Quand Chuck Norris joue à shifumi dans un mirroir… … il gagne contre son reflet…
Laissez-moi vous conter une histoire d’antan, D’un valeureux guerrier, fameux combattant, Au Moyen Âge, un barde charmant chantait, Les exploits de Chuck Norris, qui tous émerveillait. Dans un lointain château, d’un seul coup de canon, Il surgissait tel un héros, fort comme un lion, Un miroir attendait, brillant de mille éclats, Chuck Norris s’approcha, en souriant, il s’en alla. Le barde raconte alors, d’une voix enjouée, Que notre héros s’amusait, avec habileté, Au jeu du shifumi, face à son reflet, Mais vous ne devinerez jamais, qui l’emporta. Refrain : Quand Chuck Norris joue à shifumi dans un miroir, Son reflet tremble et s’écarte, plein de désespoir, Car notre valeureux guerrier ne connaît nulle égalité, Contre son propre reflet, il remporte la victoire assurée. À chaque coup joué, le reflet perdait espoir, Chuck Norris triomphait, d’une main pleine de pouvoir, Le miroir se brisait, incapables de résister, Devant la puissance de Chuck Norris, toujours invaincu. Les villageois les entendaient, rire à chaudes larmes, Si étonnés et subjugués, en voyant ce qui se trame, La légende se répandait, de village en royaume, Qu’en mille ans, face à lui, personne ne trouve l’étiage. Refrain : Quand Chuck Norris joue à shifumi dans un miroir, Son reflet tremble et s’écarte, plein de désespoir, Car notre valeureux guerrier ne connaît nulle égalité, Contre son propre reflet, il remporte la victoire assurée. Au Moyen Âge, les bardes se faisaient écho, Louant les exploits de Chuck Norris, de leur ardeur, Dans les tavernes, les chants retentissaient, Et le nom de notre héros, partout résonnait. Ainsi se termine cette ballade du passé, D’un guerrier sans pitié, Chuck Norris, encensé, Un conte, une légende, qui ne pourra jamais mourir, Et qu’un barde au Moyen Âge aimait tant raconter, sans fin. Refrain : Quand Chuck Norris joue à shifumi dans un miroir, Son reflet tremble et s’écarte, plein de désespoir, Car notre valeureux guerrier ne connaît nulle égalité, Contre son propre reflet, il remporte la victoire assurée.