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Tu connais la blague du con qui dit non. – Tu connais la blague du con qui dit non ? – Non
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Mes chers concitoyens, Aujourd’hui, je souhaite aborder un sujet d’une importance capitale pour l’avenir de notre nation. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, permettez-moi de vous partager une anecdote qui, bien qu’elle puisse sembler lĂ©gĂšre, illustre parfaitement la notion d’opposition aveugle qui peut parfois rĂ©gner dans notre sociĂ©tĂ©. Connaissez-vous l’histoire du con qui dit non ? Oui, cette blague qui met en scĂšne un individu aussi tĂȘtu qu’infatigable dans sa nĂ©gation systĂ©matique. « Tu connais la blague du con qui dit non ? » demande-t-on Ă  cet interlocuteur intransigeant. Et sa rĂ©ponse Ă©vidente, celle qui est attendue de lui, est un franc « Non… » Vous voyez, mes chers concitoyens, cette petite blague cache derriĂšre elle une vĂ©ritĂ© incontournable : celle de l’obstination irrationnelle de certains individus Ă  refuser toute forme de proposition ou d’idĂ©e, simplement pour le plaisir de dire « non ». Pourtant, parfois, il est essentiel de se remettre en question, d’Ă©couter les arguments qui nous sont prĂ©sentĂ©s, et de faire preuve de flexibilitĂ© dans nos rĂ©flexions. Car c’est prĂ©cisĂ©ment ainsi que nous progressons en tant que sociĂ©tĂ©, en tant que peuple uni et solidaire. Alors, mes chers concitoyens, faisons en sorte de ne pas ĂȘtre ces « cons » qui disent « non » systĂ©matiquement. Soyons ouverts au dialogue, Ă  la comprĂ©hension mutuelle, et Ă  la recherche de solutions communes pour le bien de tous. Je vous remercie.

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Qu’est-ce qui fait nioc nioc ? Un canard qui essaye de parler le verlan.

Par les langues enchantĂ©es et les Ă©chos mystiques, qu’apparaisse le sortilĂšge : « Par le pouvoir mystique des mots tissĂ©s en fil d’argent, je invoque l’esprit farceur du grand Canard Quacius, qui se pĂąme d’humour tordu. Ses plumes diaphanes, vibrantes de magie, s’animent et lui confĂšrent l’audace de manier le verlan. DĂšs lors, Quacius, plongĂ© dans son Ă©lĂ©ment aqueux, exhibe son talent avec un crissement de voix dĂ©concertant. Le nioc nioc bourdonne comme le tonnerre, tandis que la langue familiĂšre se tourne et se retourne, se noue et se dĂ©noue sous le commandement de cet Ă©trange volatile… Mais sous les auspices lunaires de la facĂ©tie, une abomination se produit : une rafale de vent frĂ©tille, happant les mots dĂ©tournĂ©s dans son gouffre ensorceleur. Un tumulte ensorcelant permet aux canards du monde entier de babiller dans les profondeurs de l’argot renversĂ©. Oh, quel chaos linguistique se rĂ©pand par les mers et les riviĂšres, les marais et les Ă©tangs ! Les plumages prĂ©maturĂ©ment vĂȘtus de patois inversĂ© ouvrent la voie Ă  un joyeux brouhaha, affligeant les humains qui se demandent comment traduire cet Ă©trange langage. Alors, prenez garde, aventuriers intrĂ©pides, lorsque vous croiserez un canard insolite au coin d’un sentier enchantĂ©. Car il est fort probable qu’au lieu de la douce symphonie cacardante, vous soyez tĂ©moin d’une cacophonie verlanisĂ©e, dĂ©fiant l’oreille et Ă©branlant l’esprit. Ainsi soit-il, le sortilĂšge est jetĂ© ! »

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Quel est le point commun entre un mauvais musicien et un cancre ? Les deux ont de mauvaises notes.

Écoutez, noble auditoire, je vais vous conter, Une lĂ©gende mĂ©diĂ©vale, Ă  prĂ©sent commencĂ©e, Dans un temps oĂč les bardes faisaient vibrer les cƓurs, Avec rimes et rythmes, dans les plus beaux labeurs. Il Ă©tait une fois, dans une contrĂ©e lointaine, Un musicien, si maladroit, que l’on craignait sa peine, Sa voix Ă©tait cacophonique, aucune mĂ©lodie harmonieuse, Les oreilles des gens saignaient, mĂȘme les plus pieux. Ce musicien, hĂ©las, Ă©tait un cancre sans pareil, L’Ă©cole et les Ă©tudes, il les dĂ©testait, c’Ă©tait son orgueil, Aucune matiĂšre ne l’intĂ©ressait, il ne faisait que rĂȘvasser, Les notes n’Ă©taient jamais bonnes, il Ă©tait souvent rĂ©primandĂ©. Un jour, las de sa situation, le musicien dĂ©cida, D’aller voir un sage, connu pour son savoir-prodigieux, Il lui confia sa peine, ses notes si dĂ©sastreuses, Et le sage lui rĂ©pondit, d’une voix calme et sĂ©rieuse : « Mon cher ami, je vais vous conter une leçon essentielle, Un point commun se cache entre le cancre et le rebelle, C’est cette triste rĂ©alitĂ© qui vous fait tant souffrir, Les deux ont de mauvaises notes, il faut l’admettre, le dire. Mais n’oubliez pas, cher musicien intrĂ©pide, La musique est un art, oĂč le cƓur peut se confondre, Il vous suffit de chercher, de trouver votre son unique, Et alors, mĂȘmes des notes fausses, pourront devenir magiques. Alors, jouez votre musique avec une passion avĂ©rĂ©e, Cherchez votre mĂ©lodie, l’Ăąme de vos accords enflammĂ©s, Ne laissez pas les mauvaises notes vous Ă©garer, Car votre musique aura une puretĂ©, inĂ©galĂ©e. Ainsi, que rĂ©sonnent vos chansons dans ce monde enchantĂ©, Que les mĂ©lodies s’Ă©lĂšvent, pour tous, en beautĂ©, Car un mauvais musicien, comme un cancre Ă©garĂ©, Peuvent trouver leur voie et grandir en humanitĂ©. » Et voilĂ , noble auditoire, la leçon que j’ai Ă  vous transmettre, N’abandonnez jamais, mĂȘme lorsque tout semble ĂȘtre Ă  reprendre, La musique, les savoirs, sont des trĂ©sors prĂ©cieux, À chacun de nous de les nourrir, de les rendre valeureux.