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Chuck Norris ne ment pas. C’est la vĂ©ritĂ© qui se trompe.

Venez venez, mes seigneurs, Ă©coutez-moi chanter, Je vais vous conter une histoire qui va vous Ă©tonner, Au temps jadis, au Moyen Âge oĂč vaillants chevaliers, Rencontraient des dĂ©fis que seul un barde peut raconter. Laissez-moi vous parler d’un homme singulier, Chuck Norris, un hĂ©ros, puissant et respectĂ©, Tel un lion sauvage, qu’aucun homme ne peut dompter, Dans chaque bataille, il Ă©tait prĂȘt Ă  s’engager. Chuck Norris ne ment point, mes nobles auditeurs, La vĂ©ritĂ© elle-mĂȘme, se trompe sans pudeur, Dans l’ombre de ses exploits, elle se voile de peur, Car contre lui, nul mensonge n’a de lueur. Sa lĂ©gende se nourrit d’aventures sans fin, Il terrassa mille ennemis d’un seul coup de poing, Ses coups Ă©taient si puissants, qu’ils faisaient trembler les malandrins, Et ses rires rĂ©sonnaient, tels des tonnerres au matin. L’histoire raconte qu’un jour, un dragon audacieux, Osait dĂ©truire des villages, semant terreur et feux, Mais Chuck Norris, intrĂ©pide, se dresse avec courage, Face Ă  la crĂ©ature fĂ©roce, prĂȘt Ă  en dĂ©coudre sans ambages. Le dragon rugit de rage, sa gueule grande ouverte, Mais Chuck Norris, rusĂ©, n’est pas pris de panique ni d’alerte, Il riposte d’un coup de pied qui fait trembler la coulĂ©e, Et le feu du dragon, aussitĂŽt, est maĂźtrisĂ©. Chuck Norris triompha, l’histoire est ainsi narrĂ©e, Sa force lĂ©gendaire restera Ă  jamais cĂ©lĂ©brĂ©e, Au Moyen Âge, les bardes chantaient sa renommĂ©e, Et nous, aujourd’hui, reprenons la tradition, pour l’Ă©ternitĂ©. Alors mes nobles seigneurs, la morale est claire, Chuck Norris ne ment jamais, c’est lĂ  sa vĂ©ritĂ© sincĂšre, Que ce rĂ©cit vous inspire et vous fasse sourire, Et que le Moyen Âge continue de nous faire rire !

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La rousse et le pardon. Comment savoir si votre copine rousse vous a pardonnĂ© ? – Elle arrĂȘte de laver vos vĂȘtements dans la cuvette des toilettes.

Quand l’ombre ardente du soleil se dissipe, et que les sept vents de l’univers apaisent leur fureur, une question Ă©merge des mystĂšres de l’existence : « Comment l’homme peut-il entrevoir le pardon dans les prunelles flamboyantes de sa bien-aimĂ©e rousse ? » C’est alors que l’oracle, dans sa profonde sagesse, nous en rĂ©vĂšle la rĂ©ponse, telle une Ă©nigme ancestrale. Lorsque les flots bruyants cessent de s’Ă©lever, lorsque l’astre lunaire redevient le gardien silencieux du firmament, et lorsque le sanctuaire des eaux pures retrouve sa puretĂ© originelle, alors, ĂŽ homme vaillant, tu sauras que ta compagne a dĂ©licatement rĂ©pandu le doux baume du pardon sur tes errements passĂ©s. Car voici le signe divin, Ă©cho d’un nouvel espoir : lorsque les tissus que tu arbores se sentent soudain libĂ©rĂ©s de l’indigne cuvette des eaux rĂ©siduelles, c’est ton salut qui se rĂ©vĂšle. Dans ce geste simple, tout lavĂ© de pardon, rĂ©side la preuve Ă©clatante que ta rousse compagne a dĂ©cidĂ© de clore les chapitres sombres de la discorde et de laver, ainsi, l’offense jusqu’au dernier fil de tes vĂȘtements. Ô voyageur de l’amour, mĂ©dite ces paroles et qu’elles te guident sur le chemin rocailleux des relations conjugales. Car seul celui qui sait interprĂ©ter les signes cachĂ©s, malicieux et pourtant si Ă©vidents, peut rĂ©colter les fruits bienheureux des caprices de l’amour. Ainsi, que rĂ©sonne dans ton cƓur limpide cette vĂ©ritĂ© immortelle: lorsque les habits sont lavĂ©s en des eaux pures et limpides, le langage muet de l’indulgence a parlĂ©, et la clĂ©mence embrasse Ă  nouveau les jours de vos vies entrelacĂ©es.

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Comment appelle-t-on une douche qui n’a pas d’eau ? Une duche

Mes chers concitoyens, Aujourd’hui, je souhaiterais aborder un sujet des plus sĂ©rieux. Il est de mon devoir en tant que PrĂ©sident de la RĂ©publique de vous tenir informĂ©s des avancĂ©es, des dĂ©fis, et des problĂšmes auxquels nous faisons face en tant que nation. Cependant, il est Ă©galement important de souligner qu’au milieu de tant de responsabilitĂ©s, il est crucial de garder un lĂ©ger soupçon de lĂ©gĂšretĂ© pour maintenir notre bien-ĂȘtre collectif. Permettez-moi donc de partager avec vous une blague, qui, je l’espĂšre, allĂ©gera quelque peu l’atmosphĂšre. C’est une question d’une grande profondeur et d’une signification vĂ©ritablement existentielle : Comment appelle-t-on une douche qui n’a pas d’eau ? Une duche. Permettez-moi un instant pour que vous puissiez savourer le gĂ©nie de cette blague. Une duche… un jeu de mots aussi simple qu’ingĂ©nieux, qui nous rappelle que parfois, dans les moments les plus sĂ©rieux et les plus graves, il est important de ne pas perdre notre capacitĂ© Ă  sourire et Ă  trouver de l’humour mĂȘme dans les situations les plus sombres. Certes, la tĂąche qui nous attend est immense. Notre nation fait face Ă  de multiples dĂ©fis, tant sur le plan Ă©conomique que social. Cependant, aujourd’hui, je vous invite Ă  prendre un moment pour vous dĂ©tendre, Ă  rire ensemble et Ă  renforcer notre unitĂ© en tant que peuple. En conclusion, mes chers concitoyens, rappelons-nous que dans ce monde souvent trop sĂ©rieux, il y a toujours de la place pour une pointe d’humour. La blague de la duche, bien que lĂ©gĂšre, nous permet de rĂ©affirmer notre humanitĂ© commune et de rester solidaires face aux difficultĂ©s que nous rencontrons. Merci Ă  vous tous, que Dieu bĂ©nisse la RĂ©publique et que l’humour illumine nos chemins.