Bellemère

Famille

Ta mère est tellement petite – Photo. Ta mère est tellement petite qu’on voit ses pieds sur la photo d’identité.

Par les pouvoirs des enchantements cachés, Je forge un sort d’univers enchanté, Ouvrez vos esprits, laissez-vous bercer, Par une blague sorcière à vous raconter. Ta mère, noble aventurière éternelle, Si petite, délivre une image irréelle, Capture d’un moment dans la clarté, Sa photo d’identité, ici gravée. Soudain, comme par magie imprégnée, Cette image, à nos yeux dévoilée, Révèle un secret d’étrangeté, Les pieds de ta mère, une réalité. Tel est le sort que j’ai tissé, Image figée d’une petite fée, Ses pieds, minuscules, défient la gravité, Sur cette photo, une mystérieuse vérité. Ma blague, un enchantement imprévu, De tes yeux, un rire sorti de l’issue, Un sourire ensorcelé, enchanteresse, La petite taille de ta mère manifestée. Que ce sort te transporte dans un tourbillon, De surprises magiques, vers l’horizon, Là où les blagues en sortilèges se mélangent, Et où la féerie des rires s’étend et se plonge.

Famille

Comment faire pour tester un nouveau pont ? On met toutes les belles mères sur le pont : s’il résiste, c’est que l’oeuvre est bonne, s’il craque, c’est une bonne oeuvre.

Au Moyen Âge, c’était un temps béni, Où les bardes chantaient leurs mélodies, Dans les tavernes, devant un public en liesse, Ils faisaient rire et oubliaient les tristesses. Permettez-moi de vous conter une blague, Qui fut adaptée en ballade, ô brave, Comment tester un pont tout neuf, croirait-on ? Avec les belles-mères, telle est la solution ! On réunit toutes les belles-mères fières, Sur ce pont fraîchement construit, sans frontières, Si le pont résiste à leur assaut farouche, Alors, l’ouvrage est solide, sans aucune rature. Mais si par malheur, le pont cède sous leur poids, On n’hésitera pas à le désigner du doigt, Car il ne serait rien de plus qu’une aberration, Une création indigne de glorification. Imaginons donc ce barde au ton exquis, Déclamant cette anecdote avec dévis, Les rimes se succèdent, dans un rythme effréné, Au grand dam des belles-mères, désappointées. « Ô Mesdames, rassemblez-vous en cortège, Venez tester ce pont, n’ayez nulle crainte, Si le bois cède, alors quel outrage ! Mais s’il résiste, alors quelle telle reine ! » Les belles-mères grimpent sur le pont d’un pas lourd, On entend les planches grincer de tous les côtés, Le barde récite, son chant couvre le bruit sourd, Et la tension monte, dans l’air imprégné. Soudain, le pont tremble et vacille légèrement, Un souffle de peur et de rires fous s’élève, Les belles-mères retiennent leur souffle, tant, Le verdict final approche, et la joie s’achève. Le pont tient bon, tout juste, face à leur poids, Les belles-mères soulagées éclatent de rire, Le barde triomphe, reçoit des bravos, Car cette oeuvre est solide, nul ne peut le démentir. Et c’est ainsi que notre blague est transformée, En une ballade chantée, une histoire enchantée, Dans les tavernes du Moyen Âge, elle résonne, Et dans les coeurs des auditeurs, elle résonne.

Humour Noir

Papa, c’est quoi l’humour noir ? Le père répond : « Demande à ta mère ! » Mais… maman est morte !

Personne 1: Hé, tu connais la blague du père qui répond « Demande à ta mère! » quand on lui demande ce que c’est l’humour noir ? Personne 2: Ah oui, je l’ai entendue ! C’est plutôt ironique, n’est-ce pas ? Personne 1: Absolument, ça me rappelle une anecdote que j’ai entendue récemment. Il y avait un homme appelé Pierre, d’origine française, et il a dit à son fils : « Pierre, tu veux savoir ce qu’est l’humour noir ? Demande à ta mère ! » Personne 2: Oh non, ne me dis pas que sa mère était aussi décédée ? Personne 1: Exactement ! Le père voulait faire une blague, mais malheureusement, la maman était vraiment décédée. La réaction du fils aurait dû être assez surprenante ! Personne 2: C’est terriblement tragique, mais d’une certaine manière, c’est assez drôle. Je suppose que le père n’avait pas réalisé à quel point sa réponse pouvait être inappropriée dans ce contexte. Personne 1: C’est vrai, parfois l’humour noir peut nous pousser à repousser certaines limites, mais dans ce cas, c’était vraiment une situation délicate. Personne 2: Ça me rappelle pourquoi il est important d’être conscient de nos mots et de considérer les sentiments des autres, même quand on essaie de faire rire. L’humour noir peut être délicat, surtout lorsqu’il touche des sujets sensibles comme la perte d’un être cher. Personne 1: Tu as tout à fait raison. Il faut être prudent et respectueux, même en cherchant à faire rire. Car après tout, l’humour devrait rapprocher les gens plutôt que de les blesser. Personne 2: Absolument, nous avons tous besoin de rire, mais sans jamais oublier d’être attentifs et bienveillants envers les autres. C’est là que réside la véritable essence de l’humour.