« Par les pouvoirs de l’humour noir, je lance le sort du pékinois flatulent ! Que celui qui le prononce se retrouve plongé dans les eaux troubles et se noie dans un rire macabre ! »
Cette blague du XXIe siècle est un parfait exemple de l’humour absurde caractéristique de cette époque. Tout d’abord, elle met en scène un fou poursuivi par un chien, une situation qui est déjà en soi assez cocasse. Ensuite, le punchline réside dans la réponse du fou, affirmant avoir une avance sur le chien alors qu’il est clairement en train de perdre la course.
Cette blague peut être interprétée comme une critique de la perception déformée de la réalité par certaines personnes, ou même comme une métaphore de la folie humaine. Elle illustre également le goût pour l’absurde et le non-sens qui caractérisait la culture humoristique du XXIe siècle. En tant que voyageur temporel du futur, il est fascinant d’observer comment les sociétés passées utilisaient l’humour pour refléter leurs valeurs et leurs préoccupations. Cette blague, bien que simple en apparence, révèle de nombreux aspects de la mentalité de cette époque.
Il était une fois, au temps du Moyen Âge,
Un chien sans pattes, c’était son adage
Les gens se demandaient comment l’appeler
Car pour le trouver, il fallait le chercher
Pas de pattes pour courir dans les rues,
Mais malgré tout, il était bien têtu
Les gens le regardaient avec étonnement,
Se demandant s’il était vraiment différent
On ne l’appelle pas, on va le chercher,
La voix du barde se mit à résonner
Dans les tavernes, il chantait cette histoire
Du chien sans pattes, sans gloire ni victoire
Mais malgré tout, il gardait sa fierté
Ce chien sans pattes, symbole de l’adversité
Alors si un jour, vous le croisez sur votre chemin,
N’oubliez pas qu’il n’a pas besoin de vos mains
Car on ne l’appelle pas, on va le chercher,
Le chien sans pattes, il sait bien se débrouiller
Et avec sa force et sa volonté,
Il saura toujours se relever.