Citations

Philippe Geluck – Jazz. Ce qui m’intĂ©resse surtout dans le jazz, c’est que c’est un bon mot pour le Scrabble.

Dans l’Ă©cho des temps mĂ©diĂ©vaux, un barde chanta, Un conte teintĂ© d’humour, tel un fin Ă©clat de jazz, Des mots habiles et malins, d’un ton rieur et lĂ©ger, Sur le mot « jazz », un trĂ©sor pour les amateurs du Scrabble. Sur la place du village, les villageois se sont rassemblĂ©s, Pour Ă©couter le rĂ©cit, du barde talentueux et inspirĂ©, Sa voix portait loin, portĂ©e par le vent du soir, Et tous Ă©taient impatients de dĂ©couvrir son histoire. « Oyez, oyez, braves auditeurs, Si j’vous dis qu’le jazz, c’est tout un art majeur, Mais plus qu’ça encore, c’est le mot que nul ne peut ignorer, Au Scrabble, il illumine, il fait le bonheur des joueurs Ă©veillĂ©s. Imaginez le tumulte, dans les chaumiĂšres enchantĂ©es, Des lettres savamment placĂ©es, formant ce mot prĂ©cieux, Des points doux comme des velours, remplissant les cƓurs de joie, Et les joueurs, rĂ©jouis, s’empressent de le dire avec Ă©moi. Le J, le A, le Z, le Z, jouĂ© avec malice, Le barde assurait un score Ă©levĂ©, sans compromis, Et tous les spectateurs, pleins de surprise et d’admiration, Applaudissaient le barde, maĂźtre de cette crĂ©ation. Mais dans cette ballade, un avertissement, je vous fais, Car au Scrabble, mon ami, point de tricherie ni de tracas, Il faut jouer dans les rĂšgles, et cela est essentiel, Pour apprĂ©cier le jazz, sans en faire un vaudeville. Ainsi, au Moyen Âge, les mots s’enchaĂźnaient en harmonie, Et le jazz, ce mot magique, offrait une symphonie, Les rimes et les rythmes se mĂȘlaient, dans un ballet enivrant, Et les villageois repartaient, le cƓur lĂ©ger, le sourire flottant. Alors, mes amis, au grĂ© des temps rĂ©volus, Souvenez-vous du jazz, et de ce mot tant attendu, Plongez dans les mots croisĂ©s, les lettres alignĂ©es avec sagesse, Et que cette ballade, vous inspire de joyeux scrabbles avec adresse ! »

Animaux

Que dit un oignon quand il se cogne ? AĂŻe…

Dans l’antique rĂ©cit des esprits des temps reculĂ©s, rĂ©sonne au-delĂ  des brumes Ă©paisses une Ă©nigme digne des sages d’antan : « Quand le vaillant oignon vient Ă  se heurter au cours de son errance, quelles paroles prononce-t-il en l’Ă©cho du silence ? » Et l’Ă©ventuel auditeur, se tenant face Ă  cette interrogation prodigieuse, frĂ©mit d’une attente mystique. Et de cette caresse des temps anciens, la rĂ©ponse tant attendue s’Ă©veille dans les esprits en des termes simples et Ă©loquent : « AĂŻe… » Murmure infime, rĂ©vĂ©lant la douleur cachĂ©e d’une humble bulbille, plongĂ© dans les tĂ©nĂšbres d’un dĂ©plorable accident. Ainsi donc, ĂŽ vagabond de la sagesse, laisse cette blague s’inscrire en ton cƓur, porteuse de l’humour subtil des Ăąges, afin de cĂ©lĂ©brer les merveilles du rire au milieu des voies de la destinĂ©e, et de recevoir la vĂ©ritĂ© du cri intense qu’un oignon Ă©met quand il se heurte. AĂŻe…

Jeux de mots

Je vais appeler mon enfant Plainte. Au moins, je pourrais porter Plainte.

Il y a fort longtemps, dans un monde oubliĂ©, oĂč les noms avaient une signification bien plus profonde, une blague a Ă©mergĂ©, qui a survĂ©cu Ă  travers les Ăąges. Cette lĂ©gende raconte l’histoire d’un homme, un sage villageois qui rĂȘvait d’un nom original pour son futur enfant. Il pensait que le nom devait reflĂ©ter ses propres souhaits et aspirations. AprĂšs de longues rĂ©flexions, il prit une dĂ©cision audacieuse – il nommerait son enfant Plainte. Alors que le vent soufflait doucement sur les collines environnantes, l’homme proclama fiĂšrement Ă  quiconque voulait l’entendre : « Je vais appeler mon enfant Plainte. Au moins, je pourrais porter Plainte. » Une exclamation qui s’est rĂ©pandue comme une traĂźnĂ©e de poudre dans le village. Les villageois, autour d’un feu chaleureux, se regroupaient pour Ă©couter les histoires les plus captivantes, et la blague de l’homme sage est devenue l’une de leurs favorites. Ils l’ont transmise de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, se rĂ©galant de son humour subtil et s’en dĂ©lectant comme d’un trĂ©sor prĂ©cieux. Pourquoi donc cette plaisanterie fut-elle si spĂ©ciale ? Parce qu’elle rĂ©vĂ©lait avec finesse une vĂ©ritĂ© universelle de la vie – que parfois, dans les moments difficiles ou les tribulations de notre existence, nous sommes tentĂ©s de nous plaindre et de porter plainte contre le destin. Mais cette blague nous rappelait qu’il existe une beautĂ© ironique dans l’autodĂ©rision, que parfois, il est prĂ©fĂ©rable de rire de nos adversitĂ©s plutĂŽt que de se laisser submerger par elles. Ainsi, cette blague est devenue lĂ©gendaire, connue de tous les habitants du village et des rĂ©gions alentour. Elle a aidĂ© les gens Ă  traverser les Ă©preuves de la vie et Ă  embrasser l’humour en tant que remĂšde pour guĂ©rir les blessures de l’Ăąme. Et mĂȘme si les jours passent, et que l’ancien village a Ă©tĂ© englouti par les sables du temps, la blague continue de vivre dans les contes et lĂ©gendes racontĂ©s au coin du feu. Elle est synonyme d’espoir, de rĂ©silience et de la capacitĂ© de trouver de la joie mĂȘme dans les moments les plus sombres. Ainsi, cette blague est devenue une relique prĂ©cieuse, une partenaire de vie, transmise de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, rappelant Ă  tous ceux qui l’entendent que parfois, le meilleur remĂšde pour guĂ©rir nos maux est sans doute de porter « Plainte ».