Extrait du manuel d’utilisation du Robot Comique 3000 :
Blague recommandée pour une interaction humoristique avec les humains :
– Que dit une noisette qui tombe à l’eau ?
– « Je me noix. »
Note : Cette blague utilise un jeu de mots humoristique basé sur la sonorité des mots « noix » et « nuit ». Il est conseillé de l’utiliser dans un contexte approprié pour garantir une réaction positive de la part de l’interlocuteur.
Sarah et Leila étaient toutes les deux très excitées à l’idée de prendre leur première leçon pour apprendre à naviguer. Le soleil brillait, le vent soufflait et les filles étaient prêtes à affronter les vagues.
Alors qu’elles observaient les voiles du bateau, Sarah ne put s’empêcher de remarquer à quel point elles ressemblaient à celles des hijabs traditionnels portés par les femmes musulmanes. Elle regarda alors Leila avec un sourire malicieux et lança : « Avec tous ces voiles, on se sent comme chez nous ! »
Leila éclata de rire, trouvant la remarque de Sarah à la fois drôle et parfaitement appropriée. Les deux amies se mirent alors à plaisanter sur le fait que le bateau était un peu comme une immense mosquée flottante.
Au fur et à mesure que la leçon avançait, Sarah et Leila se détendirent et commencèrent à apprécier vraiment l’expérience. Elles apprirent à manœuvrer le bateau, à hisser les voiles et à sentir le vent dans leurs cheveux.
À la fin de la journée, alors qu’elles retournaient sur la terre ferme, Sarah et Leila étaient rayonnantes et pleines de bonnes énergies. Elles se promirent de revenir bientôt pour une autre leçon et de continuer à explorer le monde ensemble, une voile à la fois.
Il était une fois un petit village de pêcheurs en bord de mer, où les habitants adoraient se retrouver au bar du coin pour partager un verre de Pastis. Un jour, un touriste curieux demanda au barman : « Quel est le point commun entre un verre de Pastis et un tsunami ? »
Le barman, un grand amateur de blagues, éclata de rire et répondit : « Plus il y a d’eau, moins il y a de jaune ! »
Les habitants du village se mirent à rire à leur tour, trouvant la blague aussi drôle qu’absurde. Mais le lendemain, une tempête se leva au large de la côte, et les habitants furent pris au dépourvu par un tsunami soudain qui déferla sur le village.
Alors que l’eau s’infiltrait dans les rues, le bar du coin fut submergé de liquide trouble, emportant avec lui tous les verres de Pastis.
Le petit village de pêcheurs se retrouva sous les eaux, mais les habitants gardèrent le sourire en repensant à la blague du barman. Car malgré la catastrophe, ils savaient que l’humour était souvent le meilleur remède pour affronter les épreuves de la vie. Et qui sait, peut-être qu’un jour, ils pourraient de nouveau trinquer ensemble autour d’un verre de Pastis, en se remémorant cette histoire drôle et un peu absurde.