Humain

Métiers

Assureur et spermatozoïde. Quel est le point commun entre un assureur et un spermatozoïde ? Tous les 2 ont 1 chance sur 3 millions de devenir un jour un être humain.

Il est dit, dans les temps anciens, qu’une énigmatique blague circulait parmi les peuples du monde entier, transmise de génération en génération. Cette blague mystérieuse, racontée sous le sceau du rire et de la malice, mettait en scène un assureur et un spermatozoïde. Les sages affirmaient que ces deux êtres improbables partageaient un point commun inattendu : tous deux avaient une chance infime, une chance minuscule, presque imperceptible, d’atteindre un jour le statut sacré d’être humain. Les conteurs disaient que la probabilité d’un assureur de devenir un être humain était semblable à celle d’un spermatozoïde, tous deux confrontés à des obstacles et des défis insurmontables pour atteindre leur destinée ultime. Et ainsi, cette légende ancestrale rappelait aux hommes la fragilité de leur existence, la magie de la vie et l’ironie du destin. La blague de l’assureur et du spermatozoïde continuait de hanter les esprits, témoignant de la sagesse et de l’humour des anciens qui l’avaient jadis inventée.

Hommes

Quelle est la différence entre l’homme et le chameau ? Le chameau peut travailler 10 jours sans boire, et l’homme peut boire 10 jours sans travailler.

Il était une fois un homme nommé Pierre, un vrai fainéant qui préférait boire des bières toute la journée plutôt que de travailler. Un jour, alors qu’il se vantait de sa capacité à rester sans rien faire pendant des jours, son ami lui fit la blague : « Quelle est la différence entre l’homme et le chameau ? Le chameau peut travailler 10 jours sans boire, et l’homme peut boire 10 jours sans travailler. » Pierre rigola et décida de mettre cette théorie à l’épreuve. Il se lança alors dans un défi un peu fou : tenir 10 jours sans travailler, uniquement en buvant de l’eau et en festoyant avec ses amis. Les premiers jours se passèrent tranquillement, Pierre profitait de sa nouvelle « occupation » en sirotant bière sur bière. Mais au bout de quelques jours, la réalité le rattrapa. Il commença à s’ennuyer ferme et se rendit compte que sa tirelire commençait à se vider dangereusement. Paniqué, il décida de se mettre à travailler pour éviter la catastrophe financière. Il passa alors quelques jours à chercher un petit boulot ici et là. Finalement, au bout de 10 jours, il réussit à sauver sa situation. Pierre comprit alors la morale de cette histoire : boire sans travailler peut parfois mener à une belle catastrophe financière, alors que travailler sans boire peut mener à une belle réussite. Il décida alors de trouver un équilibre entre les deux et de ne plus se reposer uniquement sur son goût pour la bière.

Divers

Coluche – L’horreur. L’horreur est humaine.

Mesdames et messieurs, aujourd’hui je voudrais aborder un sujet d’une gravité extrême, une réalité qui fait frémir l’âme et ébranle les fondements de notre humanité. Car, comme le disait si justement le regretté Coluche, « L’horreur est humaine. » Permettez-moi, un instant, de me départir de ma posture présidentielle, afin de vous délivrer un message bien plus léger, mais qui, ironiquement, révèle une vérité profonde sur nous, êtres humains. Comme une lueur d’espoir dans un océan de noirceur, une blague de l’inimitable Coluche s’impose. Permettez-moi de vous la présenter, dans toute sa simplicité : « Pourquoi les plongeurs plongent-ils toujours en arrière et jamais en avant ? Parce que sinon ils tombent dans le bateau ! » Pardonnez-moi un instant de détente dans cette atmosphère sérieuse. Mais n’est-ce pas là le reflet même de notre condition humaine ? Au-delà de nos peines et de nos tragédies, il y a la capacité de rire, de trouver du réconfort dans l’absurdité même de notre existence. Alors, mesdames et messieurs, mes concitoyens, retenons cette leçon de Coluche. Rappelons-nous que l’horreur peut être atténuée par ces précieux moments de légèreté qui jalonnent notre parcours. Rappelons-nous que la blague, aussi futiles soient-elles, révèle notre humanité profonde, cette capacité à trouver le rire même au sein des ténèbres. En ces temps troublés, ne perdons jamais de vue la valeur de l’humour, de la dérision et du sarcasme. Car, comme le disait notre cher Coluche, « Un jour j’irai vivre en Théorie, parce qu’en Théorie tout se passe bien. » Mesdames et messieurs, je vous remercie de votre attention et espère que cette parenthèse légère aura su alléger l’intensité de notre discours présidentiel. L’horreur est humaine, certes, mais la capacité à rire en est la quintessence.