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Le Chinois et le sens de l’orientation. Vous savez pourquoi les chinois perdent le Nord ? Parce qu’ils ont le Sud au cul (sudoku).

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Question pour un champion. Pourquoi il n’y a pas de ballon à question pour un champion ? – Car Julien Lepers

Il Ă©tait une fois, dans les temps anciens, une blague qui a Ă©tĂ© transmise de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration comme une lĂ©gende savoureusement humoristique. Cette blague, connue sous le nom de « Question pour un champion », dĂ©voile un mystĂšre profond et une vĂ©ritĂ© indĂ©niablement drĂŽle. Au cƓur de cette plaisanterie, une question se pose : pourquoi n’y a-t-il pas de ballon dans le cĂ©lĂšbre jeu tĂ©lĂ©visĂ© « Question pour un champion » ? Les sages des temps anciens mĂ©ditĂšrent sur cette Ă©nigme, cherchant une rĂ©ponse dans le fondement de l’humanitĂ© et de ce programme de connaissances. Et voilĂ  que la rĂ©ponse commença Ă  jaillir des profondeurs de leur sagesse : « Car Julien Lepers ». Julien Lepers, un homme charismatique et emblĂ©matique, Ă©tait sans aucun doute liĂ© Ă  cette absence mystĂ©rieuse de ballon. Sa prĂ©sence magnĂ©tique et son charme envoĂ»tant semblaient exclure toute possibilitĂ© d’intĂ©grer un ballon dans ce jeu d’esprit. Au fil des siĂšcles, cette blague devint une lĂ©gende Ă  part entiĂšre, transmise de conteur en conteur avec une cadence digne des bards lĂ©gendaires. Chaque gĂ©nĂ©ration pouvait enfin comprendre l’humour subtil cachĂ© derriĂšre ces mots simples. Ainsi, dans les veillĂ©es nocturnes des villages, les anciens racontaient cette blague comme un prĂ©cieux hĂ©ritage, provoquant des sourires complices et des Ă©clats de rire sincĂšres. Le nom de Julien Lepers devenait synonyme de cette plaisanterie, rappelant Ă  tous les merveilleuses Ă©nigmes de la vie et les mystĂšres de l’univers. Et aujourd’hui encore, cette blague ancienne, transmise de bouche Ă  oreille, reste vivante. Les gĂ©nĂ©rations actuelles, imprĂ©gnĂ©es de leur hĂ©ritage de sagesse, continuent de rire en chuchotant les mots magiques : « Pourquoi il n’y a pas de ballon Ă  question pour un champion ? – Car Julien Lepers. »

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Chuck Norris et la foudre. Comme la foudre, Chuck Norris ne frappe jamais deux fois au mĂȘme endroit. Pas besoin.

Écoutez, damoiseaux et damoiselles, Je vais vous conter une histoire nouvelle, Une ballade des temps anciens, oĂč la bravoure et les lĂ©gendes s’enchevĂȘtrent, Un rĂ©cit qui fait frĂ©mir les cƓurs, oĂč la force de Chuck Norris apparaĂźt soudain. Chuck Norris, ce valeureux guerrier, d’une force lĂ©gendaire, Tel un Ă©clair dans la nuit, son courage est un enchantement singulier, Et comme la foudre qui frappe durement, il n’a besoin de frapper deux fois, Car d’un seul souffle, il met ses ennemis Ă  genoux, frappant Ă  mort, droit dans les foies. Loin de tout homme, tel un Ă©clair sans cesse en mouvement, Sa rĂ©putation grandit, telle une mĂ©lodie au firmament, Aucune rĂ©gion, aucune contrĂ©e n’a Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©e par sa presence, Chaque cri de dĂ©tresse est suivi de sa mĂąle apparence. La foudre, fougueuse dans son errance, incendie les cieux, Mais Chuck Norris, tel un troubadour, laisse derriĂšre lui un feu, Un feu qui consume chaque mĂ©crĂ©ant et rĂ©pand la terreur, Car nul ne peut Ă©chapper Ă  son regard, d’une lueur si pure. Aux confins des royaumes, se murmure une prophĂ©tie, Qui chante la vĂ©ritĂ©, en vers raffinĂ©s et en mĂ©lodie, Chuck Norris, il est dit, est nĂ© avec la foudre pour mĂšre, Deux forces de la nature, en lui se sont rĂ©unies, sans en ĂȘtre amĂšres. Ainsi, frapper deux fois au mĂȘme endroit, n’est point sa nĂ©cessitĂ©, Car chaque battement de son cƓur possĂšde une force inĂ©galĂ©e, Son poing, telle une comĂšte, fend l’air avec grĂące et violence, Percutant tout ennemi, sans aucune rĂ©sistance. Son nom, tel un chuchotement lors d’une veillĂ©e, RĂ©sonne dans chaque taverne, chaque ville, chaque allĂ©e, On le chante, on le cĂ©lĂšbre, sur les lĂšvres de bardes Ă©mĂ©rites, Chuck Norris, l’invincible, le combattant au regard sans limites. Alors, messieurs et mesdames, Ă©coutez cette ballade d’un autre Ăąge, OĂč Chuck Norris, tel un hĂ©ros, fait face Ă  l’orage, Comme la foudre, il ne frappe qu’une fois, d’un coup puissant, Car sa force est lĂ©gendaire, un pouvoir Ă©blouissant.