. Mais bon, on sait tous que l’amour n’a pas de prix, n’est-ce pas ? – Heinrich : Bien sûr, mais parfois une petite pointe d’humour ne fait pas de mal. Et puis, ça rappelle à quel point les enfants peuvent être des petites pestes parfois ! – Ingrid : Oh, crois-moi, je sais de quoi je parle. Mais bon, on les aime quand même, hein ? – Heinrich : Bien sûr, au vu du prix auquel on les a achetés, il vaut mieux !

Famille

Mon fils m’a demandé ce que sont les taxes. Je lui ai pris 20 % de son goûter, il a tout compris.

Divers

A combien rouliez vous ? Demande le gendarme. A deux seulement, mais si vous voulez monter, il reste de la place !

Il était une fois, au Moyen Âge lointain, Un barde joyeux, au cœur vaillant, Qui chantait pour les gens, sur son luth enchanté, Des ballades de noblesse et de beauté. Un jour, sur la route pavée de poussière, Le barde rencontra un gendarme fier, Qui lui demanda d’un ton sévère et pressant, « A combien rouliez-vous, sergent ? « A deux seulement, » répondit le barde malicieux, « Mais si vous voulez monter, il reste de la place sous les cieux! » Le gendarme se mit à rire, charmé par la réponse, Et laissa le barde poursuivre sa danse. Ainsi va la vie, entre rires et sourires, Dans ce Moyen Âge où le temps respire, Le barde continue sa route, son luth à la main, Chantant pour tous les cœurs en chemin.