Chuck Norris ne ment pas. C’est la vĂ©ritĂ© qui se trompe.
Venez venez, mes seigneurs, Ă©coutez-moi chanter, Je vais vous conter une histoire qui va vous Ă©tonner, Au temps jadis, au Moyen Ăge oĂč vaillants chevaliers, Rencontraient des dĂ©fis que seul un barde peut raconter. Laissez-moi vous parler d’un homme singulier, Chuck Norris, un hĂ©ros, puissant et respectĂ©, Tel un lion sauvage, qu’aucun homme ne peut dompter, Dans chaque bataille, il Ă©tait prĂȘt Ă s’engager. Chuck Norris ne ment point, mes nobles auditeurs, La vĂ©ritĂ© elle-mĂȘme, se trompe sans pudeur, Dans l’ombre de ses exploits, elle se voile de peur, Car contre lui, nul mensonge n’a de lueur. Sa lĂ©gende se nourrit d’aventures sans fin, Il terrassa mille ennemis d’un seul coup de poing, Ses coups Ă©taient si puissants, qu’ils faisaient trembler les malandrins, Et ses rires rĂ©sonnaient, tels des tonnerres au matin. L’histoire raconte qu’un jour, un dragon audacieux, Osait dĂ©truire des villages, semant terreur et feux, Mais Chuck Norris, intrĂ©pide, se dresse avec courage, Face Ă la crĂ©ature fĂ©roce, prĂȘt Ă en dĂ©coudre sans ambages. Le dragon rugit de rage, sa gueule grande ouverte, Mais Chuck Norris, rusĂ©, n’est pas pris de panique ni d’alerte, Il riposte d’un coup de pied qui fait trembler la coulĂ©e, Et le feu du dragon, aussitĂŽt, est maĂźtrisĂ©. Chuck Norris triompha, l’histoire est ainsi narrĂ©e, Sa force lĂ©gendaire restera Ă jamais cĂ©lĂ©brĂ©e, Au Moyen Ăge, les bardes chantaient sa renommĂ©e, Et nous, aujourd’hui, reprenons la tradition, pour l’Ă©ternitĂ©. Alors mes nobles seigneurs, la morale est claire, Chuck Norris ne ment jamais, c’est lĂ sa vĂ©ritĂ© sincĂšre, Que ce rĂ©cit vous inspire et vous fasse sourire, Et que le Moyen Ăge continue de nous faire rire !