Animaux

Des escargots se baladent sur la plage, soudain ils croisent une limace: « – Demi-tour, on est sur la plage des nudistes ! »

Devinettes

Qu’est-ce qui est vert, qui monte et qui descend? Un petit pois dans un ascenseur.

Il Ă©tait une fois, dans un lointain passĂ©, une blague qui circulait parmi les peuples depuis des gĂ©nĂ©rations. Cette blague mystĂ©rieuse et Ă©nigmatique racontait l’histoire d’un petit pois, un humble lĂ©gume de couleur verte, qui se retrouvait coincĂ© dans un Ă©trange engin nommĂ© ascenseur. Les anciens racontaient que le petit pois Ă©tait pris au piĂšge entre les parois Ă©troites de l’ascenseur, ne pouvant ni monter ni descendre. Les rires raisonnaient Ă  travers les Ăąges lorsque l’on pensait Ă  l’image absurde de ce petit pois vert, enfermĂ© dans un tel endroit insolite. Certains disaient que cette blague avait Ă©tĂ© transmise de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration pour rappeler aux hommes l’importance de ne pas se prendre trop au sĂ©rieux, et de trouver de la joie mĂȘme dans les situations les plus ordinaires. Le petit pois dans l’ascenseur devenait ainsi un symbole de lĂ©gĂšretĂ© et de dĂ©tachement, invitant chacun Ă  sourire face aux dĂ©fis de la vie quotidienne. Ainsi, la lĂ©gende du petit pois dans l’ascenseur continuait de charmer et d’amuser les peuples, perpĂ©tuant sa tradition humoristique Ă  travers les Ăąges, en tant que tĂ©moignage de la sagesse et de la simplicitĂ© qui rĂ©sidaient dans les histoires racontĂ©es par les anciens.

Famille

Une petite fille demande Ă  son pĂšre: « – Qu’est-ce qu’on devient quand on est mort ? » « – On devient de la poussiĂšre, lui rĂ©pond le pĂšre. » « – Alors je crois que j’ai un mort sous le lit ! »

Il Ă©tait une fois une petite fille nommĂ©e LĂ©a, curieuse et pleine d’imagination. Un soir, alors qu’elle Ă©tait en train de se prĂ©parer Ă  aller au lit, elle posa une question Ă  son pĂšre qui lui vint soudain Ă  l’esprit. « Papa, qu’est-ce qu’on devient quand on est mort ? » demanda-t-elle avec sĂ©rieux. Son pĂšre, un peu pris au dĂ©pourvu par cette question inattendue, rĂ©pondit simplement : « On devient de la poussiĂšre, ma chĂ©rie. » LĂ©a resta silencieuse un moment, puis s’écria soudainement : « Alors je crois que j’ai un mort sous le lit ! » Son pĂšre Ă©clata de rire devant l’imagination dĂ©bordante de sa fille. Il se pencha pour regarder sous le lit et dĂ©couvrit un amas de poussiĂšre accumulĂ©e. « Tu vois ma chĂ©rie, c’est juste de la poussiĂšre ! » dit-il en riant. LĂ©a se mit Ă  rire Ă  son tour, ravie d’avoir fait une blague Ă  son pĂšre. Ils passĂšrent le reste de la soirĂ©e Ă  rire ensemble, oubliant complĂštement la question existentielle de dĂ©part. Et depuis ce jour, chaque fois qu’ils trouvaient de la poussiĂšre dans la maison, LĂ©a disait en rigolant : « Attention, on a un mort sous le lit ! » C’était devenu leur petit secret, leur blague prĂ©fĂ©rĂ©e qui les faisait rire Ă  chaque fois. Et ils se promirent de garder leur complicitĂ© et leur humour intact, mĂȘme au milieu de la poussiĂšre et des questions existentielles.