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Comment reconnaĂźtre une blonde dans un aĂ©roport ? C’est la seule qui lance du pain aux avions.

Extrait du manuel d’utilisation du Robot de ComprĂ©hension de l’Humour Humain : Section : ComprĂ©hension des Blagues BasĂ©es sur les StĂ©rĂ©otypes FonctionnalitĂ© : Identification de blagues sur les blondes Introduction : Le Robot de ComprĂ©hension de l’Humour Humain a Ă©tĂ© spĂ©cialement conçu pour aider les utilisateurs Ă  comprendre et apprĂ©cier l’humour basĂ© sur divers stĂ©rĂ©otypes, y compris les blagues sur les blondes. Dans cette section, nous explorons une blague stĂ©rĂ©otypĂ©e populaire pour illustrer comment le robot identifie et comprend ce type d’humour. Blague (Titre) : Comment reconnaĂźtre une blonde dans un aĂ©roport ? Description : La blague « Comment reconnaĂźtre une blonde dans un aĂ©roport ? C’est la seule qui lance du pain aux avions » repose sur le stĂ©rĂ©otype humoristique associĂ© aux personnes blonde ayant une pensĂ©e naĂŻve ou dĂ©concertante. Analyse et ComprĂ©hension : Cette blague utilise une situation absurde pour jouer sur les prĂ©jugĂ©s liĂ©s aux personnes blondes. L’image d’une blonde lançant du pain aux avions souligne ironiquement une prĂ©tendue confusion ou incomprĂ©hension de la rĂ©alitĂ©. Le robot, en s’appuyant sur ses capacitĂ©s de comprĂ©hension humoristique, identifie cette blague comme une illustration du stĂ©rĂ©otype des blondes, visant Ă  susciter le rire par l’exagĂ©ration de caractĂ©ristiques spĂ©cifiques. Recommandation d’utilisation : Cette blague, comme toute blague basĂ©e sur des stĂ©rĂ©otypes, doit ĂȘtre utilisĂ©e avec prudence et respect. Le Robot de ComprĂ©hension de l’Humour Humain recommande d’Ă©viter de partager ce type de blague dans un contexte oĂč cela pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme offensant ou inappropriĂ©. Il est essentiel de considĂ©rer les sentiments et les sensibilitĂ©s d’autrui lorsqu’on utilise l’humour basĂ© sur des stĂ©rĂ©otypes, et d’adapter son usage en consĂ©quence.

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Pour un cannibale, une femme enceinte, c’est quoi ? Un Kinder Surprise.

Il Ă©tait une fois, dans un petit village nommĂ© Sourisville, vivait un cannibale particuliĂšrement dĂ©jantĂ© du nom de Gaston. Gaston Ă©tait connu pour son sens de l’humour tordu et son appĂ©tit insatiable. Bien qu’il se nourrisse principalement de viande humaine, il Ă©tait Ă©galement espiĂšgle et aimait semer la confusion chez les villageois. Un jour, alors que Gaston flĂąnait prĂšs de la boulangerie du village, il aperçut une femme enceinte qui marchait lentement. Une idĂ©e farfelue lui vint alors en tĂȘte. Il se dit : « Pourquoi ne pas faire une blague sur les femmes enceintes ? » Le lendemain matin, Gaston se transforma en boucher ambulant et se posta prĂšs de l’entrĂ©e du marchĂ©. Sur son Ă©tal, il dĂ©posa un panier rempli de Kinder Surprise, ces dĂ©licieuses friandises chocolatĂ©es avec une surprise cachĂ©e Ă  l’intĂ©rieur. IntriguĂ©s par cette nouveautĂ©, les habitants du village commencĂšrent Ă  s’approcher du panier de Gaston. Une jeune femme enceinte s’arrĂȘta devant lui et demanda : « Excusez-moi, qu’est-ce que c’est ? » Gaston, dĂ©guisĂ© en boucher avec un grand sourire narquois, rĂ©pondit joyeusement : « Pour un cannibale, ma chĂšre, une femme enceinte, c’est quoi ? Un Kinder Surprise ! » La femme Ă©clata de rire, suivie de tous les villageois qui avaient entendu la blague. MĂȘme les personnes les plus sĂ©rieuses se mirent Ă  sourire devant cette Ă©trangetĂ©. Cependant, un vieux sage du village nommĂ© Maurice, qui avait un sens de l’humour un peu douteux, eut une idĂ©e encore plus farfelue. Il dĂ©cida de jouer un tour au cannibale farceur. Le lendemain, Gaston alla chercher son panier rempli de Kinder Surprise pour continuer sa plaisanterie. Mais lorsqu’il ouvrit son Ă©tal, il dĂ©couvrit que les friandises avaient mystĂ©rieusement disparu. Perplexe, Gaston commença Ă  se demander ce qui s’Ă©tait passĂ©. Et lorsqu’il leva les yeux, il vit le vieux sage Maurice, avec un grand sourire, tenant fiĂšrement une cigogne en peluche dans ses mains. Gaston Ă©clata de rire devant cette scĂšne ridicule. Il rĂ©alisa que les « Kinder Surprise » Ă©taient devenus de vrais « Kinder Surprise » grĂące Ă  l’intervention du sage du village. DĂšs lors, Gaston comprit que le vĂ©ritable plaisir se trouvait dans la blague elle-mĂȘme, et non dans son contenu. Il dĂ©cida donc de mettre un terme Ă  ses envies cannibales et de consacrer sa vie Ă  semer la joie et l’amusement dans le village de Sourisville. Ainsi, Gaston, le cannibale farceur, devint le clown prĂ©fĂ©rĂ© des habitants. Il animait des spectacles de cirque, faisait des tours de magie et inventait des blagues toujours plus loufoques. Et le village de Sourisville devint un vĂ©ritable havre de rires, de sourires et de plaisanteries, grĂące Ă  un cannibale qui avait trouvĂ© plus de plaisir Ă  faire rire les autres qu’Ă  les dĂ©vorer. Et ils vĂ©curent tous joyeusement, en se disant que parfois, mĂȘme les situations les plus Ă©tranges et les plus effrayantes pouvaient se transformer en quelque chose de merveilleux. FIN.

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Quelle est la blague Ă  deux balles ? Pan Pan !

Laissez-moi vous conter une fable, Qui aurait fait rire les tables, Au temps lointain du Moyen Âge, Dans un vieux village, sur la page. Un barde, vĂȘtu de sa cape, Arriva alors, sans aucune tape, Devant une foule assemblĂ©e, PrĂȘt Ă  les divertir, les charmer. Il se mit Ă  chanter doucement, Accompagnant sa voix de son luth brillant, Tous les yeux rivĂ©s sur sa prestance, Attendant la blague en toute impatience. « Quelle est la blague, oyez, mes amis, Qui demande deux balles pour s’Ă©panouir ? » Les regards curieux cherchaient un indice, La rĂ©ponse se trouvait dans leurs yeux fixĂ©s. Le barde, malicieux, fit un bond, Et d’un geste vif, il dĂ©gaina deux ronds, Tout en les lançant en l’air d’un coup sec, Et s’exclama, rieur, « Pan Pan ! » en reflex. Les Ă©clats de rire envahirent les alentours, Au son des mĂ©lodies et des tambours, Le barde avait rĂ©ussi sa mission, En offrant Ă  tous cette joyeuse dĂ©rision. Ainsi fut contĂ©e cette blague ancestrale, Qui rĂ©sonna dans les cƓurs des mĂ©diĂ©vaux, Le temps d’un instant, le monde s’Ă©gaya, GrĂące Ă  ce barde et son jeu de mots Ă  deux balles.