Congestion

Devinettes

Tu as 4 poussins et tu n’en veux que 3, comment faire ? Tu en pousses un.

Alors que je parcours les archives de l’humour du XXIe siècle en tant que voyageur temporel du futur, je tombe sur une blague répandue et largement appréciée de cette époque : « Tu as 4 poussins et tu n’en veux que 3, comment faire ? Tu en pousses un. » Au premier abord, cette plaisanterie semble banale et même un peu cruelle. Cependant, après une analyse plus approfondie, je réalise qu’elle témoigne d’une facette particulière de la culture de l’époque. En effet, cette blague illustre la tendance du XXIe siècle à utiliser l’humour noir et absurde pour surmonter les difficultés et traiter de sujets sensibles de manière détournée. La blague repose sur une situation simple et naïve : la possession de quatre poussins alors que l’on n’en souhaite que trois. Cependant, la solution proposée est totalement absurde et inattendue : « Tu en pousses un. » Ce jeu de mots entre « poussins » et « pousses » constitue l’élément clé de cette plaisanterie, accentuant ainsi l’ironie et provoquant un rire décalé. En tant que voyageur temporel, j’observe également que cette blague illustre l’évolution de la mentalité et de l’humour au cours du XXIe siècle. Les générations précédentes peuvent trouver cette blague particulièrement grincante ou simplement incompréhensible, tandis que les habitants de cette époque semblent en rire et apprécient ce type d’humour subversif. Après cette analyse, je peux conclure que cette blague est un témoignage précieux de l’état d’esprit de la culture du XXIe siècle. Elle représente une manière pour les individus de cette époque de faire face à l’absurdité de la vie quotidienne, de trouver du répit dans une réalité souvent complexe et incertaine. Je conserve donc cette blague dans mes archives comme un vestige culturel important du XXIe siècle, témoignant de l’évolution de l’humour et de la psyché de cette époque bien lointaine.

Divers

Pourquoi il y a toujours trop de monde dans un métro ? Parce qu’on en met trop.

Il était une fois, dans la belle ville de Paris, une journée ensoleillée où le métro était particulièrement bondé. Les wagons étaient remplis à ras bord de passagers, créant une ambiance chaleureuse et étouffante. Les personnes se bousculaient, essayant de trouver un petit espace pour reprendre leur souffle. Parmi ces voyageurs, se trouvait Jérôme, un homme aux cheveux ébouriffés et à l’air un peu perdu. Il avait eu une journée longue et épuisante au travail et tout ce qu’il souhaitait, c’était rentrer chez lui pour se reposer. Alors qu’il faisait la queue pour monter à bord du métro, Jérôme ne put s’empêcher de remarquer la marée de monde autour de lui. Intrigué, il se demanda pourquoi il y avait toujours autant de monde dans le métro. Une idée farfelue surgit alors dans son esprit fatigué. Sans réfléchir plus longtemps, Jérôme sortit une petite pancarte de son sac à dos. Sur celle-ci, on pouvait lire : « STOP ! Règlement anti-surpopulation à bord du métro ». Les autres passagers le regardèrent, perplexes. Jérôme se mit à annoncer d’une voix forte et claire : « Chers passagers, nous avons tous été informés de la croissance démographique constante dans notre cher métro. Cependant, je suis fier de vous annoncer que je suis le nouveau « distributeur d’espace ». Aujourd’hui, il y aura une modification de la réglementation en matière de foule dans le métro ». Tout le monde écoutait attentivement, se demandant ce que Jérôme allait faire. Il pointa alors du doigt une personne au hasard et dit : « Vous, là-bas ! Vous êtes trop grand, vous devrez sortir du métro ». La personne en question, surprise, s’exécuta rapidement. Ce qui suivit fut une série de moments comiques où Jérôme pointait du doigt les gens et leur demandait de sortir du métro pour diverses raisons farfelues : « Trop de cheveux », « Trop souriant », « Trop bien habillé ». Les passagers, dans une joyeuse confusion, sortaient un par un du métro, à la demande de Jérôme. Pendant ce temps, de l’autre côté du quai, les gens se massaient, impatients de monter dans le prochain métro. Après une bonne dose de rires et de légèreté, Jérôme réalisa finalement que son histoire drôle touchait à sa fin. Les passagers qui avaient accepté de sortir du métro étaient revenus à bord, et le métro était à nouveau plein à craquer. Jérôme, ravi d’avoir apporté un peu de gaieté à cette journée agitée, décida de ranger sa pancarte dans son sac à dos. Après tout, il avait compris que la foule était inévitable dans un métro aussi populaire que celui-ci. Alors que le métro roulait hors de la station, Jérôme se perdit dans ses pensées, se demandant quelle autre blague farfelue il pourrait bien inventer pour la prochaine fois. Après tout, un peu d’humour était toujours le bienvenu dans les moments les plus bondés de la vie quotidienne.