Famille

Monsieur et Madame

Monsieur et Madame Douiche. M. et Mme Douiche ont un fils. Comment s’appelle t il ? – Vincent (vingt sandwiches).

Il y a bien longtemps, dans un village lointain, une blague circulait de génération en génération, transmise comme un précieux héritage. Cette légende racontait l’histoire de Monsieur et Madame Douiche, un couple tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Ils avaient un fils, un garçon espiègle et plein de vie. Mais ce qui rendait ce fils si spécial, c’était son nom : Vincent. Vincent, un prénom banal à première vue, cachait en réalité un jeu de mots savamment orchestré. En effet, lorsque l’on entendait son nom prononcé à haute voix, on pouvait comprendre qu’il se transformait en « vingt sandwiches ». Cette révélation était à la fois source de rires et de moqueries, faisant de Vincent le sujet de plaisanteries incessantes. Malgré les taquineries incessantes, Vincent était un jeune garçon fier de son nom et de son héritage familial. Il arborait son patronyme avec fierté, comme un emblème de sa famille. Ainsi, la légende de Monsieur et Madame Douiche et de leur fils Vincent continuait de hanter les esprits, laissant derrière elle un écho de rires et de mystère. À chaque fois que l’on prononçait le nom de Vincent, on se remémorait cette histoire pleine de malice et de légèreté.

Monsieur et Madame

Monsieur et Madame Dutribunal. M. et Mme Dutribunal ont une fille. Comment s’appelle t elle ? – Clemence (clémence du tribunal).

Il était une fois, dans un village lointain, Un couple bien connu, les Dutribunal sereins. Monsieur et Madame avaient une merveille, Une fille si douce, un trésor sans pareil. Son nom était Clemence, tel un rayon de soleil, Sa clémence était grande, un coeur sans pareil. Les gens venaient la voir, pour trouver du réconfort, Car la justice de son père était un vrai trésor. Aussi douce que l’agneau, aussi forte que l’acier, Clemence Dutribunal était aimée de tous les gens. Son nom résonnait partout, comme une mélodie, Qui apportait la paix, et adoucissait les vies. Les gens venaient chantonner, louer sa clémence, Car en sa présence, on oubliait nos offenses. M. et Mme Dutribunal étaient fiers de leur fille, Car elle était la lumière, dans une sombre guérilla. Ainsi se termine ma ballade, sur une famille si belle, Les Dutribunal étaient aimés, dans leur village modèle. Que la clémence de Clemence inspirera les coeurs, Et que la justice du tribunal brille pour toujours.

Célébrités

Simpsons – Les extraterrestres. S’il vous plaît ne me mangez pas ! J’ai une femme et des enfants. Mangez les !