Couiner

Jeux de mots

Un jour, un Breton hippie mangea un gâteau sucré. Soudainement, il se mordit la langue. Que lui arriva t-il ensuite ? – Il couina, man (Kouign-amann).

Il était une fois, en plein Moyen Âge, Un barde jouant de sa guitare sauvage. Il chantait des histoires, des légendes à foison, Dans les tavernes, pour divertir la foule en fusion. Un jour, à la lueur d’une chandelle vacillante, Il raconta l’histoire d’un Breton délirant. Un Breton hippie, vivant dans une contrée lointaine, Qui goûtait aux plaisirs de la vie, sans aucune gêne. Ce Breton, c’est sûr, était un gourmand, Et un jour, il s’offrit un gâteau appétissant. Un kouign-amann, sucré à souhait, Qui lui mettait l’eau à la bouche, en secret. De sa dent croquant dans cette douceur sucrée, Le Breton hippie, soudain, fut bien tourmenté. Il se mordit la langue par accident, Et c’est là que tout bascula, instantanément. Le barde narrait la scène avec maestria, De sa voix enjouée, il donnait vie à cette mésaventure, ma foi. Le Breton, pris de douleur, laissa échapper un cri, Une plainte de détresse, qui aurait fait frissonner un durci. « Il couina, man », dit alors le barde, Et toute l’assemblée éclata de rire, d’un seul regard. Les rimes ricochaient, dans la salle résonnaient, Et le barde était heureux de voir tous raviés. La ballade se poursuivait, dans cette ambiance joyeuse, Le barde enchantait l’audience, de ses mots précieux. Il racontait alors la fin de cette histoire unique, Le Breton hippie, jamais plus, ne mangea sucré sans plastique. Ainsi, dans le Moyen Âge, cette blague fit son chemin, De taverne en taverne, réjouissant petits et grands. Le rire était contagieux, dans chaque cœur battait la liesse, Et grâce à cette ballade, la légende se propagea sans cesse.

Divers

Saviez-vous que les girafes n’existent pas réellement ? C’est tout simplement un long cou monté !

Mes chers concitoyens, Aujourd’hui, je souhaite vous présenter une révélation extraordinaire. Une vérité qui va remettre en question tout ce que nous pensions savoir sur le règne animal. Je suis ici pour vous annoncer officiellement que les girafes n’existent pas réellement. Oui, vous avez bien entendu. Elles sont en réalité une illusion, un tour de passe-passe savamment orchestré par la nature. Permettez-moi d’expliquer cette incroyable découverte. Les girafes, ces majestueux animaux au long cou gracieux, ne sont en fait rien de plus qu’un trompe-l’œil géant. Un subterfuge qui a mystifié des générations d’observateurs et de scientifiques. Imaginez un instant cette scène : un inventeur génial, assis dans son laboratoire secret, méditant sur les limites mêmes de l’anatomie animale. Puis, une inspiration éclaire son esprit comme un éclair divin. Et voilà que naît l’idée de créer une créature, une créature si fantastique, qu’elle sera l’emblème du grotesque. Cet inventeur passe de longues heures, se plongeant dans des calculs complexes et des schémas inimaginables. Après de nombreuses nuits blanches, il réussit à mettre au point une machine extraordinaire capable de donner vie à cette illusion de long cou. Et voilà comment les girafes sont apparues dans notre imaginaire collectif. Un véritable chef-d’œuvre de l’imposture animale ! Laissez-moi vous dire que les experts du monde entier ont été piégés par cette mystification. Des scientifiques renommés, des explorateurs intrépides, tous ont été pris pour des enfants crédules face à cette illusion audacieuse. Mais alors, me direz-vous, si les girafes n’existent pas, qu’avons-nous observé dans nos safaris africains ? Mes amis, ce que nous avons réellement vu, ce sont des structures élaborées avec soin et habilement dissimulées par une équipe ingénieuse d’illusionnistes. Des structures incroyablement réalistes qui ont trompé nos sens et captivé notre imagination. Ainsi, mes chers compatriotes, je vous invite aujourd’hui à ouvrir les yeux sur cette mystification millénaire. Il est temps de briser les chaînes de cette supercherie animale et de regarder le monde sous un nouvel angle. Dans ce nouveau monde de vérités révélées, je vous laisse méditer sur la question suivante : si les girafes n’existent pas, quelle autre réalité se cache encore derrière les voiles de l’illusion ? Qui sait quelles autres créatures fantastiques se dissimulent parmi nous, attendant patiemment d’être découvertes ? Souvenez-vous toujours que la vérité est souvent plus étrange que la fiction. Merci, et que la vérité illumine nos esprits !

Divers

Connaissez-vous la différence entre une chèvre et une personne âgée ? La chèvre couine pendant cinq minutes quand quelque chose ne va pas, puis elle se tait. Les personnes âgées, en revanche, râlent pendant cinq minutes, mais ça dure trois heures ! Évidemment qu’ils deviennent sourds à force !

Il était une fois dans un petit village paisible, un homme nommé Henri, âgé de 85 ans. Henri était connu pour être un grand râleur. Sa femme, Simone, s’était habituée à ses plaintes incessantes. Un jour, alors qu’ils étaient en promenade dans la campagne, ils tombèrent sur une ferme où une chèvre était en train de donner naissance à ses petits. Intrigués, Henri et Simone s’approchèrent pour observer ce magnifique spectacle de la nature. La chèvre était couchée au sol, et elle poussait pour donner naissance à son premier chevreau. Pendant les cinq minutes de l’accouchement, la chèvre couina de douleur, mais une fois le chevreau apparu, elle se tut instantanément. Henri et Simone étaient émerveillés par cette scène touchante. En rentrant chez eux, Henri ne put s’empêcher de comparer cette expérience à sa propre vie. Il réalisa que, contrairement à la chèvre, il était un grand râleur. Il ronchonnait pour tout et n’importe quoi, et ses plaintes semblaient durer des heures plutôt que des minutes. Cette réflexion amusa Henri, et il décida de faire une expérience. Le lendemain matin, il se promena dans le village et croisa un voisin qui avait l’habitude de se plaindre de son mal de dos. Henri l’écouta pendant cinq minutes, puis interrompit subitement le voisin en lui disant : « Ecoutez, c’est bon, je pense que je comprends maintenant. Une chèvre couine pendant cinq minutes et puis elle se tait. Mais toi, tu râles depuis au moins trois heures ! » Le voisin, surpris par cette remarque, éclata de rire en comprenant la blague d’Henri. Ils passèrent le reste de la journée à rire et partager des histoires drôles sur le râlage incessant des personnes âgées. Et depuis ce jour-là, Henri décida de prendre les choses avec plus de légèreté. Il accepta que râler ne servait à rien, si ce n’est fatiguer et agacer son entourage. Au lieu de cela, il préféra rire et profiter des petits moments de bonheur qui se présentaient à lui. Et c’est ainsi qu’Henri devint, malgré son grand âge, un homme plein de joie de vivre. Sa femme Simone, ravie de cette nouvelle attitude, se réjouit de leurs journées désormais remplies de rires. Et à l’approche de leur 50e anniversaire de mariage, Henri surprit Simone avec une surprise spéciale : une chèvre en peluche qu’il avait nommée « Madame Couine », pour se rappeler avec amusement de la différence entre les chèvres et les personnes âgées. Et chaque fois qu’Henri regardait cette peluche, il se remémorait la leçon qu’il avait apprise ce jour-là dans la campagne : la vie était bien trop courte pour râler, alors autant la savourer en souriant.