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Les chinois et le père noël. Pourquoi les petits chinois ne croient ils pas au Père Noël ? – Parce que ce sont eux qui fabriquent les jouets !

Il était une fois, dans les contrées lointaines de l’Empire Céleste, une légende qui se transmettait de génération en génération. Les anciens racontaient qu’il existait un être magique appelé le Père Noël, qui voyageait à travers le monde pour apporter des cadeaux aux enfants sages. Cependant, les petits chinois, connus pour leur ingéniosité et leur savoir-faire dans l’art de la fabrication, refusaient de croire en cette histoire. Pourquoi, demandaient-ils, devraient-ils croire en un être qui leur apportait des jouets alors que c’étaient eux-mêmes qui les fabriquaient de leurs propres mains ? Ainsi, les petits chinois conservèrent leur scepticisme envers le Père Noël, préférant se fier à leur propre travail acharné et à leur talent pour créer des merveilles pour les enfants du monde entier. Et c’est ainsi que cette blague devint une légende, un conte répété avec humour et malice autour des feux de camp et des tables de festin, pour rappeler à chacun l’importance du travail et du savoir-faire.

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Le Chinois et le sens de l’orientation. Vous savez pourquoi les chinois perdent le Nord ? Parce qu’ils ont le Sud au cul (sudoku).

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Certains arrivent à faire des O en expirant la fumée d’un cigare. Chuck Norris, lui, sait reproduire l’intégralité de l’alphabet chinois.

Il était une fois un homme nommé Jean, un fumeur passionné de cigares. Jean était fier de sa capacité à souffler des O parfaits avec la fumée de ses cigares, et il aimait impressionner ses amis lors des soirées entre fumeurs. Un jour, lors d’une soirée bien arrosée, quelqu’un fit une remarque qui attira l’attention de Jean. « Tu sais, Jean, certains prétendent pouvoir faire des O en écrivant leur nom avec la fumée, mais personne ne peut rivaliser avec Chuck Norris ! » Tout le monde éclata de rire, mais Jean fut piqué au vif. « Chuck Norris ?! Qui est cet homme pour prétendre rivaliser avec moi ?! » pensa-t-il. Alors, il décida de relever le défi et de montrer à tous qu’il pouvait faire bien plus que des O en fumée. Le lendemain, Jean se mit à s’entraîner sans relâche. Il soufflait, aspirait, et expirait de la fumée en formant des cercles parfaits. Mais il comprenait qu’il devait aller plus loin s’il voulait vaincre Chuck Norris. Il se mit à étudier l’alphabet chinois et ses caractères complexes. Chaque soir, Jean pratiquait en essayant de reproduire les caractères avec la fumée de son cigare. Il passait des heures à s’entraîner, sa chambre devenant rapidement enfumée. Finalement, après des semaines d’efforts acharnés, Jean était prêt. Il invita tous ses amis à assister à sa grande démonstration. L’excitation était palpable lorsque Jean prit son cigare et commença à souffler de la fumée. À la surprise générale, la fumée se forma d’abord en cercles parfaits, puis se métamorphosa lentement en caractères chinois complexes. Jean écrivait chaque caractère avec une précision incroyable, impressionnant tout le monde autour de lui. Pourtant, au milieu de la démonstration, une voix s’éleva dans la foule. « Excusez-moi, mais je pense qu’il y a méprise ici. » Les regards se tournèrent vers l’homme qui avait parlé, et tout le monde resta bouche bée en voyant Chuck Norris lui-même se tenir là, le sourire aux lèvres. « Jean, tu as fait un excellent travail, mais laisse-moi te montrer comment le maître le fait vraiment. » Chuck Norris prit son propre cigare et, d’une simple expiration, produisit une fumée qui se transforma instantanément en chaque caractère chinois connu de l’humanité. Le silence s’abattit sur la foule alors que chacun réalisait l’ampleur de l’exploit. Jean sourit humblement et accepta sa défaite. Il avait appris une grande leçon ce jour-là : personne ne pouvait rivaliser avec Chuck Norris, pas même dans l’art de la réalisation de caractères chinois avec de la fumée de cigare. À partir de ce jour, Jean utilisa ses talents pour enseigner à d’autres passionnés la technique des O en fumée, mais il savait toujours qu’il y avait quelqu’un de plus grand que lui. Chuck Norris resterait toujours le maître incontesté de l’alphabet chinois, qu’il utilise un crayon ou un cigare.