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Pourquoi les monstres n’utilisent-ils jamais de rĂ©seaux sociaux ? Parce qu’ils ont peur des trolls !

Titre: Les monstres prĂ©fĂšrent Ă©viter les trolls sur les rĂ©seaux sociaux ! Chers lecteurs, aujourd’hui nous allons plonger dans un monde mystĂ©rieux, oĂč les monstres et les trolls se rencontrent… ou plutĂŽt, s’Ă©vitent habilement sur les rĂ©seaux sociaux ! Si vous vous demandez pourquoi vous n’avez jamais vu le PĂšre NoĂ«l poster un selfie avec le monstre du Loch Ness, la rĂ©ponse est simple : les monstres ont peur des trolls ! Mais pourquoi cette peur ancestrale des trolls ? Est-ce leur apparence dĂ©stabilisante ou leurs commentaires dĂ©sagrĂ©ables qui les effraient tant ? Allons Ă  la rencontre de ces crĂ©atures mythiques pour comprendre leur point de vue. Notre premiĂšre rencontre est avec le Monstre du placard, qui nous confie : « J’ai longtemps hĂ©sitĂ© Ă  crĂ©er un compte Instagram pour partager mes styles vestimentaires effrayants. Mais dĂšs que j’ai postĂ© ma premiĂšre photo, les trolls ont envahi les commentaires en me disant que j’Ă©tais passĂ© de la mode « effroi chic » Ă  « ringard lugubre ». C’est dur Ă  encaisser… » En suivant les traces du Monstre du placard, nous arrivons devant le Moldu Grognon, une crĂ©ature poilue, moitiĂ© homme moitiĂ© troll. Il nous raconte son expĂ©rience avec les rĂ©seaux sociaux : « Les monstres ont cette image effrayante qu’ils essaient de prĂ©server depuis des siĂšcles. Mais les trolls sont lĂ  pour ridiculiser nos poils Ă©bouriffĂ©s, nos verrues et mĂȘme notre haleine fĂ©tide. Je prĂ©fĂšre encore Ă©viter d’y aller et prendre mon mal en patience. » La Bloutte, un monstre abominable Ă  quelques poils prĂšs, intervient dans la conversation : « L’une des raisons pour lesquelles les monstres fuient les rĂ©seaux sociaux est parce que nous ne voulons pas ĂȘtre confondus avec ces trolls. Ce n’est pas parce que nous prĂŽnons le chaos et la terreur que nous apprĂ©cions les commentaires blessants. Nous avons des standards, vous savez ? » AprĂšs avoir recueilli ces tĂ©moignages touchants, nous dĂ©cidons de plonger encore plus profondĂ©ment dans le monde des trolls pour comprendre leur fascination pour les monstres. Malheureusement, le seul troll que nous avons rĂ©ussi Ă  trouver Ă©tait cachĂ© sous le pont des Lutins Rieurs et semblait plus intĂ©ressĂ© par nos chaussures que par notre enquĂȘte. Les monstres et les trolls, deux espĂšces bien diffĂ©rentes, continuent donc de se tenir Ă  distance sur les rĂ©seaux sociaux. Entre la vanitĂ© exacerbĂ©e des monstres et la jovialitĂ© sans limites des trolls, il semble impossible de trouver un terrain d’entente. Alors la prochaine fois que vous ĂȘtes sur vos rĂ©seaux sociaux, mes chers lecteurs, pensez aux monstres qui travaillent dur pour maintenir notre peur ancestrale. Et laissons les trolls dans leur coin, Ă  poster des commentaires piquants sans rĂ©flĂ©chir. Une chose est certaine : les monstres prĂ©fĂšrent certainement les cris horrifiĂ©s Ă  leurs notifications Facebook ! Note de l’auteur : Bien sĂ»r, cette histoire est purement fictive et ne reflĂšte pas la rĂ©alitĂ© des monstres et des trolls (qui, rappelons-le, n’existent pas). Cet article est avant tout une blague et doit ĂȘtre pris avec humour et lĂ©gĂšretĂ©.

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Un cheval dit Ă  un zĂšbre : Yo mon pote, pourquoi tu es en prison ?

Jean : Hey Luc, j’ai une blague Ă  te raconter ! Un cheval dit Ă  un zĂšbre : Yo mon pote, pourquoi tu es en prison ? Luc : Ahaha ! Je ne sais pas, Jean, pourquoi est-ce qu’il est en prison ? Jean : Parce qu’il est accusĂ© de vols Ă  rayures armĂ©es ! Ahaha ! Luc : Hahaha ! C’est vraiment drĂŽle ! Mais attends, pourquoi un zĂšbre volerait-il quoi que ce soit ? Jean : Eh bien, tu sais, les zĂšbres sont toujours en train de se faire remarquer avec leurs rayures tape-Ă -l’Ɠil. Alors peut-ĂȘtre que notre zĂšbre voulait juste montrer que ses rayures Ă©taient belles et uniques ! Luc : Hahaha ! Mais ça ne changera rien au fait qu’il est en prison maintenant ! Imagine s’il essayait de s’Ă©chapper avec toutes ses rayures, les gardiens le repĂ©reraient en un rien de temps ! Jean : Hahaha ! Tu as raison, Luc ! Les rayures du zĂšbre ne sont peut-ĂȘtre pas un super avantage quand il s’agit de se cacher ! Mais au moins, il se dĂ©marque dans la foule ! Luc : Oui, c’est sĂ»r ! Et puis, s’il s’ennuie en prison, il pourra toujours jouer aux Ă©checs avec les autres dĂ©tenus. Ils pourront facilement repĂ©rer sa piĂšce, mĂȘme en plein milieu de la nuit ! Jean : Hahaha ! C’est vrai ! On raconte mĂȘme qu’il est le champion incontestĂ© des Ă©checs en prison grĂące Ă  ses rayures distinctives ! Personne ne peut le battre ! Luc : Hahaha ! Le pauvre zĂšbre, emprisonnĂ© Ă  cause de ses rayures, mais en mĂȘme temps, il en tire le meilleur parti ! Jean : Ahaha ! C’est ça qui est gĂ©nial avec les blagues, Luc, on peut inventer n’importe quoi et s’amuser de l’absurditĂ© de la situation ! Vive l’imagination ! Luc : Absolument, Jean ! Et vive les conversations hilarantes entre amis !

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Qu’est-ce qui est jaune et qui va trĂšs vite ? Un citron pressĂ© !

Il Ă©tait une fois, dans une petite ville ensoleillĂ©e, vivait un citron pressĂ© du nom de Limon. Avec sa robe jaune Ă©clatante et son visage toujours amical, Limon Ă©tait l’un des citrons les plus apprĂ©ciĂ©s de la rĂ©gion. Un jour, alors qu’il se promenait dans le marchĂ© local, un groupe d’amis dĂ©cida de lui jouer un tour. Ils rangĂšrent Limon dans un petit sac et se mirent Ă  courir Ă  toutes jambes. Dans le sac, Limon commençait Ă  se sentir secouĂ© et totalement dĂ©sorientĂ©. Il essaya d’appeler Ă  l’aide, mais tout ce qui sortait de sa bouche Ă©tait un petit « squiiiiz ». Les amis se dĂ©pĂȘchĂšrent de rejoindre leur ami LĂ©o, un coureur passionnĂ©. « HĂ© LĂ©o, devine ce que nous avons ici ! Un citron pressĂ© qui pense qu’il peut te battre dans une course ! » criĂšrent-ils en libĂ©rant Limon de son confinement. LĂ©o n’en revenait pas. Il ne pouvait s’empĂȘcher de rire en regardant le pauvre Limon tout Ă©tourdi. « Alors, comme ça, tu penses que tu peux rivaliser avec moi, le lĂ©gendaire LĂ©o, en termes de vitesse ? » dit-il en se retenant de rire. Limon, rĂ©alisant qu’il avait Ă©tĂ© pris dans une blague, dĂ©cida de relever le dĂ©fi moins par vanitĂ© que par fiertĂ©. « Je suis un citron pressĂ©, mais ne vous mĂ©prenez pas, je suis rapide comme l’Ă©clair ! » rĂ©pliqua-t-il avec dĂ©termination. La foule commença Ă  s’amasser autour d’eux, excitĂ©e par ce curieux duel. LĂ©o et Limon se placĂšrent sur la ligne de dĂ©part, prĂȘts Ă  en dĂ©coudre. Un coup de sifflet retentit, et c’Ă©tait parti ! LĂ©o, avec ses muscles puissants, partit comme une flĂšche, laissant Limon loin derriĂšre lui. Mais Ă  la surprise gĂ©nĂ©rale, Limon se mit Ă  rouler Ă  une vitesse incroyable, rattrapant petit Ă  petit son adversaire. Le public Ă©tait Ă©bahi. Ils n’avaient jamais vu un citron se dĂ©placer aussi vite. Les enfants riaient et les adultes applaudissaient en encourageant Limon. Pendant ce temps, LĂ©o commençait Ă  sentir la fatigue. Ses jambes le portaient de plus en plus lourdement, tandis que Limon, grĂące Ă  sa forme ronde, roulait sans aucun effort. De plus, chaque rebond de Limon sur le sol l’envoyait encore plus loin et plus vite. Le visage de LĂ©o Ă©tait rouge de l’effort tandis que celui de Limon affichait un sourire radieux. Limon avait dĂ©sormais pris de l’avance sur LĂ©o, et il ne restait plus que quelques mĂštres avant la ligne d’arrivĂ©e. Finalement, Limon franchit la ligne en premier, sous les applaudissements et les cris de joie de la foule. LĂ©o, Ă©puisĂ©, s’effondra sur le sol juste aprĂšs avoir franchi la ligne d’arrivĂ©e. Les amis qui avaient organisĂ© la blague Ă©taient stupĂ©faits. Limon se dirigea vers LĂ©o et lui tendit une main amicale. « C’Ă©tait une belle course, LĂ©o. Merci de m’avoir donnĂ© l’occasion de montrer ce dont je suis capable. » LĂ©o, encore essoufflĂ©, sourit et serra la main de Limon. « Tu m’as bien eu, Limon. J’admets que je te sous-estimais. » La foule se dispersa peu Ă  peu, laissant LĂ©o et Limon discuter de leur aventure. Ils rĂ©alisĂšrent qu’ils avaient beaucoup en commun et devinrent de bons amis. DĂšs lors, Limon n’Ă©tait plus seulement le citron pressĂ© de la ville, mais aussi le citron le plus rapide. Et chaque fois qu’il passait Ă  cĂŽtĂ© de ses amis qui lui avaient jouĂ© le tour, il leur lançait un clin d’Ɠil et un grand sourire, leur rappelant qu’il ne faut jamais sous-estimer un citron pressĂ©.