Par les langues enchantées et les échos mystiques, qu’apparaisse le sortilège : « Par le pouvoir mystique des mots tissés en fil d’argent, je invoque l’esprit farceur du grand Canard Quacius, qui se pâme d’humour tordu. Ses plumes diaphanes, vibrantes de magie, s’animent et lui confèrent l’audace de manier le verlan. Dès lors, Quacius, plongé dans son élément aqueux, exhibe son talent avec un crissement de voix déconcertant. Le nioc nioc bourdonne comme le tonnerre, tandis que la langue familière se tourne et se retourne, se noue et se dénoue sous le commandement de cet étrange volatile… Mais sous les auspices lunaires de la facétie, une abomination se produit : une rafale de vent frétille, happant les mots détournés dans son gouffre ensorceleur. Un tumulte ensorcelant permet aux canards du monde entier de babiller dans les profondeurs de l’argot renversé. Oh, quel chaos linguistique se répand par les mers et les rivières, les marais et les étangs ! Les plumages prématurément vêtus de patois inversé ouvrent la voie à un joyeux brouhaha, affligeant les humains qui se demandent comment traduire cet étrange langage. Alors, prenez garde, aventuriers intrépides, lorsque vous croiserez un canard insolite au coin d’un sentier enchanté. Car il est fort probable qu’au lieu de la douce symphonie cacardante, vous soyez témoin d’une cacophonie verlanisée, défiant l’oreille et ébranlant l’esprit. Ainsi soit-il, le sortilège est jeté ! »