Un jour, un Breton hippie mangea un gâteau sucré. Soudainement, il se mordit la langue. Que lui arriva t-il ensuite ? – Il couina, man (Kouign-amann).
Il était une fois, en plein Moyen Âge, Un barde jouant de sa guitare sauvage. Il chantait des histoires, des légendes à foison, Dans les tavernes, pour divertir la foule en fusion. Un jour, à la lueur d’une chandelle vacillante, Il raconta l’histoire d’un Breton délirant. Un Breton hippie, vivant dans une contrée lointaine, Qui goûtait aux plaisirs de la vie, sans aucune gêne. Ce Breton, c’est sûr, était un gourmand, Et un jour, il s’offrit un gâteau appétissant. Un kouign-amann, sucré à souhait, Qui lui mettait l’eau à la bouche, en secret. De sa dent croquant dans cette douceur sucrée, Le Breton hippie, soudain, fut bien tourmenté. Il se mordit la langue par accident, Et c’est là que tout bascula, instantanément. Le barde narrait la scène avec maestria, De sa voix enjouée, il donnait vie à cette mésaventure, ma foi. Le Breton, pris de douleur, laissa échapper un cri, Une plainte de détresse, qui aurait fait frissonner un durci. « Il couina, man », dit alors le barde, Et toute l’assemblée éclata de rire, d’un seul regard. Les rimes ricochaient, dans la salle résonnaient, Et le barde était heureux de voir tous raviés. La ballade se poursuivait, dans cette ambiance joyeuse, Le barde enchantait l’audience, de ses mots précieux. Il racontait alors la fin de cette histoire unique, Le Breton hippie, jamais plus, ne mangea sucré sans plastique. Ainsi, dans le Moyen Âge, cette blague fit son chemin, De taverne en taverne, réjouissant petits et grands. Le rire était contagieux, dans chaque cœur battait la liesse, Et grâce à cette ballade, la légende se propagea sans cesse.