Études

Humour Noir

Quel est le point commun entre un lycéen et un cancéreux ? L’année prochaine, ils passent tous les deux en phase terminale.

Personne 1: « Hey, tu as entendu parler de l’histoire de Max et de Marc ? C’est vraiment surprenant et un peu drôle, tu devrais la connaître. » Personne 2: « Non, raconte-moi ! Je suis curieux… » Personne 1: « Eh bien, tu sais que Max est un lycéen dynamique et plein de vie, toujours en train de faire des blagues et de rigoler. Et Marc, c’est un homme d’âge mûr, un peu grincheux mais avec un humour sarcastique plutôt sympathique. » Personne 2: « Oh, je vois où tu veux en venir avec la blague maintenant… Personne 1: « Exactement ! Donc, l’année prochaine, ils ont tous les deux en commun le fait de passer en phase terminale. » Personne 2: « Haha, c’est assez ironique en effet ! Mais j’espère sincèrement qu’ils n’auront pas à faire face à une telle situation. Les blagues sur des sujets si sensibles peuvent être délicates. » Personne 1: « Tu as raison, il faut toujours faire preuve de respect. Mais bon, parfois rire un peu nous aide à prendre du recul face à la réalité. » Personne 2: « Tout à fait d’accord ! Mais gardons tout de même nos réticences lorsqu’il s’agit de blagues sur des situations graves. » Personne 1: « Absolument, c’est une question de sensibilité et de bon goût. Mais bon, parfois, une blague qui nous fait sourire peut aussi nous rappeler de profiter de la vie et de ne pas prendre les choses trop au sérieux. » Personne 2: « C’est vrai, on ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve, alors autant en profiter pendant qu’on le peut. Mais revenons-en à des sujets un peu moins délicats, d’accord ? » Personne 1: « Bien sûr ! Parlons d’autre chose. La prochaine fois, je te raconterai une histoire beaucoup plus légère et moins controversée. Deal ? » Personne 2: « Deal ! J’attends avec impatience de découvrir ce que tu me réserves. Mais pour le moment, laissons de côté les lycéens et les patients en phase terminale, d’accord ? »

Blagues de Toto

Un élève optimiste se lance un défi : ‘Au prochain trimestre, je vais doubler ma moyenne actuelle !’ Ayant une moyenne de 0, il est convaincu que son objectif est parfaitement atteignable.

Il était une fois, dans une petite ville tranquille, un jeune garçon nommé Ducobu. Ducobu était connu pour être le cancre de l’école, toujours en train de rigoler et de faire des bêtises. Malgré cela, il était plutôt populaire auprès de ses camarades de classe, car il avait un sens de l’humour inégalable. Un jour, alors qu’il se trouvait devant le tableau noir, en train de rêvasser, il eut une idée incroyable pour échapper à ses mauvaises notes et prouver à tous qu’il pouvait s’en sortir. « Au prochain trimestre », se dit-il, « je double ma moyenne ! J’ai 0, ça devrait être jouable. » Ducobu commença alors à travailler dur. Il passait des heures à étudier et à faire ses devoirs. Il se mit même à la recherche de tous les livres d’aide à la réussite scolaire disponibles, et dévora chaque page avec appétit. Ses parents, surpris de cette soudaine motivation, le soutenaient de toutes leurs forces. Le jour des résultats arriva enfin. Ducobu était stressé, mais confiant. Il se dirigea vers l’école, espérant entendre son nom parmi les meilleurs élèves pour la première fois de sa vie. Mais lorsqu’il ouvrit l’enveloppe avec ses notes, son visage se décomposa. Les chiffres étaient les mêmes qu’auparavant, aucune amélioration n’était visible. Il avait encore une moyenne de 0. Son professeur principal, le professeur Latouche, s’approcha de lui avec un sourire narquois. « Eh bien, Ducobu », dit-il d’un ton moqueur, « on n’a pas réussi à doubler sa moyenne ? » Ducobu, loin de se décourager, afficha un sourire malicieux. « Ah non, monsieur Latouche », répondit-il. « J’ai bien doublé ma moyenne, en effet ! J’ai obtenu un joli 0… mais maintenant, si je le double, j’aurais un magnifique… 0 aussi ! » Tout le monde éclata de rire. Ducobu avait réussi à transformer un échec apparent en une blague hilarante. Et dès lors, il fut reconnu comme le roi de la comédie à l’école. Ainsi, Ducobu continua sa scolarité dans la joie et la bonne humeur, utilisant son humour pour apporter du bonheur à ses camarades. Même s’il n’était pas le meilleur élève, il était le plus apprécié de tous. Cette histoire nous rappelle que parfois, le plus important n’est pas d’atteindre des sommets académiques, mais de cultiver le bonheur et le rire dans nos vies. Et cela, Ducobu l’avait compris mieux que quiconque.