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L’agent RATP et le temps de travail. Comment appelle-t-on un agent RATP qui travaille 1/2 heure par jour ? Un hyperactif.

Extrait du manuel d’utilisation du robot rieur « CompreHUMOR » : Section 4.1 : Blagues sur les professions […] Blague 4.1.3 : L’agent RATP et le temps de travail Contexte : Cette blague illustre une situation humoristique liĂ©e aux agents travaillant pour la RĂ©gie Autonome des Transports Parisiens (RATP). Elle met en avant la notion de durĂ©e de travail rĂ©duite et joue sur le contraste entre cette rĂ©alitĂ© et une caractĂ©ristique gĂ©nĂ©rale souvent associĂ©e Ă  l’hyperactivitĂ©. Description : Lors d’une conversation entre un CompreHUMOR et une personne consultant le manuel, la blague suivante peut ĂȘtre utilisĂ©e pour dĂ©tendre l’atmosphĂšre : CompreHUMOR : « Ah, voici une blague amusante sur les agents RATP ! Souvenez-vous, je ne suis pas un ĂȘtre humain et mon analyse repose sur l’humour typiquement humain. Voici donc une blague pour vous divertir : Question : Comment appelle-t-on un agent RATP qui travaille seulement une demi-heure par jour ? RĂ©ponse : Un hyperactif ! » Explications : Cette blague joue sur le stĂ©rĂ©otype humoristique de l’agent de la RATP qui aurait un temps de travail extrĂȘmement rĂ©duit, en le qualifiant ironiquement d’hyperactif. L’humour repose donc sur le contraste entre l’idĂ©e prĂ©conçue d’un agent travaillant plus intensĂ©ment et la rĂ©alitĂ© imaginaire d’un temps de travail minimaliste, soutenant ainsi un effet comique. Recommandations : Lors de l’utilisation de cette blague, il est essentiel de considĂ©rer le contexte et le public concernĂ©. Cette plaisanterie pourrait ĂȘtre plus apprĂ©ciĂ©e par des individus familiers avec la RATP, le milieu des transports ou ayant une vision critique du temps de travail des agents. Toujours garder Ă  l’esprit que l’humour est subjectif et que les rĂ©actions peuvent varier.

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Femme n’arrivant pas Ă  ĂȘtre enceinte en japonais. Comment dit-on « femme n’arrivant pas Ă  ĂȘtre enceinte » en japonais ? – TakĂ©kĂ©taratĂ© TakaratakĂ©.

Dans les contrĂ©es mystiques du Japon, oĂč les esprits virevoltent et les sorts s’entrelacent, une Ă©nigme magique se pose aux aventuriers curieux : « Comment nomme-t-on une femme qui, hĂ©las, ne parvient pas Ă  assumer le prĂ©cieux fardeau de la maternitĂ© ? » Les sages et les sorciers murmurent alors ce sortilĂšge complexe et rĂ©vĂ©lateur, Ă©veillant les forces de la magie ancienne. Ils dĂ©clament Ă  voix basse : « TakĂ©kĂ©taratĂ© TakaratakĂ© ! » Mais, oh, les consĂ©quences imprĂ©gnĂ©es de magie ne tardent pas Ă  se manifester ! Dans un tourbillon d’Ă©nergie enchanteur, la terre tremble, et les cieux s’emplissent de lumiĂšres Ă©blouissantes. Soudainement, la magie s’Ă©veille dans le corps de la femme, changeant son ĂȘtre Ă  jamais. Des cheveux chatoyants commencent Ă  pousser le long de son ventre, verrouillant ainsi la porte sacrĂ©e de l’enfantement. Senbons de couleurs virevoltent autour d’elle, brodant des motifs complexes et brillants, symbolisant la fertilitĂ© dĂ©sormais entravĂ©e. La magie est telle que les Ă©toiles se tracent elles-mĂȘmes et projettent des constellations lumineuses sur sa peau. DĂ©sormais, son corps et son destin sont intimement liĂ©s Ă  ce sort malicieux. À jamais, elle sera connue sous le nom de TakĂ©kĂ©taratĂ© TakaratakĂ©, un nom envoĂ»tant qui portera les stigmates d’une fĂ©conditĂ© Ă  jamais capricieuse. Et ainsi, dans cet univers fantastique, cette lĂ©gende circule parmi les ĂȘtres magiques, avec ses effets mystĂ©rieux et inattendus, rappelant Ă  tous que parfois, mĂȘme les sorts les plus anodins peuvent dĂ©clencher des rĂ©actions enchantĂ©es.

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Coluche – L’horreur. L’horreur est humaine.

Mesdames et messieurs, aujourd’hui je voudrais aborder un sujet d’une gravitĂ© extrĂȘme, une rĂ©alitĂ© qui fait frĂ©mir l’Ăąme et Ă©branle les fondements de notre humanitĂ©. Car, comme le disait si justement le regrettĂ© Coluche, « L’horreur est humaine. » Permettez-moi, un instant, de me dĂ©partir de ma posture prĂ©sidentielle, afin de vous dĂ©livrer un message bien plus lĂ©ger, mais qui, ironiquement, rĂ©vĂšle une vĂ©ritĂ© profonde sur nous, ĂȘtres humains. Comme une lueur d’espoir dans un ocĂ©an de noirceur, une blague de l’inimitable Coluche s’impose. Permettez-moi de vous la prĂ©senter, dans toute sa simplicitĂ© : « Pourquoi les plongeurs plongent-ils toujours en arriĂšre et jamais en avant ? Parce que sinon ils tombent dans le bateau ! » Pardonnez-moi un instant de dĂ©tente dans cette atmosphĂšre sĂ©rieuse. Mais n’est-ce pas lĂ  le reflet mĂȘme de notre condition humaine ? Au-delĂ  de nos peines et de nos tragĂ©dies, il y a la capacitĂ© de rire, de trouver du rĂ©confort dans l’absurditĂ© mĂȘme de notre existence. Alors, mesdames et messieurs, mes concitoyens, retenons cette leçon de Coluche. Rappelons-nous que l’horreur peut ĂȘtre attĂ©nuĂ©e par ces prĂ©cieux moments de lĂ©gĂšretĂ© qui jalonnent notre parcours. Rappelons-nous que la blague, aussi futiles soient-elles, rĂ©vĂšle notre humanitĂ© profonde, cette capacitĂ© Ă  trouver le rire mĂȘme au sein des tĂ©nĂšbres. En ces temps troublĂ©s, ne perdons jamais de vue la valeur de l’humour, de la dĂ©rision et du sarcasme. Car, comme le disait notre cher Coluche, « Un jour j’irai vivre en ThĂ©orie, parce qu’en ThĂ©orie tout se passe bien. » Mesdames et messieurs, je vous remercie de votre attention et espĂšre que cette parenthĂšse lĂ©gĂšre aura su allĂ©ger l’intensitĂ© de notre discours prĂ©sidentiel. L’horreur est humaine, certes, mais la capacitĂ© Ă  rire en est la quintessence.