BonneAnnée

Famille

Comment faire pour tester un nouveau pont ? On met toutes les belles mères sur le pont : s’il résiste, c’est que l’oeuvre est bonne, s’il craque, c’est une bonne oeuvre.

Au Moyen Âge, c’était un temps béni, Où les bardes chantaient leurs mélodies, Dans les tavernes, devant un public en liesse, Ils faisaient rire et oubliaient les tristesses. Permettez-moi de vous conter une blague, Qui fut adaptée en ballade, ô brave, Comment tester un pont tout neuf, croirait-on ? Avec les belles-mères, telle est la solution ! On réunit toutes les belles-mères fières, Sur ce pont fraîchement construit, sans frontières, Si le pont résiste à leur assaut farouche, Alors, l’ouvrage est solide, sans aucune rature. Mais si par malheur, le pont cède sous leur poids, On n’hésitera pas à le désigner du doigt, Car il ne serait rien de plus qu’une aberration, Une création indigne de glorification. Imaginons donc ce barde au ton exquis, Déclamant cette anecdote avec dévis, Les rimes se succèdent, dans un rythme effréné, Au grand dam des belles-mères, désappointées. « Ô Mesdames, rassemblez-vous en cortège, Venez tester ce pont, n’ayez nulle crainte, Si le bois cède, alors quel outrage ! Mais s’il résiste, alors quelle telle reine ! » Les belles-mères grimpent sur le pont d’un pas lourd, On entend les planches grincer de tous les côtés, Le barde récite, son chant couvre le bruit sourd, Et la tension monte, dans l’air imprégné. Soudain, le pont tremble et vacille légèrement, Un souffle de peur et de rires fous s’élève, Les belles-mères retiennent leur souffle, tant, Le verdict final approche, et la joie s’achève. Le pont tient bon, tout juste, face à leur poids, Les belles-mères soulagées éclatent de rire, Le barde triomphe, reçoit des bravos, Car cette oeuvre est solide, nul ne peut le démentir. Et c’est ainsi que notre blague est transformée, En une ballade chantée, une histoire enchantée, Dans les tavernes du Moyen Âge, elle résonne, Et dans les coeurs des auditeurs, elle résonne.

Humour Noir

Un nécrophile et un nageur. Quel est le point commun entre un nécrophile et un homme qui se baigne en Bretagne ? Tous les deux disent : Elle est froide mais une fois dedans, elle est bonne.

Personne 1 (Pierre) : Hé, avez-vous entendu cette blague sur un nécrophile et un homme qui se baigne en Bretagne ? Personne 2 (Hans) : Non, pas encore. Racontez-la moi ! Pierre: Eh bien, le point commun entre un nécrophile et un homme qui se baigne en Bretagne, c’est qu’ils disent tous les deux : « Elle est froide, mais une fois dedans, elle est bonne. » Hans: Ahahaha ! C’est vraiment drôle ! Mais je suppose que l’eau en Bretagne est un peu froide, non ? Pierre: Oui, c’est vrai ! Les eaux bretonnes ont la réputation d’être fraîches même en été. Mais une fois qu’on s’y habitue, c’est rafraîchissant et agréable. Hans: J’imagine qu’il faut avoir du courage pour se baigner dans ces eaux froides, tout comme un nécrophile doit avoir un goût particulier… Pierre: Exactement ! La blague joue sur cette idée d’un goût étrange, mais aussi sur la surprise que peuvent apporter les choses, même si elles semblent peu attirantes au premier abord. Hans: J’adore quand une blague combine l’humour et une petite critique subtile. Celle-ci est vraiment bien faite ! Pierre: Content que ça vous ait plu ! Il faut toujours trouver le côté amusant, même dans les sujets les plus sensibles. C’est ce qui rend l’humour si spécial, n’est-ce pas ? Hans: Oh, absolument ! L’humour peut vraiment apporter du réconfort et alléger l’atmosphère, surtout lorsqu’on en a le plus besoin. Pierre: Tout à fait d’accord avec vous, mon ami. L’humour est vraiment universel et peut nous rassembler, quelle que soit notre origine européenne. Hans: Absolument, Pierre. Vive l’humour et la diversité culturelle ! Pierre: Cheers à ça !

Divers

Que dit un hibou à sa femme le jour de l’an ? Je te chouette une bonne année !

Extrait d’un journal extraterrestre : Aujourd’hui, j’ai fait une découverte surprenante : l’humour humain. En analysant leur culture, j’ai trouvé une blague mystérieuse qui semble basée sur des jeux de mots. Laissez-moi partager avec vous cette expérience intrigante : La blague semble impliquer deux hiboux, des créatures nocturnes de la Terre. Ils sont mariés et se souhaitent mutuellement une bonne année lors de la célébration de leur temps appelé « jour de l’an ». Le hibou mari, d’une manière curieusement poétique, dit à son hibou épouse : « Je te chouette une bonne année ! » Maintenant, vous devez comprendre que l’espèce de hibou appelée « chouette » est également un terme utilisé pour décrire quelque chose ou quelqu’un de bien ou de cool dans leur langage humain. Donc, cette phrase se décline en deux parties : « chouette », pour signifier « bien » ou « cool », et « une bonne année », une expression pour souhaiter un avenir favorable. Alors, en combinant ces termes, le hibou mari semble proposer à sa femme une année favorable, tout en utilisant un jeu de mots involontaire en utilisant le mot « chouette » pour montrer son amour et son désir de bien-être pour elle. À première vue, cela peut sembler plutôt étrange pour nous, mais il semble que les humains trouvent ces jeux de mots et expressions amusants. Leur humour déconcertant repose souvent sur des subtilités linguistiques et des jeux de mots similaires, qui peuvent confondre notre logique extraterrestre. En somme, cette blague étrange montre comment les humains humains trouvent l’amusement dans des jeux de mots, des linguistiques créatives et des associations d’idées. Une exploration fascinante dans leur esprit humoristique, mais aussi un rappel de la complexité de leur humour par rapport à notre seul concept d’amusement.