Tu connais la blague du con qui dit non. – Tu connais la blague du con qui dit non ? – Non… – …
Mes chers concitoyens, Aujourd’hui, je souhaite aborder un sujet d’une importance capitale pour l’avenir de notre nation. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, permettez-moi de vous partager une anecdote qui, bien qu’elle puisse sembler légère, illustre parfaitement la notion d’opposition aveugle qui peut parfois régner dans notre société. Connaissez-vous l’histoire du con qui dit non ? Oui, cette blague qui met en scène un individu aussi têtu qu’infatigable dans sa négation systématique. « Tu connais la blague du con qui dit non ? » demande-t-on à cet interlocuteur intransigeant. Et sa réponse évidente, celle qui est attendue de lui, est un franc « Non… » Vous voyez, mes chers concitoyens, cette petite blague cache derrière elle une vérité incontournable : celle de l’obstination irrationnelle de certains individus à refuser toute forme de proposition ou d’idée, simplement pour le plaisir de dire « non ». Pourtant, parfois, il est essentiel de se remettre en question, d’écouter les arguments qui nous sont présentés, et de faire preuve de flexibilité dans nos réflexions. Car c’est précisément ainsi que nous progressons en tant que société, en tant que peuple uni et solidaire. Alors, mes chers concitoyens, faisons en sorte de ne pas être ces « cons » qui disent « non » systématiquement. Soyons ouverts au dialogue, à la compréhension mutuelle, et à la recherche de solutions communes pour le bien de tous. Je vous remercie.
J’aimerais mourir comme mon grand-père, c’est à dire pendant son sommeil. Mais surtout pas en hurlant, comme tous les passagers du bus qu’il conduisait.
Une Sieste Fatale dans l’Autobus : Quand le Sommeil Rime avec Réveil Mouvant ! Dans une petite ville tranquille, une histoire des plus rocambolesques a récemment secoué les habitants. Il semblerait que le bus local ait été le théâtre d’un événement surprenant, mêlant sommeil paisible et cris stridents. Si l’on en croit les témoignages déconcertants des passagers, tout commença lorsque le conducteur, visiblement fatigué, succomba à une sieste du tonnerre. Ce conducteur, surnommé affectueusement « Papi Glandouille » par la communauté locale, ne cachait pas son désir d’emboîter le pas de son regretté grand-père, qui avait eu la chance de tirer sa révérence paisiblement dans les bras de Morphée. Malheureusement pour Papi Glandouille, son rêve s’est transformé en un cauchemar éveillé pour les personnes présentes dans le bus. Alors que la circulation était fluide et que les passagers profitaient paisiblement de leur trajet matinal, le doux ronflement du Papi Glandouille fut subitement interrompu par une manœuvre imprécise. Les passagers, se demandant d’où venait ce soudain sursaut, réalisèrent rapidement que le conducteur effectuait un changement de voie digne des coureurs de Formule 1. Avec une précision douteuse et une aisance pour le moins préoccupante, Papi Glandouille sembla tester les limites de l’adhérence des pneus face aux regards médusés des usagers. Les hurlements qui émanèrent des passagers, laissant présager l’imminence d’un terrible accident, alertèrent les riverains et les automobilistes alentour. Tout le monde était sur le qui-vive, se demandant comment cet énergumène somnolent avait pu provoquer tout ce grabuge. Les agents de police dépêchés sur les lieux prirent immédiatement des mesures pour calmer le chaos ambiant. Certains passagers, quant à eux, tentèrent de profiter de l’occasion pour réveiller Papi Glandouille en frappant de toutes leurs forces sur le pare-brise. En vain. Heureusement pour tous les témoins de cette folle aventure, un miracle du système nerveux eut lieu : les cris déchirants des passagers finirent par réveiller brusquement le conducteur épuisé. Saisi de frayeur, Papi Glandouille reprit les commandes du véhicule et réussit à stopper cette course infernale juste à temps pour éviter une tragédie. Les passagers, quant à eux, sortirent du bus blancs comme des linges et les jambes flageolantes. Suite à cet incident, les autorités ont vivement recommandé aux conducteurs de bus de prendre des pauses régulières et de se reposer convenablement afin de prévenir de telles mésaventures hilarantes. Quant à Papi Glandouille, malgré un rêve éphémère de quitter ce monde de manière aussi paisible que son grand-père, il semblerait qu’une retraite bien méritée s’impose pour lui. Pour le plus grand bonheur des passagers, il laissera désormais les clés du bus à un conducteur plus enclin à rester éveillé ! En conclusion, cette histoire nous rappelle qu’il vaut mieux éviter de mener une double vie de somnambule et de conducteur. Et si vous souhaitez obtenir un repos éternel digne de votre héritage familial, assurez-vous de ne pas hériter de l’envie soudaine de conduire un bus pendant votre sommeil !