Au temps jadis, au Moyen Âge,
Vivait un barde, sage et sage,
Dont les récits faisaient vibrer,
Tous les cœurs, sous les étoilés.
Il chantait de joie et de riants tours,
Des légendes, des contes d’amour,
Un jour, un noble lui demanda,
En souriant, une blague à raconter.
Le barde prit sa Lyre enchantée,
Et d’une voix claire, commença,
« Avec quelle unité mesurer,
L’efficacité d’une plantation, je vous dirai !
Sous le soleil éclatant d’été,
Où le travailleur se met en quête,
Avec sueur et courage, éprouvé,
La plantation espérée il ensemence.
Un homme sage dans l’assemblée,
Répondit en un ton malicieux,
« En niggawatts, vous l’avez deviné,
Telle est la mesure, je vous dis gaiement. »
Le noble rit de tout son être,
La blague habile était complète,
Le barde fit résonner sa lyre,
Et sur les gens, la joie transpire.
Dans les tavernes, on entendait,
La balade qui fut chantée,
L’histoire de cette mesure audacieuse,
Qui fit sourire ceux qui en furent émus.
Ainsi, au Moyen Âge révolu,
Le barde continua de chanter,
Les balades, les chansons qui ont ému,
Les cœurs des gens, au rythme enchanté.
Il était une fois, dans la belle ville de Paris, une journée ensoleillée où le métro était particulièrement bondé. Les wagons étaient remplis à ras bord de passagers, créant une ambiance chaleureuse et étouffante. Les personnes se bousculaient, essayant de trouver un petit espace pour reprendre leur souffle.
Parmi ces voyageurs, se trouvait Jérôme, un homme aux cheveux ébouriffés et à l’air un peu perdu. Il avait eu une journée longue et épuisante au travail et tout ce qu’il souhaitait, c’était rentrer chez lui pour se reposer.
Alors qu’il faisait la queue pour monter à bord du métro, Jérôme ne put s’empêcher de remarquer la marée de monde autour de lui. Intrigué, il se demanda pourquoi il y avait toujours autant de monde dans le métro. Une idée farfelue surgit alors dans son esprit fatigué.
Sans réfléchir plus longtemps, Jérôme sortit une petite pancarte de son sac à dos. Sur celle-ci, on pouvait lire : « STOP ! Règlement anti-surpopulation à bord du métro ». Les autres passagers le regardèrent, perplexes.
Jérôme se mit à annoncer d’une voix forte et claire : « Chers passagers, nous avons tous été informés de la croissance démographique constante dans notre cher métro. Cependant, je suis fier de vous annoncer que je suis le nouveau « distributeur d’espace ». Aujourd’hui, il y aura une modification de la réglementation en matière de foule dans le métro ».
Tout le monde écoutait attentivement, se demandant ce que Jérôme allait faire. Il pointa alors du doigt une personne au hasard et dit : « Vous, là-bas ! Vous êtes trop grand, vous devrez sortir du métro ». La personne en question, surprise, s’exécuta rapidement. Ce qui suivit fut une série de moments comiques où Jérôme pointait du doigt les gens et leur demandait de sortir du métro pour diverses raisons farfelues : « Trop de cheveux », « Trop souriant », « Trop bien habillé ».
Les passagers, dans une joyeuse confusion, sortaient un par un du métro, à la demande de Jérôme. Pendant ce temps, de l’autre côté du quai, les gens se massaient, impatients de monter dans le prochain métro.
Après une bonne dose de rires et de légèreté, Jérôme réalisa finalement que son histoire drôle touchait à sa fin. Les passagers qui avaient accepté de sortir du métro étaient revenus à bord, et le métro était à nouveau plein à craquer.
Jérôme, ravi d’avoir apporté un peu de gaieté à cette journée agitée, décida de ranger sa pancarte dans son sac à dos. Après tout, il avait compris que la foule était inévitable dans un métro aussi populaire que celui-ci.
Alors que le métro roulait hors de la station, Jérôme se perdit dans ses pensées, se demandant quelle autre blague farfelue il pourrait bien inventer pour la prochaine fois. Après tout, un peu d’humour était toujours le bienvenu dans les moments les plus bondés de la vie quotidienne.