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Le gynécologue et la poubelle. Comment appelle-t-on un fouilleur de poubelle professionnel ? Un gynécologue.

Jean: HĂ© Luc, tu connais la derniĂšre ? Tu sais comment on appelle un fouilleur de poubelle professionnel ? Luc: Non, pas du tout. Comment on l’appelle ? Jean: Un gynĂ©cologue ! Luc: Ahaha, c’est vrai qu’ils ont le coup de main pour chercher des trĂ©sors cachĂ©s dans les endroits les plus inattendus ! Jean: Exactement ! Ils passent leur temps Ă  fouiller, que ce soit dans les poubelles ou dans les parties intimes des femmes. C’est sĂ»r, ils ont le sens de l’exploration ! Luc: Haha, et je suppose qu’ils doivent tous utiliser des gants et des pinces pour ne pas se salir les mains ? Jean: Oh oui, c’est clair ! Ils ont dĂ©veloppĂ© une technique prĂ©cise pour fouiller sans laisser de traces. Les gynĂ©cologues, les rois de la dĂ©licatesse ! Luc: Mais imagine s’ils se trompent de job et se retrouvent Ă  fouiller les mauvaises poubelles… Ce serait une sacrĂ©e surprise pour eux ! Jean: Ahaha, Ă  coup sĂ»r ! Ils devraient certainement faire un stage dans une dĂ©charge pour s’entraĂźner au prĂ©alable. Car fouiller des ordures, ça ne s’improvise pas ! Luc: C’est clair. En tout cas, je suis content de ne pas ĂȘtre gynĂ©cologue Ă  temps partiel, moi. Je prĂ©fĂšre laisser ce travail Ă  des professionnels ! Jean: Oh oui, on n’est pas tous faits pour fouiller des poubelles toute la journĂ©e. Mais avoue quand mĂȘme que cette blague est plutĂŽt originale ! Luc: Absolument, elle sort de l’ordinaire ! J’espĂšre juste que les gynĂ©cologues ne l’entendront pas, sinon ils risquent de nous prendre pour des fous ! Jean: Haha, c’est bien possible ! Mais bon, au moins, ça nous aura permis de rire un peu et de voir les gynĂ©cologues sous un autre angle ! Luc: Tout Ă  fait. Allez, on en reste lĂ  avec nos blagues surprenantes. Sinon, on risque d’ĂȘtre blacklistĂ©s chez tous les cabinets mĂ©dicaux ! Jean: Haha, tu as raison. On garde ça entre nous. Cheers, mon ami, et vive les gynĂ©cologues de poubelle ! Luc: Cheers ! Vive les gynĂ©cologues et leurs talents de chercheurs de trĂ©sors !

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Je suis toujours prĂ©sent, mais jamais visible. Mon mystĂšre rĂ©side dans demain. Qui suis-je ? RĂ©ponse : L’avenir.

Personne 1 (Pierre) : HĂ©, tu connais la blague de l’avenir ? Personne 2 (LĂ©a) : Non, raconte-moi ! Pierre : Eh bien, il y a ce Monsieur Dupont qui Ă©tait vraiment obsĂ©dĂ© par l’avenir. Il disait toujours qu’il Ă©tait mystĂ©rieux et invisible, et que son pouvoir rĂ©sidait dans demain. LĂ©a : Ah bon ? Et comment est-ce qu’il le prouvait ? Pierre : Eh bien, un jour, Monsieur Dupont a dĂ©cidĂ© de jouer un bon tour Ă  ses amis. Il a prĂ©vu une fĂȘte surprise pour eux, mais personne ne savait quand cela allait arriver. LĂ©a : Et donc, comment est-ce qu’il a fait pour organiser cette fĂȘte surprise puisqu’il est invisible ? Pierre : C’est lĂ  que c’est drĂŽle. Monsieur Dupont a simplement envoyĂ© des invitations Ă  tous ses amis en leur disant de se rendre chez lui le lendemain soir, sans prĂ©ciser de date ! LĂ©a : Haha, c’est gĂ©nial ! Et comment cela s’est terminĂ© ? Pierre : Eh bien, les amis de Monsieur Dupont Ă©taient tellement perplexes et impatients qu’ils ont commencĂ© Ă  se rendre chez lui tous les soirs pendant une semaine, en espĂ©rant que la fĂȘte surprise aurait lieu. Mais Ă©videmment, Monsieur Dupont ne les attendait pas tous les soirs, donc il est restĂ© invisible et mystĂ©rieux, laissant tous ses amis dans le doute ! LĂ©a : C’est vraiment une blague intelligente et amusante ! Monsieur Dupont a su profiter de la nature de l’avenir pour jouer un bon tour Ă  ses amis. Pierre : Oui, c’Ă©tait vraiment ingĂ©nieux de sa part ! Et ça montre aussi que l’avenir peut parfois ĂȘtre plein de surprises, mĂȘme si on essaie de le rendre visible.

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Connaissez-vous la diffĂ©rence entre une chĂšvre et une personne ĂągĂ©e ? La chĂšvre couine pendant cinq minutes quand quelque chose ne va pas, puis elle se tait. Les personnes ĂągĂ©es, en revanche, rĂąlent pendant cinq minutes, mais ça dure trois heures ! Évidemment qu’ils deviennent sourds Ă  force !

Il Ă©tait une fois dans un petit village paisible, un homme nommĂ© Henri, ĂągĂ© de 85 ans. Henri Ă©tait connu pour ĂȘtre un grand rĂąleur. Sa femme, Simone, s’Ă©tait habituĂ©e Ă  ses plaintes incessantes. Un jour, alors qu’ils Ă©taient en promenade dans la campagne, ils tombĂšrent sur une ferme oĂč une chĂšvre Ă©tait en train de donner naissance Ă  ses petits. IntriguĂ©s, Henri et Simone s’approchĂšrent pour observer ce magnifique spectacle de la nature. La chĂšvre Ă©tait couchĂ©e au sol, et elle poussait pour donner naissance Ă  son premier chevreau. Pendant les cinq minutes de l’accouchement, la chĂšvre couina de douleur, mais une fois le chevreau apparu, elle se tut instantanĂ©ment. Henri et Simone Ă©taient Ă©merveillĂ©s par cette scĂšne touchante. En rentrant chez eux, Henri ne put s’empĂȘcher de comparer cette expĂ©rience Ă  sa propre vie. Il rĂ©alisa que, contrairement Ă  la chĂšvre, il Ă©tait un grand rĂąleur. Il ronchonnait pour tout et n’importe quoi, et ses plaintes semblaient durer des heures plutĂŽt que des minutes. Cette rĂ©flexion amusa Henri, et il dĂ©cida de faire une expĂ©rience. Le lendemain matin, il se promena dans le village et croisa un voisin qui avait l’habitude de se plaindre de son mal de dos. Henri l’Ă©couta pendant cinq minutes, puis interrompit subitement le voisin en lui disant : « Ecoutez, c’est bon, je pense que je comprends maintenant. Une chĂšvre couine pendant cinq minutes et puis elle se tait. Mais toi, tu rĂąles depuis au moins trois heures ! » Le voisin, surpris par cette remarque, Ă©clata de rire en comprenant la blague d’Henri. Ils passĂšrent le reste de la journĂ©e Ă  rire et partager des histoires drĂŽles sur le rĂąlage incessant des personnes ĂągĂ©es. Et depuis ce jour-lĂ , Henri dĂ©cida de prendre les choses avec plus de lĂ©gĂšretĂ©. Il accepta que rĂąler ne servait Ă  rien, si ce n’est fatiguer et agacer son entourage. Au lieu de cela, il prĂ©fĂ©ra rire et profiter des petits moments de bonheur qui se prĂ©sentaient Ă  lui. Et c’est ainsi qu’Henri devint, malgrĂ© son grand Ăąge, un homme plein de joie de vivre. Sa femme Simone, ravie de cette nouvelle attitude, se rĂ©jouit de leurs journĂ©es dĂ©sormais remplies de rires. Et Ă  l’approche de leur 50e anniversaire de mariage, Henri surprit Simone avec une surprise spĂ©ciale : une chĂšvre en peluche qu’il avait nommĂ©e « Madame Couine », pour se rappeler avec amusement de la diffĂ©rence entre les chĂšvres et les personnes ĂągĂ©es. Et chaque fois qu’Henri regardait cette peluche, il se remĂ©morait la leçon qu’il avait apprise ce jour-lĂ  dans la campagne : la vie Ă©tait bien trop courte pour rĂąler, alors autant la savourer en souriant.