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Le geek et le binaire. T’es tellement geek que ta vie en code binaire se rĂ©sume Ă  0.

Jean : HĂ© Luc, tu sais comment on reconnaĂźt un vrai geek ? Luc : Non, raconte-moi ! Jean : Eh bien, si ta vie en code binaire se rĂ©sume Ă  zĂ©ro, tu es dĂ©finitivement un geek ! Luc : Ahah, c’est pas faux ! Mais attends, toi aussi tu peux vivre en binaire ? Jean : Oh non, je suis plutĂŽt du genre Ă  prĂ©fĂ©rer le Wi-Fi, les Ă©moticĂŽnes et les GIFs animĂ©s ! Luc : Ah, je vois… Tu as tout de mĂȘme rĂ©ussi Ă  rĂ©sister Ă  la tentation du binaire, alors ! Jean : Oui, j’ai la chance de ne pas me sentir trop attirĂ© par les suites de 0 et de 1. Mais toi, Luc, dis-moi, comment est-ce que tu passes tes journĂ©es en code binaire ? Luc : Haha ! Eh bien, imagine-toi entourĂ© de zĂ©ros et de uns toute la journĂ©e. Je me rĂ©veille avec un 0 dans mon bol de cĂ©rĂ©ales, je conduis ma voiture avec des 1 sur le tableau de bord, je travaille sur un ordinateur rempli de bits… C’est mitigeant, mais c’est devenu ma vie ! Jean : Wow, je ne savais pas que le binaire pouvait ĂȘtre aussi envahissant ! Et… est-ce que tu rencontres des problĂšmes au quotidien Ă  cause de ça ? Luc : Oh oui, parfois je mĂ©lange tout ! Par exemple, un jour, je suis allĂ© commander un cafĂ© et j’ai demandĂ© un « double expresso 0101 ». Le barista m’a regardĂ© avec des gros yeux ! Jean : Hahaha, je ne peux pas t’en vouloir, le binaire te suit partout ! Mais surtout, je suis curieux… Est-ce que tu as une vie sociale en dehors de tous ces zĂ©ros et uns ? Luc : Eh bien, mes amis me reprochent parfois de passer plus de temps avec mon ordinateur qu’avec eux. Mais bon, on peut dire que je suis assez sociable en ligne ! Jean : Ah, c’est vrai que tu es le roi des rĂ©seaux sociaux ! Mais dis-moi, as-tu dĂ©jĂ  essayĂ© de convertir quelque chose en binaire, juste pour le plaisir ? Luc : Bien sĂ»r ! Un jour, j’ai voulu Ă©crire un poĂšme d’amour en binaire pour une fille que j’aimais bien. Mais quand je le lui ai donnĂ©, elle m’a regardĂ© d’un air confus et m’a dit : « Luc, c’est juste une suite de zĂ©ros et de uns ». Je lui ai rĂ©pondu que c’Ă©tait le langage de l’amour… Ă  ma maniĂšre ! Jean : Ahah, quel romantique tu fais ! Et elle, qu’a-t-elle fait ? Luc : Elle m’a souri et m’a dit qu’elle prĂ©fĂ©rait les mots doux… en langage humain ! J’ai compris que le binaire n’Ă©tait peut-ĂȘtre pas la meilleure maniĂšre de sĂ©duire. Jean : C’est sĂ»r ! Mais au moins, tu as essayĂ©. Et puis, qui sait, peut-ĂȘtre qu’un jour tu rencontreras une geekette qui comprendra parfaitement ton langage ! Luc : Ah, ce serait le rĂȘve ! Mais en attendant, je vais continuer Ă  m’amuser avec mes suites de zĂ©ros et de uns. Et toi, Jean, tu resteras toujours mon ami, mĂȘme si tu ne comprends pas toujours mon amour pour le binaire. Jean : Bien sĂ»r, Luc ! Et qui sait, peut-ĂȘtre qu’un jour je me mettrai moi aussi au binaire, juste pour te faire plaisir ! Luc : Ah, ce serait gĂ©nial ! Mais pour l’instant, allons prendre un cafĂ©… et cette fois, sans zĂ©ros et uns !

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La belle-mùre et les cannibales. Deux cannibales discutent : – J’aime pas du tout, mais du tout ma belle-mùre. – Ouais ben mais mange au moins les carottes .

Titre : Deux cannibales reprennent la recette de la Belle-MĂšre aux carottes Dans une jungle lointaine peuplĂ©e de cannibales, deux amis discutent de leurs habitudes alimentaires peu conventionnelles. Alors qu’ils Ă©chafaudent des plans pour leur prochain festin, la conversation dĂ©rive vers des sujets plus personnels. – J’aime pas du tout, vraiment pas ma belle-mĂšre, lance le premier cannibale d’un ton contrariĂ©. Son compagnon, devant tant de sincĂ©ritĂ©, dĂ©cide de lui apporter un brin de rĂ©confort : – Ouais, je comprends totalement. Les belles-mĂšres ont ce don unique de nous exaspĂ©rer. Mais Ă©coute, mĂȘme si tu ne peux pas la supporter, tu devrais au moins songer Ă  manger les carottes qu’elle met dans le plat, elles sont bonnes pour la santĂ©. Le premier cannibale Ă©carquille les yeux, surpris par la proposition inattendue de son ami. – Manger les carottes de ma belle-mĂšre ? Mais pourquoi donc ? Le sourire malicieux aux lĂšvres, son ami explique : – Eh bien, imagine un instant. Si nous rĂ©unissons toutes les belles-mĂšres de la jungle et leur demandons de cuisiner leurs plats les plus dĂ©licieux, elles utiliseront forcĂ©ment des carottes. Tu te rends compte ? Nous pourrions organiser la plus grande fĂȘte jamais vue dans l’histoire des cannibales ! La FĂȘte des Carottes, tu te rends compte ? À cette idĂ©e folle, les deux cannibales se mettent Ă  rire aux Ă©clats. Ils imaginent dĂ©jĂ  la marmitĂ©e de plats dĂ©licieux prĂ©parĂ©s par les belles-mĂšres – des recettes transmises depuis des gĂ©nĂ©rations. – On pourrait y ajouter des pommes de terre, des petits pois, peut-ĂȘtre mĂȘme des brocolis, s’exclame le premier cannibale, de plus en plus enthousiaste. Soudain, une idĂ©e audacieuse leur traverse l’esprit. – Et si on invitait nos belles-mĂšres Ă  la fĂȘte ? On pourrait leur montrer notre amour d’une maniĂšre unique ! Les deux cannibales Ă©changent un regard complice. L’idĂ©e est audacieuse, certes, mais elle pourrait ĂȘtre la solution idĂ©ale pour amĂ©liorer leurs relations avec leurs belles-mĂšres tout en satisfaisant leurs papilles gustatives. Oui, c’est une excellente idĂ©e ! s’exclame le second cannibale. Elles pourraient nous montrer comment elles prĂ©parent leurs plats, nous pourrions apprendre de nouvelles recettes, et en retour, nous leur offririons une place d’honneur Ă  la fĂȘte. Exactement ! ajoute le premier cannibale. Nous pourrions mĂȘme leur offrir des cadeaux en signe de gratitude. Peut-ĂȘtre des bijoux ou des vĂȘtements traditionnels de la jungle. La perspective de la FĂȘte des Carottes les excite tant qu’ils commencent immĂ©diatement Ă  planifier les dĂ©tails. Ils imaginent une grande table remplie de dĂ©licieux plats, des boissons exotiques, des danses traditionnelles et des chants pour cĂ©lĂ©brer l’occasion. Nous pourrions mĂȘme inviter d’autres tribus de la jungle, suggĂšre le premier cannibale. Cela pourrait ĂȘtre une occasion de renforcer nos liens avec nos voisins. Le second cannibale hoche la tĂȘte en signe d’approbation. Oui, et imagine toutes les nouvelles recettes que nous pourrions dĂ©couvrir ! Les possibilitĂ©s sont infinies. La vision de cette fĂȘte grandiose les remplit d’espoir et d’enthousiasme. Ils dĂ©cident de mettre leur plan Ă  exĂ©cution et de commencer les prĂ©paratifs pour la FĂȘte des Carottes. Et ainsi, dans cette jungle lointaine, deux cannibales ont trouvĂ© une maniĂšre unique d’exprimer leur amour et leur gratitude envers leurs belles-mĂšres, tout en perpĂ©tuant leurs traditions culinaires.

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Une fille et son petit frĂšre. Une fille demande Ă  sa mĂšre : – Est ce que mon petit frĂšre est un ange ? – Oui ma chĂ©rie. – Alors pourquoi ne s’est-il pas envolĂ© quand je l’ai jetĂ© par la fenĂȘtre la derniĂšre fois ?

Il Ă©tait une fois une petite fille espiĂšgle nommĂ©e LĂ©a, qui avait un petit frĂšre prĂ©nommĂ© Lucas. Lucas Ă©tait un bĂ©bĂ© tout mignon avec des boucles d’or sur la tĂȘte, mais LĂ©a avait toujours des doutes sur sa nature cĂ©leste. Un jour, alors que leur maman prĂ©parait le dĂ©jeuner dans la cuisine, LĂ©a s’approcha d’elle avec une expression curieuse sur le visage. Elle lui posa alors une question qui avait le potentiel de laisser la maman sans voix. – Maman, est-ce que mon petit frĂšre est un ange ? demanda LĂ©a, les yeux pĂ©tillants d’excitation. La maman sourit doucement et rĂ©pondit : « Bien sĂ»r, ma chĂ©rie, ton petit frĂšre est un ange. » En entendant cela, LĂ©a ne put s’empĂȘcher de sourire avec joie. Elle avait dĂ©jĂ  un plan dĂ©lirant en tĂȘte pour prouver Ă  tout le monde que ce bĂ©bĂ© potelĂ© Ă©tait bel et bien un ange. Le lendemain matin, alors que tout le monde dormait encore, LĂ©a sortit discrĂštement de sa chambre. Elle avait un grand sac Ă  dos dans lequel elle avait soigneusement emballĂ© Lucas. Sa mission Ă©tait simple : prouver que son petit frĂšre Ă©tait un ange en le lançant par la fenĂȘtre pour vĂ©rifier s’il allait s’envoler. Avec une dĂ©termination sans faille, LĂ©a se rendit dans la chambre de Lucas et le souleva dĂ©licatement dans ses bras. Elle ouvrit doucement la fenĂȘtre, un sourire malicieux sur le visage. Puis, elle prit une grande respiration et… « BOING ! » Au moment oĂč LĂ©a s’apprĂȘtait Ă  jeter Lucas, elle entendit un bruit Ă©tonnant provenant de l’extĂ©rieur. Elle se tourna vivement vers la fenĂȘtre pour voir ce qui se passait. Et devinez quoi ? Un trampoline ! Un voisin avait installĂ© un trampoline juste en dessous de la fenĂȘtre pendant la nuit. Lucas atterrit doucement sur le trampoline, rebondissant joyeusement sans se douter une seconde de ce qui s’Ă©tait passĂ©. LĂ©a Ă©tait sans voix. Elle venait de rĂ©aliser que son petit frĂšre n’Ă©tait peut-ĂȘtre pas un ange, mais qu’il avait toute la chance du monde. Le voisin, qui avait Ă©tĂ© rĂ©veillĂ© par le bruit, appela la maman de LĂ©a pour lui expliquer ce qui s’Ă©tait passĂ©. Bien sĂ»r, la maman ne put s’empĂȘcher de rire de la situation rocambolesque. Depuis ce jour, LĂ©a ne doute plus de la nature de son petit frĂšre. Elle a appris que mĂȘme s’il n’est pas un ange capable de voler, il est quand mĂȘme un petit miracle avec sa chance insolente. Et chaque fois qu’elle regarde Lucas rebondir sur le trampoline, elle ne peut s’empĂȘcher de rire en pensant Ă  cette journĂ©e mĂ©morable oĂč elle a essayĂ© de faire voler son petit frĂšre.