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Qui est l’idiot qui a crĂ©Ă© la cĂ©dille ? Monsieur Duçon

Il Ă©tait une fois Monsieur Duçon, un homme un peu excentrique connu pour ses inventions farfelues. Un jour, il se mit en tĂȘte de crĂ©er un tout nouvel accessoire rĂ©volutionnaire pour amĂ©liorer l’Ă©criture de la langue française. Il voulait simplifier les choses et rendre les lettres encore plus faciles Ă  utiliser. Mais voilĂ , Monsieur Duçon avait une idĂ©e un peu farfelue : il voulait crĂ©er une petite boucle qu’il appellerait « la cĂ©dille » et qui serait placĂ©e sous la lettre « c ». Il pensait que cela simplifierait l’Ă©criture des mots français qui contenaient un « ç ». Il Ă©tait persuadĂ© de faire sensation avec cette invention. Cependant, les autres linguistes Ă©taient sceptiques quant Ă  l’utilitĂ© de cette nouvelle invention. Ils estimaient que le « ç » Ă©tait dĂ©jĂ  facilement reconnaissable et que l’ajout d’une quelconque boucle ne ferait qu’ajouter de la confusion. Mais cela n’arrĂȘta pas Monsieur Duçon dans sa quĂȘte de gloire. Il passa des jours et des nuits Ă  construire sa petite cĂ©dille et une fois qu’elle fut prĂȘte, il la prĂ©senta fiĂšrement Ă  ses amis. « C’est gĂ©nial ! », s’exclama-t-il. « Maintenant, chaque fois que vous voulez Ă©crire un ‘ç’, il vous suffira d’ajouter cette petite boucle sous le ‘c’. Ça rend l’Ă©criture bien plus facile, non ? » Ses amis se regardĂšrent, incrĂ©dules. Puis, l’un d’entre eux prit la parole : « Monsieur Duçon, vraiment, respect pour votre crĂ©ativitĂ©, mais je crains que cela ne soit pas trĂšs utile. La cĂ©dille, telle que vous l’avez crĂ©Ă©e, est juste une lettre en plus Ă  ajouter Ă  tous les claviers et aux polices d’Ă©criture. Cela risque d’engendrer encore plus de confusion et de complications! » Le visage de Monsieur Duçon s’illumina d’un air surpris. Il n’avait pas du tout pris en compte cet aspect technique. « Oh mince, je n’y avais pas pens

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Pourquoi les poules n’ont-elles pas de seins ? Parce que les coqs n’ont pas de mains !

Un mystĂšre vieux comme le monde a enfin Ă©tĂ© rĂ©solu, et c’est une rĂ©vĂ©lation qui secoue la communautĂ© scientifique : Pourquoi les poules n’ont-elles pas de seins ? Et la rĂ©ponse est plus Ă©tonnante que vous ne l’imaginez : les coqs n’ont tout simplement pas de mains ! Cette conclusion, validĂ©e par une Ă©quipe de chercheurs farfelus de l’UniversitĂ© des Animaux Rigolos, met fin Ă  des siĂšcles de spĂ©culation intense. Les Ă©leveurs de poules du monde entier se demandaient depuis des gĂ©nĂ©rations pourquoi les volatiles Ă  plumes ne possĂ©daient pas de poitrine gĂ©nĂ©reuse, Ă  l’instar des ĂȘtres humains, des vaches ou mĂȘme des truites. Le professeur Plumetoile, qui a dirigĂ© cette Ă©tude audacieuse, a expliquĂ© dans une confĂ©rence de presse pleine de gaietĂ© : « Nous avons minutieusement observĂ© des milliers de coqs dans leurs activitĂ©s quotidiennes, et nous avons rĂ©alisĂ© que leur anatomie Ă©tait responsable de cette situation hilarante ! Les pauvres coqs sont malheureusement dĂ©pourvus de mains, et par consĂ©quent, les poules se sont vues privĂ©es de seins. » La dĂ©couverte a Ă©tĂ© accueillie par des rires joyeux et soulĂšve de nombreuses questions. Les coqs se retrouvent-ils dans une situation embarrassante lorsqu’ils tentent de se dĂ©shabiller ? Et comment les poules font-elles pour stocker la nourriture pour leurs poussins sans soutien-gorge ? Une enquĂȘte approfondie s’impose donc. Les Ă©leveurs de poules ont dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  diverses solutions pour pallier cette situation inĂ©dite. Certains proposent des prothĂšses Ă  la mode, afin que les poules puissent exploiter pleinement leur potentiel de sĂ©duction. D’autres suggĂšrent l’utilisation de soutiens-gorges volants, Ă©quipĂ©s d’un systĂšme de pickpocket pour voler la nourriture des autres coqs. Les idĂ©es les plus farfelues fusent, et l’industrie de la mode avicole est

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Qu’est-ce que ça fait quand tu lances une gousse d’ail contre un mur ? Le retour du jet d’ail

Un Ă©vĂ©nement incontrĂŽlable s’est produit hier soir dans un petit village paisible, lorsqu’un mystĂ©rieux individu a dĂ©cidĂ© de mettre nos rĂ©sidents au dĂ©fi avec une Ă©nigme hilarante : « Qu’est-ce que ça fait quand tu lances une gousse d’ail contre un mur ? ». Et lĂ , mes chers lecteurs, l’Ă©dition du journal se doit de rapporter les faits les plus cocasses ! Tout a commencĂ© lorsque Joseph, le propriĂ©taire du cafĂ© du village, a entendu parler de cette Ă©nigme. Curieux et amusĂ©, il a dĂ©cidĂ© de relever le dĂ©fi et a cherchĂ© une gousse d’ail dans sa cuisine. ArmĂ© de sa trouvaille odorante, il a fait le choix insensĂ© de lancer l’ail contre le mur de sa maison. Quelle surprise l’attendait alors qu’il se tenait devant le mur, le souffle coupĂ© ! Un moment de tension s’est installĂ©, pendant lequel Joseph et les quelques curieux prĂ©sents ont retenu leur souffle. Tout Ă  coup, une brume Ă©trange a envahi l’air, faisant tousser tout le monde. Les habitants du village se sont regardĂ©s les uns les autres, perdus et perplexes. Et soudain, de nulle part, une colonie de vampires a surgi du sol ! Oui, mesdames et messieurs, vous avez bien lu, des vampires ! EffrayĂ©s, les villageois ont vu ces crĂ©atures mythiques sortir de chaque recoin obscur du village en quĂȘte de sang frais. C’Ă©tait vraiment un spectacle hors du commun. Les vampires, armĂ©s de leurs dents pointues et brillantes, semblaient aussi pĂ©trifiĂ©s que les villageois. Soudain, l’un d’entre eux s’est retournĂ© vers Joseph et a dit d’une voix sĂ©duisante : « Tu es celui qui a jetĂ© de l’ail contre le mur, n’est-ce pas ? » Notre pauvre Joseph, encore sous le choc, a hochĂ© la tĂȘte timidement. Les vampires, visiblement amusĂ©s, ont Ă©clatĂ© de rire, leurs yeux brillant d’un Ă©clat malicieux. Ils se sont alors approchĂ©s de lui et l’ont entourĂ©. La tension Ă©tait palpable, mais Ă  la grande surprise de tous, le vampire leader, vĂȘtu d’une cape sombre et d’une chemise Ă  jabot, a pris la parole : « Tu as, sans le savoir, rĂ©ussi notre dĂ©fi millĂ©naire. Aucun humain n’avait jamais pensĂ© Ă  faire cela avant toi. C’Ă©tait notre Ă©preuve secrĂšte pour nous appeler. » Joseph, tentant de reprendre ses esprits, a demandĂ© : « Quel Ă©tait le but de cette Ă©nigme ? Pourquoi m’avez-vous choisi ? » Le vampire, souriant de toutes ses canines, a rĂ©pondu : « Il ne s’agissait pas de toi spĂ©cifiquement. C’Ă©tait un test pour voir quel humain serait suffisamment audacieux et curieux pour lancer une gousse d’ail contre un mur. Et toi, cher Joseph, tu as Ă©tĂ© cet humain. » Tout le village Ă©tait abasourdi. Les vampires, loin d’ĂȘtre menaçants, semblaient plutĂŽt amusĂ©s et bienveillants. « Ne vous inquiĂ©tez pas, nous ne sommes pas ici pour vous nuire, » a continuĂ© le leader. « Au contraire, nous voulons cĂ©lĂ©brer cette audace humaine. Qui aurait cru qu’une simple gousse d’ail pouvait provoquer une telle rencontre entre nos deux mondes ? » L’atmosphĂšre s’est dĂ©tendue, et une grande fĂȘte a alors commencĂ©. Les vampires ont partagĂ© avec les villageois leurs boissons et mets prĂ©fĂ©rĂ©s, des cocktails Ă  base de sang pour les plus tĂ©mĂ©raires, et des tartes Ă  l’ail pour les plus gourmands. Les villageois, encore sous le choc, ont dansĂ© et chantĂ© toute la nuit avec leurs nouveaux amis immortels. Lorsque l’aube a pointĂ© le bout de son nez, les vampires ont disparu aussi mystĂ©rieusement qu’ils Ă©taient apparus, laissant derriĂšre eux des souvenirs impĂ©rissables et une histoire que le village racontera pendant des gĂ©nĂ©rations. Et la rĂ©ponse Ă  l’Ă©nigme ? Eh bien, quand on lance une gousse d’ail contre un mur, cela fait… une soirĂ©e inoubliable !