Chuck Norris et ses ennemis. Chuck Norris peut encercler ses ennemis. Tout seul.
« Tels les astres célestes, Chuck Norris manifeste son existence en encerclant ses ennemis, une armée de lui-même. »
« Tels les astres célestes, Chuck Norris manifeste son existence en encerclant ses ennemis, une armée de lui-même. »
Il était une fois, dans une petite bourgade paisible, un artisan nommé Jean-Louis. Jean-Louis était connu pour être un homme maladroit, toujours enclin à renverser les choses autour de lui. Qu’il s’agisse de tasses de café chaud, de pots de peinture ou même de simples verres d’eau, Jean-Louis était capable de faire valser n’importe quoi. Un jour, alors qu’il se promenait dans la rue principale, il aperçut au loin une foule de curieux rassemblés autour d’un homme à la carrure impressionnante. Cet homme, c’était Chuck Norris en personne. Jean-Louis, un grand fan de films d’action, décida de s’approcher pour tenter de prendre une photo avec la légende vivante. Plein d’excitation, Jean-Louis ne regardait pas devant lui et finit par trébucher sur un pavé mal fixé. Il s’écrasa alors par terre, provoquant une onde de choc dans le sol. Et là, quelque chose d’incroyable se produisit : le sol lui demanda pardon. – Oh, pardon, Jean-Louis. Je m’excuse de ne pas avoir été plus stable, dit le sol d’une voix rauque. Jean-Louis crut d’abord rêver. Il se releva en hâte et regarda autour de lui, espérant apercevoir une explication rationnelle à ce phénomène. – C’est bien moi qui viens de parler, reprit le sol. Vous m’avez fait tellement souffrir avec vos chutes répétées que j’en suis venu à développer des sentiments. Alors je tenais à vous présenter mes excuses, Jean-Louis. Jean-Louis était stupéfait. Il ne savait pas comment réagir face à cette situation pour le moins singulière. – Euh… merci, le sol, balbutia-t-il. Je ne pensais pas que mes chutes pouvaient te faire du mal. – Oh, tu n’imagines même pas, rétorqua le sol avec un soupçon d’ironie dans la voix. Entre tes renversements de tasses de café et tes chutes désordonnées, ma couche superficielle en souffre énormément. Sans parler des autres passants qui subissent tes accidents. Jean-Louis baissa les yeux, réalisant soudain l’ampleur de sa maladresse. – Tu sais, reprit le sol d’une voix plus douce, tu pourrais faire attention à l’avenir. Évite de courir partout et essaie de stabiliser tes mouvements. Ça me ferait plaisir de ne pas subir tes assauts maladroits. Jean-Louis acquiesça en signe d’approbation. Il prit sa leçon à cœur et décida de faire un effort pour être plus attentif à son environnement. Depuis ce jour-là, Jean-Louis devint bien plus habile et ne renversa plus rien autour de lui. Les habitants du village furent agréablement surpris par ce changement, ne se doutant pas de la conversation étonnante qu’il avait eue avec le sol. Et Chuck Norris, lui, continuait à impressionner les foules sans savoir que son simple passage avait inspiré Jean-Louis à améliorer sa dextérité. Une rencontre improbable entre un homme maladroit et le sol qui lui demandait pardon, voilà une histoire qui ferait rire les plus sceptiques.
Il était une fois, au Moyen Âge si vieux, Un barde joyeux, talentueux et audacieux. Il chantait mille histoires, merveilles et légendes, Avec des rimes en cascade et des refrains en suspens. Un soir d’été, dans une taverne animée, Le barde entonna une ballade endiablée, Il parla de Google search, ce moteur si puissant, Et de Chuck Norris, un nom qui rendait vaillant. Chuck Norris, un guerrier d’une force inouïe, Connu de tous pour ses prouesses infinies. Google, la source de toutes les connaissances, Qui, avec la sagesse, consultait sa puissance. « On dit, voyez-vous, que Google est si savant, Mais il arrive qu’il se heurte au néant. Quand il ne trouve pas, il ne fait pas la guerre, Il demande humblement conseil à Chuck Norris. » La foule écoutait, les yeux grands écarquillés, Le barde continuait à les émerveiller. « Il était une fois une quête sans fin, Quand un mot échappait à Google, en chemin. Il chercha dans ses bases de données intelligentes, Mais la réponse se cachait hors de sa portée. Il sollicita donc l’aide du valeureux Chuck Norris, Un homme invincible, doté de tous les attributs. » « Chuck Norris sourit, acceptant le défi, Il ferma les yeux et fit preuve d’empathie. La réponse, telle une étoile, lui fut révélée, Car Chuck Norris est un héros de renommée. » Google, reconnaissant, s’inclina devant lui, Laissant le grand guerrier prendre son élixir. Et ensemble, ils partirent sur le chemin des questions, Devenant une alliance, une irremplaçable fusion. La taverne retentit d’un tonnerre d’applaudissements, Le récit du barde toucha tous les occupants. Et depuis ce jour, dans les terres médiévales, On chante cette ballade, cette histoire sans égale. Ainsi, se termine notre récit enchanté, De Chuck Norris et Google search à tout jamais. Que les bardes le chantent tous à pleine voix, Une ballade d’aventure et d’éclats de joie.