Animaux

Pourquoi les canards sont-ils toujours Ă  l’heure ? Parce qu’ils sont dans l’Ă©tang.

Au temps jadis, dans les contrĂ©es lointaines, Écoutons, noble assemblĂ©e, ma ballade prochaine, D’un canard taquin, joyeux vagabond, Qu’un barde, en sa sagesse, va vous conter sans façon. Pourquoi, demanderez-vous, les canards, frĂ©tillants, Sont-ils toujours Ă  l’heure, prompts et vaillants ? Simplement, mes bons seigneurs, Ă©coutez-moi bien, C’est parce qu’ils choisissent l’Ă©tang comme un lien. Dans la fraĂźcheur de l’aube, sous le doux firmament, Les canards, en allĂ©gresse, s’amusent gaiement, Dans le miroir azurĂ© d’un lac enchantĂ©, Leur demeure secrĂšte, dont ils sont attitrĂ©s. Quand sonne l’heure tant attendue, sans tarder, Nos canards, sans dĂ©tour, n’ont pas le temps d’observer, Ils s’Ă©lancent, ailes dĂ©ployĂ©es dans les airs, Comme un vol majestueux, semblable Ă  un mystĂšre. Dans l’Ă©tang, ils jaillissent, pleins d’entrain, Telle une horloge, Ă  l’instant, ils sont enfin PrĂ©sents, ponctuels, prĂȘts Ă  saluer le jour, Offrant Ă  tous par leur prĂ©sence, un bel atour. Quelle leçon pouvons-nous tirer de leur empressement ? D’ĂȘtre toujours fidĂšle Ă  son rendez-vous, assurĂ©ment, Comme ces vaillants canards, pleins de discipline, Qui par leur prĂ©sence, enjolivent nos matines. Alors, mes seigneurs, mĂȘlons-nous Ă  leur danse, Soyons Ă  l’heure, avec allĂ©gresse et constance, Car dans l’Ă©tang de la vie, oĂč chacun s’Ă©bat, Les canards nous enseignent l’art d’un temps respectĂ©. À prĂ©sent, ma ballade touche Ă  sa fin, Laissant rĂ©sonner cette morale en festin, Telle est l’histoire des canards ponctuels, Seigneurs, Ă©coutez-la, et soyez toujours fidĂšles.

Devinettes

Pourquoi les toilettes ont une mauvaise vue ? Elle porte toujours une lunette.

Il y a fort longtemps, au cƓur d’un village lointain, existait une blague qui avait Ă©tĂ© transmise de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration. Cette blague Ă©tait considĂ©rĂ©e comme une vĂ©ritable lĂ©gende, racontĂ©e aux enfants au coin du feu et partagĂ©e lors des rassemblements villageois. La lĂ©gende raconte que les toilettes, ces lieux mystĂ©rieux et indispensables Ă  l’hygiĂšne des habitants, Ă©taient dotĂ©es d’une particularitĂ© intrigante. Ces modestes endroits, oĂč l’on se rendait en quĂȘte de soulagement, possĂ©daient une perception visuelle dĂ©faillante. On disait qu’Ă  chaque fois que quelqu’un y entrait, ils n’arrivaient pas Ă  apercevoir clairement les choses qui les entouraient. Mais pourquoi cela Ă©tait-il ainsi ? Les ancĂȘtres racontaient que les toilettes Ă©taient pourvues d’une mystĂ©rieuse entitĂ©, une crĂ©ature invisible, appelĂ©e « La Lunette ». La Lunette Ă©tait dotĂ©e d’une sorte de pouvoir magique qui la rendait capable de flouter la vision de quiconque s’approchait trop prĂšs d’elle. On racontait que la Lunette Ă©tait nĂ©e d’un enchantement trĂšs ancien, tissĂ© par un sorcier bienveillant qui voulait apporter un certain humour dans les moments souvent embarrassants et solitaires passĂ©s aux toilettes. La Lunette Ă©tait dĂ©crite comme une petite entitĂ© espiĂšgle et farceuse, se dĂ©lectant des rĂ©actions amusĂ©es ou embarrassĂ©es de ceux qui se trouvaient face Ă  elle. La lĂ©gende disait que la Lunette portait en permanence une paire de lunettes, forgĂ©es dans les mĂ©andres de l’imagination. Ces lunettes spĂ©ciales, lorsqu’elles Ă©taient portĂ©es par la Lunette, distordaient la rĂ©alitĂ©, brouillant les lignes et les contours de tout ce qui Ă©tait observĂ© autour. Ainsi, quiconque s’asseyait sur le trĂŽne des toilettes Ă©tait immĂ©diatement plongĂ© dans un monde fantasmagorique oĂč la vue devenait floue et dĂ©formĂ©e. Les gens se surprenaient Ă  cligner des yeux, cherchant Ă  comprendre pourquoi ces lieux sacrĂ©s Ă©taient pourvus d’une vision si dĂ©fectueuse. Et donc, au fil du temps, cette curiositĂ© humaine a donnĂ© naissance Ă  une blague ancestrale : « Pourquoi les toilettes ont une mauvaise vue ? Parce qu’elles portent toujours une lunette ! » Ainsi, cette lĂ©gende antique a rĂ©sistĂ© Ă  l’Ă©preuve du temps et continue Ă  ĂȘtre transmise, de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, pour Ă©veiller les sourires et raviver l’humour au sein de la communautĂ©. Une blague teintĂ©e de mystĂšre, qui souligne l’importance de ne jamais trop se fier Ă  ce que nos yeux perçoivent et de profiter des plaisirs simples de la vie, y compris dans les moments les plus intimes.

Gastronomie

Quelle est la sauce préférée de Satan ? La sauce Tartare.

Eva: Hey Peter, j’ai entendu une blague vraiment drĂŽle rĂ©cemment ! Tu veux l’entendre ? Peter: Bien sĂ»r, je suis toujours partant pour une bonne blague. Vas-y, dis-moi tout ! Eva: D’accord, la voici : Quelle est la sauce prĂ©fĂ©rĂ©e de Satan ? Peter: Hmm… Je ne suis pas sĂ»r, quelle est sa sauce prĂ©fĂ©rĂ©e ? Eva: La sauce Tartare ! Peter: Oh, cette blague est vraiment amusante ! J’imagine Satan en train de savourer sa sauce prĂ©fĂ©rĂ©e dans les enfers. Ça me fait bien rire. Eva: C’est tellement rĂ©aliste aussi ! Je veux dire, la sauce Tartare est vraiment dĂ©licieuse, donc ça ne me surprendrait pas que mĂȘme Satan l’apprĂ©cie. Qui sait, peut-ĂȘtre que c’est son secret pour maintenir un feu perpĂ©tuel dans les enfers ? Peter: Haha, tu pourrais avoir raison ! Je me demande maintenant si d’autres crĂ©atures infernales ont aussi des prĂ©fĂ©rences culinaires Ă©tonnantes. Peut-ĂȘtre qu’un jour, nous pourrons faire une blague similaire sur une autre sauce prĂ©fĂ©rĂ©e d’un autre dĂ©mon. Eva: C’est une idĂ©e vraiment amusante ! On devrait y rĂ©flĂ©chir et peut-ĂȘtre mĂȘme crĂ©er notre propre rĂ©pertoire de blagues culinaires diaboliquement dĂ©licieuses. Qui sait, peut-ĂȘtre que nous pourrions mĂȘme faire rire Satan lui-mĂȘme s’il entend nos blagues ! Peter: Haha, ça serait un exploit impressionnant. Mais pour l’instant, je suis content de partager cette blague avec toi. Ça a clairement Ă©gayĂ© ma journĂ©e ! Eva: Pareil pour moi, Peter. On devrait dĂ©finitivement continuer Ă  partager des moments comiques comme celui-ci. Ça rend la vie tellement plus lĂ©gĂšre et agrĂ©able ! Peter: Absolument d’accord avec toi, Eva. Allez, partageons cette blague avec d’autres et rĂ©pandons la bonne humeur autour de nous ! Eva: Tout Ă  fait, Peter. Allons-y !