Bretagne

Devinettes

Le breton et la géographique. Quelle est la ville de Bretagne la plus à l’est ? – Lorient (l’orient).

Dans les terres de Bretagne, un barde chantait, Un brin de malice dans son regard éclairait, Il contait une blague, une histoire comique, Sur un breton malin et sa géographie un peu mystique. « Quelle est la ville bretonne, amigos et amies, La plus à l’est, loin des confins et des prairies ? Lorient, répondit-il, le sourire aux lèvres, Car son nom résonne avec le mot qui s’apprêve. » Les gens rièrent sous le soleil de midi, Le barde continua, en rythme il chanta ainsi : « Lorient, l’orient, quand Breizh se mêle à l’humour, Chaque pierre raconte une histoire, un amour. » Ainsi va la ballade, dans les tavernes animées, Les rires résonnent, les cœurs sont enflammés, Le breton et la géographie, un joyeux mélange, Dans la chaleur de l’instant, tous se réjouissent et échangent.

Humour Noir

Un nécrophile et un nageur. Quel est le point commun entre un nécrophile et un homme qui se baigne en Bretagne ? Tous les deux disent : Elle est froide mais une fois dedans, elle est bonne.

Personne 1 (Pierre) : Hé, avez-vous entendu cette blague sur un nécrophile et un homme qui se baigne en Bretagne ? Personne 2 (Hans) : Non, pas encore. Racontez-la moi ! Pierre: Eh bien, le point commun entre un nécrophile et un homme qui se baigne en Bretagne, c’est qu’ils disent tous les deux : « Elle est froide, mais une fois dedans, elle est bonne. » Hans: Ahahaha ! C’est vraiment drôle ! Mais je suppose que l’eau en Bretagne est un peu froide, non ? Pierre: Oui, c’est vrai ! Les eaux bretonnes ont la réputation d’être fraîches même en été. Mais une fois qu’on s’y habitue, c’est rafraîchissant et agréable. Hans: J’imagine qu’il faut avoir du courage pour se baigner dans ces eaux froides, tout comme un nécrophile doit avoir un goût particulier… Pierre: Exactement ! La blague joue sur cette idée d’un goût étrange, mais aussi sur la surprise que peuvent apporter les choses, même si elles semblent peu attirantes au premier abord. Hans: J’adore quand une blague combine l’humour et une petite critique subtile. Celle-ci est vraiment bien faite ! Pierre: Content que ça vous ait plu ! Il faut toujours trouver le côté amusant, même dans les sujets les plus sensibles. C’est ce qui rend l’humour si spécial, n’est-ce pas ? Hans: Oh, absolument ! L’humour peut vraiment apporter du réconfort et alléger l’atmosphère, surtout lorsqu’on en a le plus besoin. Pierre: Tout à fait d’accord avec vous, mon ami. L’humour est vraiment universel et peut nous rassembler, quelle que soit notre origine européenne. Hans: Absolument, Pierre. Vive l’humour et la diversité culturelle ! Pierre: Cheers à ça !

Divers

Le breton et le poulet. Un automobiliste de passage en Bretagne écrase un poulet par accident. Il l’apporte au fermier du coin en lui disant : – Il est à vous ce poulet ? – Non ! Les nôtres ne sont pas aussi plats !

Il était une fois un automobiliste de passage en Bretagne qui, concentré sur le paysage magnifique, ne vit pas arriver un poulet espiègle sur la route. L’inévitable se produisit et le pauvre poulet finit écrasé sous les roues de la voiture. Pris de remords, l’automobiliste descendit de sa voiture et ramassa le poulet, essayant de réfléchir à quelle attitude adopter. Il décida alors de se rendre à la ferme la plus proche pour expliquer son malheureux accident. Arrivé à la ferme, l’automobiliste sonna à la porte et un fermier robuste vint lui ouvrir. L’automobiliste lui tendit le poulet tout en lui demandant : – Excusez-moi, avez-vous perdu un poulet ? Le fermier, après avoir examiné le pauvre volatile tout plat, répondit avec un clin d’œil amusé : – Non, non ! Nos poulets ne sont pas aussi plats que celui-ci. Ils sont plus dodus et bien portants, vous savez ! Pris au dépourvu par cette réponse inattendue, l’automobiliste ne put s’empêcher de rire face à l’humour du fermier breton. – Eh bien, dans ce cas, je suppose que je vais devoir garder ce poulet pour moi, fit-il en souriant. Le fermier acquiesça et proposa alors à l’automobiliste de venir partager un repas à la ferme pour compenser sa maladresse. L’automobiliste accepta volontiers et la soirée se transforma en une joyeuse fête. Ils mangèrent du délicieux poulet rôti, cuisiné par la femme du fermier, et partagèrent des histoires drôles et des anecdotes de voyage. Finalement, l’automobiliste réalisa que cet accident avait été une bénédiction déguisée qui lui permit de faire la connaissance d’une famille bretonne chaleureuse et accueillante. Depuis ce jour, à chaque fois qu’il passait par la Bretagne, l’automobiliste pense à un poulet.